Ryu création !!!!!

je met ici le le premier chapitre de l'un de mes 3 scénario que j'écrit celui-ci est une médiéval fantastique ,aventure .

(Chapître I: réécrit version 2.0)

Chapitre I : Il était une fois...

Il était une fois une princesse.

Une princesse qui vivait dans un château, ce château s'appelait le Château des anges, la forteresse ancestrale du royaume d'Hordon.
La princesse, Hordon Lucya, était la plus belle de toutes, elle possédait de longs cheveux bouclés et blonds aux reflets d'or, on les disait confectionner par les anges eux même. Les plus beaux et merveilleux joyaux du royaume étaient ses yeux bleus, d'une telle splendeur qu'on pouvait les admirer sans jamais s'en lasser, grands et petits pouvaient se perdre dans sa contemplation, comme devant son premier feu d'artifice. Âgée d'une vingtaine de printemps, elle était courtisée de tous les princes, de par sa grâce, mais aussi de par son rang de princesse au sein du plus puissant royaume connue.

Côtoyant les nobles de riche famille et entouré de ses nombreux serviteurs, la princesse coulait des jours heureux au château sous la garde de son père le roi Hordon Kyrian dit "Le Gardien".

Jusqu'au jour où...
La nuit dirai-je, au loin une ombre, plus sombre que la nuit, se présenta à l'horizon de la forêt de Glipak. Le soleil bien qu' endormi, n'aurait pu illuminer cette ombre maléfique.

Le vent soufflait une brise légère faisant à peine vaciller les branches des grands hêtres, bercés par cette brise : un flocon de neige tournoyait dans le ciel, son aventure se termina une fois rejoint ses semblables au pied de l'ombre. L'ombre s'anima, réalisa son premier pas qui s'enfonça dans la neige juste à côté du flocon à présent endormi. Des milliers de flocons apparurent alors des nuages, remplaçant pour cette nuit les étoiles en voyage. Avec aisance et fluidité, malgré l'obscurité, l'ombre se dirigea droit sur la silhouette du Château des Anges, masqué par le brouillard.

Tout était calme, silencieux, la cité ronflait tranquillement repu des repas de fête préparés plus tôt, blottît tout autour de la colline où s'élève le château, elle pouvait dormir en toute quiétude.
Les ruelles, que l'ombre empruntait, devenaient sombres et angoissantes, ces mêmes ruelles qui avaient été si belles et si chaleureuses, il n'y a pas si longtemps, lorsqu'elles étaient parcourues de ses habitants chantants et dansants.

La neige continuait de tomber, l'ombre pressa le pas sur le pavé...

Elle s'immobilisa au pied de la première muraille entourant et protégeant depuis des siècles ce château et ses habitants contre le mal.

La lune dévoila ses rondeurs à travers une brèche dans les nuages, ses rayons lunaires, doux et froids, bleutés et blancs se reflétèrent et glissèrent lentement, incapable de s'accrocher sur le marbre lisse des plus hautes tours.
Ces gigantesques tours de marbre blanc coiffées de toits pointus à l'angle extrêmement aigu, semblaient pourvoir capturait certaine étoiles du bout de leurs pointes.
La lumière continua de tomber et révéla une à une de nombreuses et non moins magnifiques plus petites tours pointues, qui s'élevaient-elles aussi sans la moindre régularité, parfois construite contre les plus grandes.
Toutes, qu'elles soit grandes ou petites étaient ancré aux bâtisses inférieures par trois voir quatre croissants de lune élancée, assoupie contre elle.
Les bâtisses également en pierre et en marbre, étaient, quant à elle, rudes et compactes, parsemées de minces et grands vitraux à un instant, et à l'autre parcourut de meurtrières acérées et de créneaux épais. Plus le sol s'approcher plus les bâtiments se fessait nombreux et large, allant jusqu'à frôler la muraille intérieure parcourue tout du long de chemins de ronde et de tours de guet, qui cerclée le tout.
Juste après les douves de cette muraille, s'étend sur la pente douce de la colline des étendues de prairie couvert de neige, ou sinue la route menant à la muraille extérieure.

Le château maintenant entièrement illuminé sous une cascade de lumière argentée tombant des cieux, luisait alors dans la nuit t'elle un diamant éternel. Sculpté par les hommes, il pouvait néanmoins défier par sa magnificence, une création divine.

Au pied de l'immense muraille, l'ombre n'était plus qu'une tique figée devant un majestueux dragon. En effet, démasquée par la lune, il s'agissait seulement de la silhouette d'un homme portant une longue cape et qui se tapissait au fond de son capuchon noir.

L'être silencieux transpirait le mal, si bien que lorsqu'il sortit l'une de ses mains part la jointure de sa cape.
Une main blanche qui vint caresser les vieilles pierres du mur, celles-ci se givrèrent, affaiblit par le cœur gelé du démon. Il posa alors sa deuxième main sur une pierre voisine, qui ne résista pas plus longtemps à l'emprise du mal et se givra également.
Le démon commença alors à grimper le mur, au fur et à mesure, sculptant des appuis de glace par son simple touché. Arrivé en haut, il se faufila entre les créneaux et atteint ainsi le tour de ronde, personne n'étaient là pour le chasser, tous avaient relâchés leur attention, comblé de bonheur par les fêtes.

La lune se dissimula, le château entier s'assombrit et le démon redevint une ombre angoissante.

L'ombre redescendit de la muraille par un escalier de pierre recouvert de neige, s'avança camoufler dans les ombres à travers la prairie enneigée, et parvint aux douves entourant la deuxième muraille. Le froid de l'hiver avait déjà fait son effet, l'eau de la fosse n'était que glace, l'ombre d'un pas assuré traversa en atteignant rapidement le mur. Il invoqua de nouveaux sa sorcellerie et commença à gravir le second rempart. Arrivé en haut l'ombre se redressa. Le vent plus fort à cette hauteur, fit onduler les bords de son capuchon, accentuent son aura surnaturelle.
Un garde qui faisait sa ronde tomba face à lui.

L'homme, bien que surprit, n'en était pas moins aguerrit, il dégaina rapidement son épée, et se campa fermement sur ses appuis. L'ombre agit avec célérité, sans aucun bruit, tel un courant d'air ; il le traversa en une fraction de seconde. Le garde resta figé, les mains, toujours, cramponnait à son épée. Lentement, il tourna son regard, ses yeux contemplèrent la fumée qui s'échappait des cheminées du village, une larme parcourut sa joue glacée.
L'ombre ne se retourna pas et reprit son avancée, le garde après quelques instants s'effondra sur les pierres enneigées, il ne reverrait jamais son foyer. Le démon venait de tuer froidement un père de famille. Un père de trois jeunes filles dont une malade qui l'avaient pourtant supplié de passer les fêtes avec elles, mais lui n'avait pas eu le choix, il devait être de garde juste pour cette nuit. Il ferma les yeux, un doux souffle de vent accompagna son dernier soupir au ciel.

Du sang rougissait la neige. L'assassin atteignit les fenêtres d'une enceinte, il y décrivit du bout d'un doigt crochu, un cercle sur la vitre, celle-ci se brisa sans bruit en un cercle parfait. Le démon passa son bras par le trou et déverrouilla le loquet de la fenêtre. Sans l'ombre d'une hésitation, il pénétra dans la pièce, qui n'était autre que la salle de bal, qui en pleine nuit resplendissait sans avoir besoin des jeux de lumière du jour. Les décorations des fêtes d'hiver rendaient cette salle encore plus belle qui ne l'était possible, mais tout ceci était trop poétique pour qu'un démon ou un assassin ne puisse en apprécier la splendeur, sans ralentir, il traversa la salle.
Après quelques minutes à parcourir de nombreuses salles et galeries magnifiques mais désertes, l'assassin arriva à la salle de la Porte D'or. Cette porte d'or était connue de tous, à l'autre bout du royaume, dans un village isolé, on pouvait vous confirmé sans hésitation, que c'est elle qui scellait l'accès à l'escalier aux huit mille huit-cents quatre-vingt-huit marches, la seule voie afin d'atteindre le ciel, d'atteindre la chambre où dort la princesse parmi les anges.

Contrairement aux galeries et salles traversaient auparavant, cette salle était illuminée et gardée. Sous un vaste lustre éclatant, deux gardes postés d'un côté et de l'autre de la Porte D'or, tout en armure d'acier des pieds à la tête et possédant de massif bouclier orné d'ailes d'orées. Deux gardes qui avaient eu l'honorable mission de veiller sur les nuits de la princesse.

L'assassin se fonda dans l'ombre d'un des deux piliers ornant l'entré, aucun des gardes ne fut alerté. Soudain, deux traits fusèrent de derrière ce pilier, les projectiles pénétrèrent dans la lumière du lustre aux cent chandelles. Deux dagues cristallines démunies de garde et qui semblaient être fondue d'un seul bloc, un court instant en tournoyant sur elle-même, elles reflétèrent la lueur des chandelles. Le premier garde fut atteint au cou, le second garde plus attentif se protégea de l'attaque fourbe avec son bouclier, sous la force de l'impact la dague se brisa en dizaines de morceaux.

" Qui oses attaquer les gardiens de la tour céleste avec de t'elle fourberie ?" Demanda le garde d'une voix puissante. Il n'eut pour toute réponse que l'écho de sa voix. Il jeta un rapide coup d'œil sur la cloche d'alarme accrochée au-dessus de son camarade, qui tentait maladroitement de stopper le flot de sang jaillissant de sa blessure, incapable d'autre chose.
" Alors, maintenant que ton effet de surprise a échoué, tu comprends que tu n'as pas la moindre chance et tu souhaites te rendre, n'est-ce pas ?" Il avait prononcé ces mots sans une once de tremblement. " Mais la justice ne te pardonnera pas d'avoir osé défier les gardiens de la tour céleste !"

Une troisième dague sortie de l'ombre et revint se briser contre le bouclier du valeureux. "Ah ! C'en est fini de toi !". Sur ces mots, le garde se dirigea rapidement vers la cloche, lorsque une quatrième dague arriva. Le garde se prépara à la stopper sans effort d'un bras assuré, lorsque que derrière cette dague se dévoila une myriade d'autres dagues, toutes avaient la même provenance, mais non le même angle d'attaque. Il mit un genou à terre afin que son bouclier le protège intégralement. L'une après l'autre, les dagues vinrent se fracasser contre son bouclier qui ne vacilla pas. Acculé, il ne pouvait rien faire d'autres que de se protéger.

"Ne t'inquiète pas. Dit-il a son ami agonisant. Il n'aura bientôt plus de munitions, et là, je le pourfendrai de mon épée." Le garde confiant souriait, mais lorsqu'il croisa le regard de son ami, il ressentit la peur qui le tenaillait, son ami essaya de parler, mais le flot de sang qui s'écoulait de sa bouche l'empêcher d'être audible. Le bruit strident des chocs s'arrêta, le garde remarqua que son ami fixé quelque chose, quelque chose, juste devant lui.
L'homme inquiet par la peur de son camarade passa son regard par-dessus de son bouclier. L'assassin était là, il se dressait juste au-dessus de lui, son visage dissimulait dans la noirceur de son capuchon.
Le repoussant de son bouclier, le garde empoigna son épée et visa l'assassin au cœur, mais celui-ci esquiva d'un petit bond en arrière. Le bouclier écarter de son chemin, l'assassin revint à la charge, trois pas, il se glissa contre l'épée qui grinça en frottant contre son bras. D'un geste vif, il enfonça sa dague dans le coup du garde.
Le garde se crispa et tenta alors de respirer, seul un sifflement rauque sortit de sa bouche grande ouverte. Toujours un genou à terre, son dos s'appuya contre le mur, son bouclier accroché à son bras tomba contre lui, il mourut. L'assassin dégagea alors sa dague ensanglanter, s'approcha du premier garde toujours agonisant, se pencha sur lui et retira la dague dans son cou en lui tranchant la gorge, le garde s'effondra inerte.
L'assassin poussa ensuite les grandes portes D'or.

Qui ? Aurait pensé qu'ils fussent nécessaires de les verrouiller...

L'escalier aux 8.888 marches, s'enroulait autour d'un pilier massif, qui en fait cachait un ascenseur emprunté seulement par la princesse et son garde d'or. L'ascenseur était protégé par un sceau magique, est seule une âme au cœur pur et possédant la clé pouvait l'ouvrir. Le démon le savait ou alors ignorait-il la présence de l'ascenseur, quoi qu'il en soit, il commença à gravir une par une les marches menant au ciel.
Il arriva sans encombre, à l'étage des serviteurs personnels de la princesse. Il ne s'y arrêta pas et continua d'une traite jusqu'à l'antichambre céleste.

Une voix retentit alors dans l'obscurité :

"Je savais qu'un démon approchait, je savais qu'un démon choisirait le jour le plus joyeux de l'année, pour essayer de s'en prendre à la princesse aux cheveux d'or. "

Une buche atterrit dans le feu de la cheminée qui se raviva instantanément, dans la pièce spartiate, une petite bibliothèque remplie de livres et un fauteuil étaient les seuls meubles. Dans le fauteuil, posé devant la cheminée, légèrement tourné vers l'escalier, un homme se leva. Les flammes se reflétèrent sur son armure et illuminèrent la pièce de rayons dorés.

Oui, c'était bien lui Ulric Brin le chevalier à l'armure d'or et au cœur de feu, idole de tous les enfants, respectés et adulés de tous, l'homme qui pouvait trancher mille ennemis d'un seul coup d'épée, le possesseur d'Izel, l'Espadon d'or, La Pourfendeuse du ciel. N'importe quel homme ou même démon fuirait devant Ulric Brin, mais celui-ci était sans doute trop bête pour vouloir s'enfuir, ou alors était-ce la peur qui le paralysait, quoi qu'il en fût, il resta silencieux face au chevalier d'or.

Ulric Brin rangea le livre qu'il avait sur la petite bibliothèque, se tourna vers le démon et sortit de son fourreau Izel, qui envoya de nouveaux éclairs lumineux dans la pièce. " Je vois que tu ne t'enfuis pas, déclara-t-il calmement. Bien, c'est ton choix, si tu veux mourir du tranchant d'Izel." Il s'attendait à ce que le démon réagisse, mais il n'en fut rien, Ulric Brin fronça les sourcils agacés. "Mais je ne te ferrais cet honneur que si tu me donnes ton nom !".

Le démon, plus perfide que jamais, attaqua sans somation Ulric Brin. Mais de pitoyables attaques ne pouvaient venir a bout de ce chevalier, la dague lancée éclata, arrêtée nette par l'armure d'or.
"Pour qui te prends-tu ? Bats-toi comme un homme !" Ordonna t'il.
Le démon recommença, le chevalier d'or balaya l'affront d'un revers de la main, la dague glissa dans le coin opposé à la cheminée juste sous la fenêtre. " Bien, tu veux combattre sans honneur. Alors meurt comme un chien ! " Hurla le chevalier d'or entamant une charge héroïque, il souleva Izel au dessus de lui, t'elle qu'elle ne paraissait n'avoir aucune masse. Il asséna un coup vertical, le démon esquiva l'attaque d'une roulade, et au passage essaya de blesser Ulric Brin à la jambe, la dague n'égratigna même pas l'armure, Ulric Brin emporté par la force de son coup, fractura les pierres au sol sous sa puissance.

Le démon se replaça à distance.

"Ne te moque pas de moi !" Lâcha Ulric, le trait furieux.
Ulric Brin ne perdit pas un instant et fonça, le tranchant d'Izel rayant les pierres dans sa ruade, il asséna un coup horizontal rasant de prés le démon, qui se baisa pour éviter d'être décapité, Ulric Brin continua dans sa lancée, il fit un tour sur lui-même si vite que le démon ne put réagir, le deuxième coup oblique trancha l'air, le démon allait être détruit, celui-ci essaya de bloquer de sa dague tant bien que mal Izel, mais c'était peine perdu, elle se brisa à l'impact. Le sang se répandit sur le sol, Ulric Brin avait purgé le démon...

Les Yeux d'Ulric Brin s'écarquillèrent, la dague avait quelque peu dérouter la lame et le démon ne fut que partiellement touché aux côtes. " C'est une grande nuit, chien, très peu de personnes ont réussi à survivre à cette attaque, mais hélas pour toi, ça n'est jamais arrivait deux fois."

Le démon reprit ses distances en titubant, Ulric Brin se releva et brandit fièrement La Pourfendeuse du ciel. " Je suis le gardien de la chambre céleste, aucun homme, démon, ou dieu ne la passera de mon vivant !". Ulric Brin désigna du doigt le démon : " Alors tu n'as plus d'armes ? Mais si voyons sort encore une dague de ta cachette et je la détruirai, tout comme toi ! " Le démon posa sa main sur sa blessure, sa main se mit à briller relâchant des rayons bleu et rouge dans la pièce, et comme sorti de ses entrailles, une longue épée bleue aux reflets rouges apparut dans ses mains.
"Un magicien de Kalidor..." Murmura Ulric empreint de dégout. " Ce n'est pas ta magie qui pourra battre La Pourfendeuse du ciel ! "

" Prépare-toi, tu meurs ici ! "

Ulric Brin chargea de tout son être, prêt à en finir une fois pour toute, de rétablir la paix pour cette nuit, de rendre la justice et de protéger l'honneur de son royaume. L'or croisa alors l'ombre, et le souffle de la rencontre dégagea une onde de choc qui fit trembler les pierres du château, soufflant le feu, faisant valser la bibliothèque et le siège.

Éclairé par la lumière de la lune qui passait par la fenêtre, L'homme à l'armure d'or se redressa, il admira avec fierté son épée, en caressant sa ligne du bout du doigt. Un court instant suivant elle se brisa en deux, Ulric Brin s'écroula lourdement. Ses yeux vide, restèrent ouvert en fixant les restes d'Izel. Le démon avait gagné, comment cela était-il possible, sans doute que les Dieux Souterrains eux-mêmes étaient perfidement intervenus dans la bataille.

L'épée du démon disparu dans une pluie de larmes bleu et rouge, il se redressa et prit la clé de la porte sur Ulric Brin étendue par terre. La clé tourna dans la serrure en cliquetant, la porte s'ouvrit, l'ombre se faufila dans la mince ouverture.
La chambre céleste, le domaine sacré était désormais souillé par sa présence, cette nuit resterait à jamais une nuit maudite.

La princesse dormait paisiblement, n'ayant rien entendu de l'affrontement. Le démon s'approcha alors de la princesse, blottie sous ses couvertures de soie, et bercée par la lune, sa beauté était incontestable, incomparable, des milliers et des milliers d'hommes auraient vendu père et mère, pour pouvoir admirer ne serait-ce qu'un instant, cet ange endormi, le démon lui ne s'arrêta pas une seconde. Il arriva à son chevet, celle-ci commença alors à s'agiter dans son sommeil semblant se réveiller comme-ci, les dieux voulaient qu'elle ait une chance de fuir.

"La princesse entrouvrit les yeux".

À contre jour de la lune, dans l'ombre du capuchon se dessinèrent des yeux bleus luminescents, incomparables à ceux de la princesse, mais impressionnant tout de même. La princesse prenait à peine conscience de la situation, lorsque le démon passa sa main au dessus d'elle, lâchant un nuage de poudre bleu, la princesse referma aussitôt les yeux.

Un puissant tintement de cloche retentie, dans le couloir Ulric Brin était revenu des morts pour sonner l'alerte. Toutes les lumières du château s'allumèrent, et des échos de voix s'élevèrent. Le démon enroula la couverture autour de la princesse, la prit dans ses bras, et sortit sur le balcon. À ce moment-là, la porte de la chambre s'ouvrit avec force et fracas, une dizaine de gardes dépeigner entrèrent dans la foulée, et s'arrêtèrent devant le démon debout sur la rambarde du balcon. Derrière lui, la lune brillait de tout son éclat, la tour portait bien son nom, elle flottait au-dessus des nuages.

"Relâche la princesse fumier !" Cria l'un des gardes d'un ton à la fois autoritaire et désespéré. Le démon renforça d'une main sa prise sur elle et de l'autre salua les gardes, avant de sauter dans le vide, emportant la princesse dans sa chute. Un garde se précipita au bord, trop tard, il vu seulement disparaitre le démon et la princesse dans les nuages.

Alors qu'il tombait dans les nuages, le démon regardait encore vers le haut comme s'il y voyait encore le balcon, le vent faisait virevolter sa cape, recouvrant la princesse de sa noirceur. Ils finirent de traverser les nuages, et en sortir en créant au passage une ondulation, comme une pierre jeter dans l'eau. Ils tombèrent maintenant si vite que la neige semblait tomber à l'envers.

"La princesse était condamnée à une chute mortelle. "

À nouveau, les yeux du démon s'illuminèrent de bleu.
Les flocons les plus prés d'eux, se mirent à briller, à se rassembler, et a tournoyer autour d'eux, peu à peu leur vitesse de chute ralentit. Bientôt, ils étaient comme en suspension, planant dans les airs, ils furent portés par la neige et le vent. Ils atterrirent doucement à l'orée de la forêt Glipak loin de la cité et du château. Les gardes témoins de la scène se lancèrent sûrement à leur poursuite à chevaux, mais hélas, c'était trop tard.
Le démon disparu avec la princesse ...

Et c'est ainsi que la princesse Lucya Hordon, héritière du royaume d'Hordon fut kidnappée et que des milliers de chasseurs de primes, de chevaliers solitaires, et de mercenaires furent lancées à sa rescousse.

Et ainsi commença, la quête mystérieuse du Démon, connue plus tard sous le nom de " Ryu " ...

Je ne sais pas vraiment pourquoi mais l'ambiance de ton histoire me fait penser à Saint Seiya, même si j'ai jamais apprécie Saint Seiya j'apprécie ton histoire en particulier la deuxième partie c'était plus rythmée *-* j'ai vraiment cru que le garde allait l'emporter >.<. Par contre beaucoup de questions sans réponse, alors maintenant tu te dois de mettre la suite avec les réponses èoé. Pourquoi le démon fait ça...? Question principale, c'est un assassin mais il a surement ses raisons 'o' il a pas de réplique mais je l'aime bien ce personnage je sais pas je le sens comme ça xD.

///Commentaires inutiles///
J'aime le "relâche la princesse fumier" Princesse et fumier dans une même phrase moi je dis Good Job x).

"Le démon venait de tuer froidement un père de famille, père de trois filles dont une malade" m'a en quelque sorte faite sourire *Non je ne suis pas une sadique* c'est juste que ce petit figurant qui apparait pendant une ligne à droit à une citation des membres de sa famille c'est très cool, ça n'a pas vraiment donné l'effet dramatique voulu sur moi mais c'était bien pensé.

Ah les princesses et leur sommeil de plomb une bataille fait rage pas loin mais la princesse est trop occupée à dormir xD.

. Chapître II

Une Nuit Blanche.

Le lendemain, le soleil fut de loin le premier à se lever, les habitants de Hordon étaient debout depuis bien longtemps pour prêter main forte aux chevaliers de l'empire,
Dans les recherches pour retrouver la princesse aux cheveux d'or.

Des milliers de messagers parcouraient le royaume pour transmettre la triste nouvelle, mais les dieux de la malchance devaient êtres complices du démon Ryu, car l'un de ces messagers, qui fonçait courageusement à travers les buissons de la forêt de Glipak, Passa à quelque pas d'un cheval broutant tranquillement, lui-même non-loin de Ryu qui avait monté un camp au milieu d'une clairière loin des routes habituellement empruntées
.
Le démon lui se reposer de ces méfaits de la veille au pied d'un arbre, le bruit au passage du messager le réveilla de sa somnolence ... Le démon retira alors son capuchon dévoilant ainsi ces cheveux noir charbon, qui frôlaient de leur longueur lisse ses épaules carrées, ses yeux bleu céruléen n'avaient pas plus d'une vingtaine d'années, ils étaient étrangement radieux pour un être aussi vil, sans doute un sort afin de séduire et de pervertir de jeunes femmes innocentes.

Avec nonchalance, il s'approcha du feu de camp où griller des écureuils. Enrouler dans une chaleureuse peau d'ours a même la neige, se réveilla calmement la princesse, cette belle scène fut interrompue lorsque qu'elle paniqua, car elle se rendit compte quelle était ligotée et bâillonnée.
Elle se tortillait dans tous les sens pour essayer de se libérer, mais c'était peine perdue les cordes étaient fortement bien nouées.
Le tortionnaire assis sur une pierre retourna tranquillement les écureuils, du coin de l'œil, il observait en silence la princesse affolée. Au bout d'un moment, il dirigea complétement son attention sur la princesse.
"Si tu promets de ne pas crier, je te retire ton bâillon pour que tu puisses manger ", sur ces paroles, il s'accroupit devant t'elle.
La princesse acquiesça d'un signe de tête.
Ryu lui libéra alors les mains des cordes qui les retenaient captifs. La princesse se redressa et retira dans la foulée son bâillon. Elle ne prit pas le temps de respirer et vociféra ces mots :
" Comment avez, vous osez m'enlever ! " Elle accentuer encore plus fortement le reste de ces paroles. " Moi ! La princesse Lucia Hordon du Châteaux Des Anges ! ", elle fixa alors le démon dans le fond des yeux. " En plus, vous m'enlever la veille du dernier soir de la fête de l'hiver, ou j'aurais eu la chance de danser avec le grand Ulric Hargon chevalier de l'ordre des Dragons blancs. " Elle retira son regard accusateur et observa le feu, " le plus beau des bals de l'année, et voila qu'on m'enlève et que l'on me donne comme seule consolation un écureuil ! ", son timbre de voix était celui d'un noble prétentieux qui ne craint d'offenser les petites gens. " Si vous croyez que je vais souiller mon palet avec un plat si peu raffiné, vous avait du être élevé par les tribus barbares des montagnes de Kalidor ! " Ryu fronça légèrement les sourcilles, la princesse continua sans s'en soucier " Oh ! Non le soleil et déjà si haut ! ", elle accompagna ses plaintes de grands gestes de mains. " Même si l'on me retrouve maintenant, je n'aurai pas le temps de me préparer pour le bal, le temps que je me coiffe, que je m'ha ! Quesque ! C'est que ça... ", elle s'écroula doucement dans la peau d'ours, endormie.
"Je vais manquer de sable bleu "

Le soleil couchant annonça la fin d'une journée infructueuse pour l'empire Hordon.
La princesse se réveilla brusquement ballotter à l'arrière d'un cheval, comme le serait un sac de patate. De nouveau bâillonnée et ligotée, elle se débattit alors et tomba face dans la neige avec l'impossibilité de se relever.
Ryu descendit alors de son cheval " on s'arrête là pour aujourd'hui "
La princesse grommeler des mots incompréhensibles sous son bâillon, tout en se débâtant avec l'énergie quelle avait accumulé en dormant toute la journée. Ryu donna quartier libre a son cheval en lui enlevant la selle, il enleva aussi la peau d'ours et l'étala à coter de d'elle et du pied, il fit rouler la princesse jusqu'à celle-ci " je dois faire du feu, alors reste tranquille s'il te plait. " Il commença à ramasser du bois qui parsemer le sol, pendant ce temps la princesse ronchonner de plus en plus fort, jusqu'à ce que Ryu n'en puisse plus, il se pressa vers elle,
"OK !" Puis il reprit plus calmement " ok, je vais te laisser parler mais si se n'ai pas pour quelques choses d'important, je te rendors et tu ne mangera toujours pas ! "
Ryu jeta les branches au sol, et lui retira son bâillon, elle prit une bouffée d'air et lui tendit ses mains lui faisant comprendre de la libérer. "Il faut qu'on se rende à la ville la plus proche ! " Demanda-t-elle sur un timbre de voix beaucoup plus simple que celui de ce matin, Ryu resta silencieux. "Je suis une princesse ", sur ces mots Ryu tenta de la re-bâillonner, mais la princesse esquiva le bâillon d'un pivotement de tête, " mais je suis humaine et il faut que j'aille au petit coin ! " Lâcha-t-elle soudainement.
La princesse rougit et détourna le regard, embarrasser. Ryu fut gêné à son tour et lui enleva ses liens, il fouilla dans son sac à dos et lui tendit un rouleau de soie, << oui! >> de la soie, un larcin voler à un honnête marchand.
La princesse se tortiller " mais nous sommes dans la forêt, il n'y a pas de cabinet " murmura-t-elle.
Ryu montra la Lisière de la forêt "Alors tu fais ça comme les sauvages de Kalidor et les gens qui n'ont pas de château, derrière un buisson ! "
Annonça-t-il un léger sourire aux lèvres, " les dieux te maudiront, d'infliger ça a ma personne " pesta telle avant de s'enfonçait dans la forêt. Le rouleau de soie fermement tenue, elle alla jusqu'à derrière un large arbre, Ryu la suivait loin derrière amusé. Avant de disparaitre, elle ordonna ceci : "ne me suis pas plus loin ! Et ne tente pas de regarder ! "

Les minutes passèrent, Ryu accoudé à un sapin attendit tranquillement en admirant le rose du ciel diffuser par le coucher de soleil,
Après quelques minutes, il perdu patience, "Alors Princesse, tu as fini ? "... Pas de réponse "Ho ! Alors ? "... Toujours pas de réponse ... " Fouchtre ! "
Il regarda derrière l'arbre, Lucia n'y était plus, seul le rouleau était resté,
"Ce voyage va être long "

Lucia fuyait avec l'habiliter d'un fille d'un film hollywoodien, elle pousser maladroitement les branches, elle s'enfonçait profondément dans la neige, mais était déterminée à ne pas s'arrêter, cacher dans la neige une racine lui attrapa le pied et elle tomba, elle commençait a se relevait, a ce moment que Ryu lui coupa la route, en sautant depuis la cime d'un arbre.
" À demain " murmura-t-il doucement.
La poudre bleue relâchée de sa main conduit Lucia dans le royaume des rêves.


Ryu fut de retour au campement, il posa délicatement Lucia sur la peau d'ours, puis il chercha quelque choses dans son sac. Sans le soleil, le froid devenait de plus en plus intense, et gênera plus tard dans ces mouvements le plus terrible des démons, Ryu ajusta le tas de branches, un coup sec d'une tige de fer sur une pierre à feu, fit n'aître une étincelle, celle-ci fut mariée avec un morceau d'amadou, et le feu de leur passion brûla alors et de vives flammes réconfortantes chassèrent les angoisses de la nuit.


Ryu observait les flammes perdues dans ses pensées lorsque un bruit l'intrigua, il scruta furtivement les environ, des choses se déplaçaient parmi les buissons, après un instant un homme en capuchon sorti du noir, et s'avança vers Ryu.
Il s'arrêta à quelque pas du feu, "bonsoir, je vais être direct, tu es encerclé par une dizaine d'hommes armés, tu n'as bien sûr aucune chance de t'en sortir, sauf si tu consens à laisser ici toutes tes richesses, la fille et à partir sur-le-champ. " Articula-t-il calmement, les mains jointes devant lui. Ryu ne dit mots, l'homme au capuchon claqua alors des doigts et une dizaine de torches s'allumeraient une par une parmi les buissons et arbres cerclant la clairière.
Il reprit d'une voix beaucoup plus pressante "Alors tu vois, ta seule chance et de partir... Maintenant ! " Ordonna-t-il, en balayant l'air d'un rapide et rude geste de main.
Ryu détacha les bourses qu'il portait à la ceinture, et suivit ans un mot la direction désigner par l'homme, en s'enfonçant dans la forêt, il passa à-côté d'un des bandits aussi capuchonné qui porter une torche, le lâche Démon partit alors laissant la Princesse seule sans défense avec d'ignobles brigands.

L'homme au capuchon ramassa les bourses et il fut rejoint par l'un de ses complices,
"Alors il et y'a beaucoup ?
- Je regarde. " Il ouvrit le sac et un nuage de poudre bleu en sortie. Il tourna de l'œil et s'effondra, alerté un autre complice les rejoignirent,
"Qu'es qu'il lui arrive ? " Cria t'il en courant vers eux.

Les lumières du camp avaient totalement disparu lorsque Ryu fit demi-tour. Il remit son capuchon et se déplaça maintenant dans les ombres les plus noires évitant les zones éclairer par la lune. Sous sa manche glissa silencieusement une dague jusqu'à la paume de sa main, ses doigts l'empoignèrent. Il fut bientôt de retour au campement. Les torches allumées précédemment brûlaient encore, sans bruit, il s'approcha vers l'une d'entre elles, lorsque qu'il fut assez près, il vit que la torche était plantée dans le sol avec un bâton assez grand pour donner l'illusion d'être porter par un homme, et tandis que les hommes dans la clairière s'agiter, Ryu fit le tour et découvrit que la totalité des torches étaient comme la première, des leurres.

Dans la clairière a découvert de la lune, l'un des deux hommes secouer frénétiquement son compagnon évanoui "Héy ! Khar réveille-toi ! ", l'implora-t-il d'une voix fluette. L'autre tourné, le dos a cette scène d'émotion et scrutait avec attention la forêt, "Réveille le tout de suite, la fête n'est pas fini. " Annonça-t-il calmement. Le premier homme, les mains toujours cramponner à son ami endormi, tourna son attention vers les arbres silencieux, "qu'es que tu veut dire ? "
Deux dagues jaillirent alors des buissons.
" Je veux dire ça ! " L'homme balaya l'air d'un revers de main, une fraction de seconde plus tard un vent embrassé maîtrisa la direction des dagues les envoyant au sol les déformant dans le même temps sous la forte chaleur.
L'homme gifla désespérément son ami qui resta endormi " Rien à faire, il reste endormi ! "
- " Laisse moi faire "
L'homme lâcha son ami et recula de trois pas. " Doucement ou il sera de mauvaise humeur".
Sans bouger regardant droit devant lui, l'homme joignit ses mains puis pointa l'une d'elles vers l'homme endormi, la neige se mit à s'évaporer lentement, puis subitement des flammes s'embrasèrent en cercle recouvrant totalement le corps, sous l'effet de la chaleur l'homme se réveilla, hurlant de douleur.
Les flammes s'arrêtèrent lorsque que l'homme relâcha la tension dans sa main.
"Putain qu'es que tu fou Harmas! Ta décider de me faire chier a chacune de mes grâces mâtinées ! "
L'homme se calma vite lorsque qu'il se rendit compte où il était "qu'est-ce que c'est que ce bordel ? " Rugit t'il en se redressant,
"Tu t'est fait avoir grand frère, la bourse de cet homme était piégée " affirma t'il en lui tendant la main pour l'aider à se relever mais celui balaya son offre.
De nouveau en colère "ah !, c'est bon, je m'en rappelle maintenant ce Misérable, c'est foutu de moi ! "
Une boule de glace, grande comme une balle de base-ball semblant arriver du ciel, tomba au milieu des trois hommes.
" Fait attention Khar cet homme nous épie depuis les bois ",
- Khar "Cette enfoiré est encore là ! , c'est une bonne nouvelle ! ",
"Qu'est-ce que tu crois que c'est grand frère ? " Demanda t'il en ramassant la sphère,
- " Lâche-ça idiot ! " Ordonna Harmas en brandissant sa main dans sa direction.
Une flamme arracha la boule de ses mains, le globe se mit à rouler, et s'arrêta inerte.
" Écarte-toi d'elle ! " Conseilla Khar, et il prit deux bouts de bois depuis sa ceinture, il les cognats l'un contre l'autre, a l'impact un orbe de lumière noir enveloppa les bouts de bois, lorsque que celle-ci se dispersa les bouts de bois étaient devenue des manches de hache couverts de symbole lumineux.
Agitant ses armes " si ce couard veut jouer, je vais lui montrer ce qui me fait marrer".
- Sortant lui aussi deux bouts de bois " je suis avec toi grand frère ! "
Deux haches apparurent comme précédemment.
- Harmas "Le fait qu'il soit parti sans prononcer le moindre mot, qu'il a abandonné la fille, me fait penser que ce n'est pas un simple poltron, il n'eut peux peut t'être pas nous combattre comme un homme, mais il peut nous tuer comme un traître.
- "Je me fous de savoir comment il se bat, je veux savoir comment il meurt. "
- "Je vais voir comment la fille va " a peine eu t'il le temps de faire un pas, q'une dizaine de dagues fonçérairent dans sa direction, un mur de flammes les interrompirent de justesse .
- " C'est pas le moment pour ça Kaar ! ". Hurla Harmas en maintenant les flammes dans son contrôle.
- "Je sais maintenant où tu es ! " Cria Khar dans la nuit, et il se mit à sprinter et s'engouffra dans le noir.
"Kaar, tu attends quoi ? " Retenti juste après sa disparition.
Devant les flammes qui s'éteignirent, le visage de Kaar se durcit "J'arrive ! " Cria-t-il avant de disparaitre à son tour.


Dans leurs chaumières, les Hordonien dormaient profondément après une longue journée de durs labeurs, mais tandis que ceux-ci se blottissaient dans leur confortable lit, dans la forêt de Glipak, un groupement d'hommes en armes se regroupaient bruyamment devant un rocher surplombant le terrain, de lourde botte d'acier vint percuter la roche, un homme en armure blanche apparut en haut, il retira son casque qui était orné d'un dragon aux ailes déployer et a la gueule hurlante armée de crocs tranchant, libérant ainsi ces longs cheveux qui tombèrent jusqu'à ces genoux.
Sans signe de sa part l'assembler cessa ses chuchotements.
D'une voix claire et puissante, il captura toute l'attention des hommes.
" Compagnie ! , voila que tout une journée, c'est écouler depuis l'enlèvement de la princesse Hordon Lucia, comme vous le savez tous, je devais la rencontrer pour la première fois ce soir, mais voilà qu'un démon s'en est mêlé. Tout les habitant de ce royaume, on entreprit de la retrouver, mais même s'ils y mettent tous leurs cœurs, ils ne savent pas ou chercher, moi, je sais ou le trouver, je le sais, je le sens, je sens son odeur ignoble depuis notre arrivé. Vous êtes venus pour fêter et ripailler, c'est ce que nous feront, et la joie se mêlera à la fierté lorsque qu'on offrira en présent la tête de ce démon au roi Hordon Kyrian. Depuis que nous avons quitté ensemble notre royaume Ballakas, vous tous avaient servi sous mes ordres dans les montagnes de Kalidor, vous avaient combattue à mes côtés pendant plus de 14ans, vous êtes mes compagnons ! Vous êtes l'élite ! Le Poing flamboyant de la justice ! Les chevaliers aux dragons blancs ! Par l'exemple que sera-ce démon, dissuadons les autres de se mettre sur notre chemin ! Compagnie en avant ! Il brandit son épée à garde ailé au dessus de lui, la lame de celle-ci brilla d'une blancheur immaculée et une bourrasque d'énergie sans échappa faisant vaciller la cime des chênes vingt mètres plus haut. Le silence religieux se transforma en clameur et tous suivirent leur chef et s'enfoncèrent dans la forêt.

Quelques lieux plus loin, alors qu'il neiger à nouveau, se déplaçaient des silhouettes du haut des arbres, Ryu sauter de branche en branche, talonnait par Khar qui se rapprochait de plus en plus,
Ryu s'arrêta une seconde sur une branche, il caressa la neige qui s'y trouver et repartit, au moment ou son poursuivant posa le pied sur la branche, la neige qui si trouver se transforma en glace.
"Bordel " lâcha-t-il avant de chuter.
Kaar arriva à son tour sur la branche, mais y planta l'une de ses haches dans le tronc, avec ce point d'appui, il sauta sur la prochaine branche sans trop de difficultés.
Sa détermination emplissait son regard vidait de peur ou de doutes, il parvint bientôt juste derrière Ryu, Ryu lui jeta une dague, sans danger pour Kaar qui la repoussa habilement de sa hache. Kaar était maintenant à deux secondes derrière lui, d'un geste précis et puissant, il lui lança sa hache, Ryu n'eut pas d'autres choix que de plonger pour esquiver sa trajectoire, Ryu eu toucher le sol que Khar les avaient rattrapé par le bas, Ryu continua alors sa fuite sur la terre ferme, Kaar descendit au même endroit que Ryu, mais là ou Ryu avait sauté, la neige qui avait amortie sa descente se transforma sous un cris strident en piques acérés.
Kaar tenta d'arrêter sa chute en plantant sa hache, mais le chêne résista Kaar ne pouvait esquiver les piques, se blesser était inévitable lorsque Khar le poussa violemment d'un coup d'épaule hors de danger.
Khar se releva "fait plus attention ! " Ordonna-t-il. Le bruit de son ordre fut atténué par un violent craquement.
La lumière de la lune se mit à trembler au-dessus d'eux, des gros blocs de glace tombaient, une myriade de boules de feu éclatèrent les blocs de glace, Harmas les avaient rejoints et projeté maintenant ces flammes concentrées, mais les plus gros blocs i résistaient sans même être inquiéter.
" Bouge de là " Hurla Khar a son frère, ils essayèrent de bouger, mais leurs membres restèrent collé à la neige, qui avait durci tout autour d'eux.
- " Harmas on est collé " prévint Kaar, Khar qui était le seul à avoir les mains libres, essaya désespérément de dévier les blocs à l'aide de coup de hache mais ceci étaient trop nombreux et certain trop loin de lui pour les faire éviter à son frère qui résister tan bien que mal aux assauts sur son dos.
Harmas posa sa paume sur le sol, une ligne de flamme fonça droit sur les deux captifs, les flammes consumèrent rapidement leurs entraves, Khar et Kaar s'écartèrent aussitôt, laissant les derniers blocs les plus lourds s'écrasaient.
Khar se releva et fit signe aux autres de le suivre. "Restons pas là, venez j'ai un plan, Harmas couvre les angles morts "

Ils revinrent à la clairière, toujours entourer par les torches allumées.
Khar se précipita tout de suite sur Lucia, la releva et mis le tranchant de sa hache sous sa gorge " cette fille dort... Sans doute, la même méthode. " Raisonna t'il en silence, il reprit d'une voix forte. " Écoute ! Enfoirer ! Si tu veux pas que je l'égorge sort toute de suite de ta cachette . "
La forêt resta silencieuse, seul le bruit des torche oscillant au passage du vent retentirent.
- Kaar "Khar quesqu'on fait ? , il ne se montre pas. ",
- " Harmas, allume un grand feu qu'on, ni, voient un peu plus " demanda Khar avec un sourire malsain.
Harmas pose alors ses deux mains au sol "Ok ! " Crie t'il, "c'est parti " toutes les torches autour du camp explosèrent dans un grand vacarme, la chaleur produit se diffusa sur toute la clairière, il y fessai maintenant chaud comme une journée d'été, les flammes grandirent encore et se fusionnèrent façonnant un haut mur cerclant le camp. Le cheval de Ryu enfui depuis longtemps pouvait admirer le feu qui se voyait à des lieux à la ronde.
"À son prochain mouvement bombarde le " murmura Khar à l'intention d' Harmas qui acquiesça légèrement.
À cet instant, une vingtaine de sphères de glace identique à celle tombée plus tôt, tombèrent du ciel, s'éparpillant un peu partout.
Harmas " je n'arrive pas à savoir d'ou il les lance, on dirait qu'elles arrivent de tout les côtés en même temps ".
Lorsque la dernière fut tombée, un grand sifflement retenti une partie du mur s'éteignit remplacer par de la fumée.

Dans la brèche, un homme apparut, il ne semblait pas être inquiété des géantes flammes derrière lui. "Tu te prêtant un homme, mais tu prends une femme en otage. " Annonça-t-il sur un ton acre.
Khar jeta Lucia a terre "Enfoiré !, tu vas crever ici " gueula-t-il, en chargeant furieusement sur Ryu, Ryu qui sortit juste au dernier moment deux épées translucides, dissimulaient sous sa cape, deux épées qui supportèrent le choc puissant de la première estoc de Khar mais aussi contre les nombreuses suivantes.
Les lames se rencontrèrent à de maintes reprises, mais même en frappant de toute sa rage Khar ne parvint pas à prend le dessus sur le démon, qui para attaques sur attaques. Concentré dans l'affrontement, Ryu esquiva de justesse l'attaque fourbe venant dans son dos. D'un grand hurlement, Ryu concentra sa force et repoussa violemment la hache de Khar, et celui-ci fut éjecté sur plus d'un mètres, pendant ce lapse de temps Ryu se replaça afin d'avoir les deux frères en face. Khar se releva plus furieux que jamais, et alors que Khar fonçaient dans l'affrontement sont frère se replaça dans un angle mort. Ce manège dura quelque temps, les deux frères échanger souvent les rôles, tandis que l'un attaquait le second se replaçait en embuscade.
Le combat semblait sans issue, Ryu commençait à s'essouffler, et tandis qu'il esquivait à nouveau le piège des deux frères, une boule de feu le frôla de très prés, lui brûlant une mèche de cheveux au passage, Ryu prit une seconde afin de situer Harmas, mais Khar en profita pour le toucher juste en dessous de d'épaule, Ryu grimaça de douleur tandis que Khar esquissa un sourire.


Ryu acculer ne fessai que reculer. Sa concentration vacilla plus d'une fois et a chaque fois l'un des deux frères était là pour frapper. Couvert de sang échapper de ses blessures partiels, Ryu déborda les deux frères, lorsque que ceux-ci marquèrent une légère pause, Harmas prit le relai et bombarda de feu Ryu. Avec une vitesse fulgurante, Ryu fonça sur Harmas tout en esquivant ces projectiles ou en les repoussant de ses épées, le vissage d'Harmas se remplit de peur lorsque qu'il se rendit compte qu'il ne pouvait l'interrompre, les deux frères tentèrent de le rattraper, mais ils étaient trop loin. Harmas arrêta l'envoi de feu, et joignit ensemble l'extrémité de ses dix doigts, une boule rouge se forma au milieu, Harmas commença alors à faire tournoyer ses mains autour de l'orbe en suspension, celle-ci changea de couleur du rouge, elle passa à l'orange. Tandis qu'Harmas fixer la boule, présentement débarrasser d'obstacle Ryu accéléra, maintenant à quelques mètres d'Harmas, il lança l'une de ses épées qui alla se planter dans la neige et se désintégra, lorsque que Ryu posa le pied où celle-ci avait disparu, la neige s'éleva sous la forme d'un grand cube de glace, Ryu fut propulsé et bondit au-dessus d'Harmas.
La boule d'Harmas passa au vert, il l'écrasa au sol la boule de ses deux mains, un éclatement infernal retentit, produisant des flammes vertes qui recouvrèrent Harmas avant d'exploser, Ryu en phase de descente ne pouvait plus rien faire, l'explosion gagna du terrain et atteignit Ryu.
L'épée que brandissait Ryu éclata en un nuage de vapeur juste devant ses yeux, il plongea rapidement ses deux mains à l'intérieur et au moment ou les flammes l'abordèrent, un disque bleu apparut dans ses mains, l'explosion parvint à son paroxysme et son souffle envoya furieusement Ryu loin de là, par-dessus les deux frères, et s'écrasa après plusieurs vrilles dans la neige.
Kaar et Khar firent demi-tour vers Ryu désarmé, ses mains étaient toutes rouges et elles laissaient échapper de la fumée blanche, il rampa péniblement, il serra les dents chaque fois qu'il posait la main dans la neige, il arriva au côté de Lucia.

Ryu ferma les yeux, dans son vissage transparaissait la douleur qu'il allait s'infliger, après un long râle, il frappa du poing et de toute sa force restante, la neige entre lui et Lucia. La neige explosa créant un véritable brouillard dans une grande zone autour de lui.
Les flammes de l'explosion commençaient a déclinaient,
Tandis que Karr et Khar s'enfoncèrent dans le brouillard, " Aie !" Cria l'un d'entre eux,
- " Kaar es que ça va ?" Demanda l'autre,
- " je me suis cogné à un truc,
- Aie ! Bordel !" Ralla l'un,
- " Khar ques qu'il i ya ?
- je me suis aussi cogné ! ,
- là ! Il y a quelque chose ici ! "

Après un instant, le nuage disparut laissant place à un petit dôme isolant Lucia et Ryu de l'extérieur,
- " Tu te caches encore, lâche ! , reviens combattre " Grogna Khar, en frappant le dôme.
- " Tu appelles ça te combattre à un contre trois ? ". Railla Ryu
- " C'est toi qui as cherché la merde, moi, je t'avais donné la chance de partir ". Répliqua Khar, en continuant de frapper.
Un clac aiguë et des petits piques se formèrent à la surface du dôme, Khar réussi a stoppé son poing juste avant les pointes, " tu la joue comme ça ! ", il ramassa sa hache et frappa avec, son frère fit de même.
" Je ne crois pas que ça, soit efficace ... " Suggéra Ryu,
- Laisser moi faire, je vais les faire cramer... Affirma Harmas, en avançant vers eux les vêtements presque entièrement bruler,
- Tu t'en es bien sortit cette fois, comparer alla dernière. Attesta Kaar, en pouffant de rire.
- Ouai, c'est sympa à vous d'être venu vérifier si j'étais vivant. Broncha Harmas, en observant le dôme.
- C'est toi qui allais jusqu'au vert, alors soit pas... Commança Khar avant d'explosait de rire, soit pas vert! de rage ! "
. .. Aprés un long moment de silence, un corbeau passa au dessus d'eux " croia croia croia... "
- Hum hum, bon, tu la fait cramé ? Reprit Kaar.

Des grandes flammes recouvrèrent bientôt tout le dôme, qui commença a ruisselé. À l'intérieur Ryu méditait, les yeux fermés les mains jointes.
"Alors combien de temps il te faut ? " Interrogea Khar assis dans la neige en mangent un gâteau,
" Qu'importe le temps que ça prend, il est foutu de toute façon. " Affirma Harmas, concentré.
Cela fessait déjà quelques minutes que Ryu méditait à l'intérieur, il rouvrit les yeux, qui étaient d'un bleu brillant.
"Ça va bientôt lâcher ! " Soupira Harmas en sueur,
- Regardez ça ? ! " Coupa Kaar, quelque chose se reflétant dans ses yeux écarquillaient.
Les Orbes lancées auparavant brillaient, d'une lumière blanche, elles brillaient de plus en plus fort.
" Kaar vient vite ", ordonna Khar en lâchant son gâteau, Kaar fit de même et les rejoignirent, Harmas abandonna le sort lancé contre le dôme et d'un claquement de main créa une colonne de feu autour d'eux.
Les boules éclairaient maintenant totalement la clairière d'une lumière aveuglante qui surpassa même celle de la colonne de feu qui devint blanche.
"Quesqu'il compte faire au juste ? " Demanda Karr, hébété.
L'éblouissante lumière dura quelque minutes, puis elle s'éteignit d'un coup.
Harmas interrompit son sort.
" Il ne sait rien passer... Constata Kaar, en observent les environ.
- Si ! , ce pleutre, c'est tiré. Objecta Khar, en ressortant sa tête d'un trou fait dans le dôme.
- Et impossible de savoir par où il et partit. " Affirma Harmas, dépité.
Une partie du mur de feu qui entourait le camp s'effondra, un groupe de chevalier apparurent.

Celui en tête de cortège, annonça d'une voix puissante et autoritaire : " par les Chevalier aux Dragons Blancs, décliner votre identité et communiqué, nous la raison de toute cette agitation ! "
" Cassons-nous ! Proposa Harmas, en fonçant du côté opposé,
- Avec la force d'Ulric Hargon !" Cria le chevalier en tête, en les poursuivant, suivit de prés par la troupe.
Harmas, Khar et Kaar arrivèrent devant le mur, et Harmas sauta dans les flammes qui s'écartèrent à son passage, avant de refermer derrière Kaar et Khar.
"Par Ulric rattrapons les, ils on s'en doute un rapport avec l'enlèvement de la princesse. "

Les 3 bandits couraient à travers la forêt, les chevaliers avaient complètement était tracé.
"C'est bon ont les a semés ", soupira Harmas, avant de se prendre les genoux pour reprendre son souffle.
- ta vraiment l'aire d'un taré, quand tu cours avec tes habits en lambeau ! Acquiesça Khar, essoufflé, mais enjoué.
- Chut... Écoutez par là " chuchota Kaar.
Ils s'approchèrent d'un arbre, ils observèrent derrière, à quelques mètres de là Ryu marchait avec peine transportant Lucia sur ses épaules.
"Ce voyage va être long... "Soupira Ryu.

Sans crier gare une hache arriva de sa droite, en un grand pas, il l'esquiva de justesse, mais elle était suivie d'une autre arrivant cette fois par la gauche, il esquiva de très peu d'un petit bond maladroit, une troisième lui vient d'un autre côté, il se débarrassa sans cérémonie de Lucia, grâce a cela, il convertit une blessure grave par une simple entaille au bras, une quatrième hache fonça sur lui, d'une pirouette arrière, il s'écarta d'elle sans trop de problème, lorsque qui reprit appuis, il aperçut une lumière vive à sa droite, Harmas était à deux mètres de lui, une grosse boule de feu hurlante dans chaque main, si chaude que la neige a ses pieds fondaient.
Ryu n'eut le temps de rien tentait, la boule de feu le frappa de plein fouet, l'envoyant valsé dans les airs, il ne fut pas retombé qu'une seconde beaucoup plus concentré l'atteignit, le souffle d'impact fit trembler les arbres autour, le choc puissant le transforma en une véritable météore qui le propulsa par-delà les flancs abrupts de la montagne, il continua sa course loin de là en contre-bas, il continua encore après l'impact jusqu'à ce qu'un chêne centenaire le stop brutalement. Évanoui dans l'amas de neige, il ne s'avait pas que le feu qui consuma ses vêtements commençait maintenant à s'attaquer à sa chair, lorsque la résonance du choc fit tomber une couche de neige du haut de l'arbre, qui recouvrit les flammes ainsi que Ryu.

Au sommet, les trois bandits, admirèrent la hauteur d'où était tombé l'ennemi.
Derrière eux se fit entendre " par ici ! C'est de là que ça venait ".
Ils disparurent alors l'un après l'autre dans la noirceur de la nuit, le dernier a disparaître portait sur son épaule la princesse Lucia Hordon ... 

En critique (histoire d'essayer d'être un peu constructive pour une fois)
Juste une petite note sur les fautes en terme de temps (Bon pour ça perso' je suis un boulet donc xD) mais tu écris par exemple :
"L'un de ces messager qui foncer courageusement" je suppose que la véritable forme est "L'un de ses messager qui fonçait courageusement" ?
C'est une faute qui revient assez fréquemment dans ton texte des "e" à la place de "ai" =3. Enfin personnellement je m'en fiche ça ne me gêne pas (surtout que je suis d'une nullité incroyable) mais après je dis ça au cas ou ça t’intéresserait.

Encore une princesse sans aucun caractère et superficielle, enfin ça me surprend pas je m'y attendais après tout comment pourrait-il en être autrement o_O.
L'univers est assez médiéval et tu fais références à un film américain dans la narration ça m'a fait sourire. x)

Vers la quinzième lignes du deuxième poste ça devient un peu "brouillon" et rapide juste pendant quelques actions rien de bien long mais, je pense que tu ne devrais pas hésiter à décrire les actions plus en longueur, même les pensées, les expressions faciales ect, ça pourrait être un plus.

La fin m'a fait rire (Le smiley, le smiley x) ) quand même car ils sont suspectés puis après malgré eux ils se retrouve à prendre la princesse, c'est trop fort, j'ai cru lire l'un de ses gags à la chute inattendue xD. Enfaite je m'attendais pas à ça 0.0.

Vraiment je suis impatiente de lire la suite, j'aime beaucoup.

Aller Ryu Go go go go, mets la suite *-*.

N'hésite pas à développer le caractère des personnages aussi, en plus de l'intrigue ça serait super =D.

je suis désoler pour les fautes ,je relis plusieurs fois ,je corrige plusieurs fois ,mais je suis une grosse m***** en orthographe ,pour faire simple quand jt encore a l'école ma moyenne en dictée était de -15 /20 ,ou un 15 négatif ,ma meilleur note de tout les temps ct 5 ce jour ci j'ai était toucher par une main divine .

pour ce qui des pensées je veux pas en mettre ,car ce n'est pas le style de narration que je veux pour cette histoire .encore moins en plein combat
les expressions faciales ,c'est pas bête je n'est jamais réfléchi a ça ,jy penserait maintenant .

quesque tu veut dire par " brouillon"?c pas clair ?

Ne sois pas désolé pour les fautes, alors pas de désolé èoé, c'est rien moi je disais ça car tu as parlé toi même de fautes donc ^-^.
Bienvenue au club moi aussi j'ai déjà eu -15 en orthographe à l'école !*Déprime, déprime* En troisième primaire j'avais toujours des résultats négatifs en orthographe ma prof me détestait alors plutôt que mettre zéro elle mettait des moins xD. Ma meilleur note à été 10,5/20 ! ~ Sauvée de justesse *0*.
Tant que ton histoire est bien, l’orthographe on oublie =o=

Je comprends pour les pensés, tant que ça ne t'empêche pas de développer tes personnages, enfin c'est pas les pensées qui aident aux développement non plus ^-^ et je suis sur que tu y arriveras très bien *0* .

Plutôt que "brouillon" je veux dire embrouillé tout se déroule un peu vite sur peu de lignes c'est ça que je voulais dire, les actions sont un peu précipitées, prendre le temps de plus les développer auraient été sympa, mais comme je l'ai dit ça dur pas longtemps donc c'est pas gênant.

En tout cas je le redis mais j'apprécie réellement ton histoire, et je suis impatiente de lire la suite, d'ailleurs tu as déjà une idée de la suite ? >^<

On aura droit à des flash back dans l'histoire ? (Ayu Fan de Flash Back xD)

je croyait que j'avais le seul prof a faire ça ^^.

yaya j'ai une idée de la suite ,j'ai généralement une idée générale de la fin dans la tête avant d'avoir le début ... cerveau qui marche a l'envers

oui il y aura des flashs back est mm dans pas longtemps ^^

sa me fait plaisir q'une experte comme toi apprécie mon histoire ,et comme tu est la seul a l'avoir lu sa fait que 100%des gens qui l'ont lu aime =)

Malheureusement non il existe plus de ces horribles professeurs méchant qu'on ne le croit. <_< Cette prof c'est la plus sadique de toute les profs que j'ai connu d'ailleurs, elle retournait mon cartable en pleine classe (juste avant un contrôle -.-'), elle m'humiliait devant les autres... A cette époque là je me suis même fais frapper par une prof, mais une autre... C'était une magnifique époque xD. Mais j'ai eu ma revanche j'ai passé mon année avec 78/100 en ayant loupé plus de la moitié de l'année, j'étais assez satisfaite je dois dire. C'était ma victoire contre cette prof' elle qui disait toujours que j'échouerais elle était paf de voir que j'ai réussi alors que je venais jamais *^*. Nyahahaha. (Bon j'avoue moi aussi j'étais surprise =o=)

Bienvenue au club des cerveaux qui fonctionne à l'envers x), j'ai écris une histoire du moins le début, mais j'ai déjà carrément écris la fin et en même temps j'ai écrit ce que j’appelle "time line" c'est tout les éléments majeurs qui doivent se passer et la période de temps sur la quelle il se passe et ce dont j'ai eu l'idée ainsi que les hypothétiques éléments ^^. Enfaîte quand ça m'ennuie d'écrire une partie j'écris une autre partie de la time line et je fais en sorte de les rejoindre dans un ordre chronologique. Toute façon les histoires que j'écris finisse à la corbeille et je suis leur seule lectrice, je les écris pour moi donc même si elles sont ironiques ou incohérentes c'est pas important xD.
J'ai un très très gros penchant sur les sad end, mais parfois j'écris des fins alternatives un peu comme pour un visual novel tu devrais essayer c'est amusant x3.

Yahoooo flash back *0* ton histoire va devenir encore mieux je le sens (le pouvoir des flash back c'est bien pour apprendre des trucs sur des éléments ou des personnages), écris vite vite vite, je suis pressée de lire la suite *0*.

Je ne suis pas experte, mais j'apprécie l'ambiance~l'univers de ton histoire ^^.
Je suis sur que si d'autres personnes la lirait il l’appréciait et je le pense.

moi aussi j'ai était violenter par un prof ,et comme il n'a pas eu de sanction,je me suis fait vengeance moi mm,avec mes potes on a taguer sa maison , certes c con mais quand tes gosse tu réfléchie pas .je n'ai pas eu ma revanche en ayant de bonnes notes ,pas faute d'avoir essayer .

le club des cerveaux qui fonctionne à l'envers
Encore un club où on se retrouve tu me suis ou quoi ?

moi ossi je me fait des fin alternative dans ma tête ,la dernier était sur little buster le cycle des deux soeur jumelles ,ma fin était mieux ,il y avait même le GTO qui apparaissait .

Quand je dit que tu experte ,c'est dans le nombres de manga ou animé que tu a vue,
j'entend par là une passionnée .

je pense te sortir la suite avant la fin de la semaine .

Les profs sont vraiment méchants parfois, à croire si ils savent ce qu'est leur métier >o<. On devrait leur montrer Gokusen ou GTO pendant leurs cours, ils comprendraient direct ce qu'est un prof' avec de la motivation, de la passion et de la patience/ attention envers ses élèves *0*. Ou alors ils rateraient leurs études parce qu’ils deviendraient accro aux drama et anime et ne pourraient plus réviser 0_0

Je pense qu'il en avait pas grand chose à faire des tags sur sa maison quoi que ça dépend quel genre de tags c'était, puis d'une certaine manière il l'avait bien cherché '-'. Les professeurs sont souvent protégés quand ils vont quelque chose de mal, c'est pas toujours très juste d'ailleurs.

C'est toi qui te retrouve toujours dans mes clubs, je ne peux pas te suivre vu que je fonde les clubs, je fais partie d'au moins 99 clubs xD. Mais je t'invite à entrer dans mes clubs si tu apportes des gâteaux et du thé, mais juste du thé à la menthe >o<.

Pour ma part, j'aime bien imaginer des fins alternatives à mes propres histoires, ou alors si j'arrive pas à choisir une scènes en particulier il m'arrive d'en imaginer plusieurs, "D'accord je recommence" puis je choisis celle qui me plait le plus et je recommence à imaginer l'histoire du début c'est très très amusant >w< par contre avec ça je disais souvent au revoir à pas mal d'heures de sommeils ^^'

La fin de l'arc d'Haruka était plutôt sympa je trouve, mais une fin avec le GTO ça devait être encore plus sympa même si ça casserait le côté dramatique, Onizuka qui débarque x).
D'ailleurs dans LB! je pense que l'arc d'Haruka est l'un des meilleurs dans l'ordre (mon ordre personnel) je dirais Mio / Haruka / Kud / Komari, mais on a pas encore Rin 1-2 ça risque de passer très très vite en première place, je ne peux plus attendre *___*. Celui de KUD était bien parti pour être le meilleur en plus il y'a des indices sur le secret du monde, mais il s'est fini un peu trop vite... C'est dommage.

Je suis passionnée ça c'est sur x3, mais je n'ai pas un esprit très critique ni une très bonne répartie. Après ça ne m'a pas empêcher de trouver certains anime/manga mauvais.

D'ailleurs je pense que si ton histoire aurait été un anime ou un manga j'aurais bien accroché *^*.

*Ayu attend toujours patiemment la suite *-**

taddaa! Gomen pour le temps d'attente

Chapître III
Trista la ville au mille péché

Il était tard, les étoiles recouvraient le ciel depuis quelques temps déjà.
Il était tard, dans la forêt de Glipak, seuls les bêtes nocturnes régner ici.
Il était tard, mais une silhouette féminine brava l'interdit.
Il était tard, et parmi le silence ambiant une voix s'éleva.

" Fuki Fukiiiii ! "
Cria une jeune femme frigorifier par le froid que seule le plus robuste des Barbares, ou a le plus riche des hommes et donc le plus couvert, pouvait affronter sans crainte. Elle n'était ni l'un ni l'autre, elle était frêle et ces bottes trop grandes indiquées qu'elle n'avait pas étaient faites pour elle, tout comme son manteau dont les manches recouvraient facilement ces mains, néanmoins avec seulement un Châle et une lampe a huile, qui la réchauffer tous les deux partiellement, elle avançait courageusement. " Fukiii ! Ou es-tu ? " Demanda-t-elle d'une voix désespérée. La femme, épia le moindre bruit, attentif a la moindre ombre, éclaira sans cesse de sa lampe les alentours, chaque fois qu'une branche craquer, elle examinait cela de sa lampe, et était malheureuse de na pas trouver ce qu'elle chercher, mais était aussi heureuse de ne pas trouver autres choses. Elle s'arrêta un instant pour frictionner ses mains geler et les joignit devant sa bouche pour amplifier sa voix : " Fuki Fukiiiii ! "Elle resta silencieuse espérant une réponse, mais seul le souffle du vent fessant vaciller les pins lui répondit.
C'est alors qu'elle sursauta ! Quelque chose avait surgi du buisson juste a coté d'elle, elle paniqua, perdit l'équilibre, lâcha sa lampe et tomba dans la neige.
Les fesses dans la neige, elle se redressa, lorsque l'ombre vint vers elle... Terrifiait, elle stoppa tout mouvement, le regard fixant l'ombre ; était-t-il un de ces monstres ? Un monstre comme ceux des histoires qui lui sont racontées depuis son enfance, à elle ainsi qu'aux autres enfants d'Hordon, bien sûr, elle était venue en connaissance de cause, mais espérer de sa chance quelle lui évite une t'elle rencontre. L'ombre s'avança lentement et se découvrit à la lumière :
Apparut en premier une truffe noire et humide suivit d'une dentition dont les crocs supérieurs dépasser de sa gueule d'une longueur de doigts, ils étaient accompagnés de deux yeux rouges vifs et trônant au sommet des oreilles fièrement dressé , et enfin a l'extrémité du monstre, deux queues noires et touffues comme l'était le pelage de la bête. Voyant, ces dernières la femme s'interrogea : Fuki ! C'est toi ? Le loup se jeta sur elle, surprise elle ne pue faire le moindre geste ,et s'effondra sous le poids de l'animal, "Arrête sa chatouille" implora la jeune fille tout en gloussant sous les léchouilles du loup, elle se redressa heureuse et ramassa sa lampe, elle lui tendit la main " Viens rentrons avant d'attraper mal", il poussa un petit gémissement comme réponse positif de sa part.
Ces poils, alors, s'irisèrent de toute part, depuis son front a peine au-dessus de ces yeux un point de lumière s'alluma et se propagea d'écrivant des courbes qui se divisèrent et recouvrèrent bientôt l'animal jusqu'au bout de ces deux queues, la lumière gagna en intensité et les courbes du loup ce volatilisèrent entièrement derrière un halo de lumière blanche. La jeune fille ne sembla pas effrayer , elle se rapprocha, s'accroupit et plongea une main dans la lumière. Le halo de lumière dépérit bientôt , mais la silhouette imposante ne réapparaissait pas, le centre de l'aura semblait s'être rapprocher du sol. La boule lumineuse ne mesurait pas plus de 15cm quand enfin une silhouette ré-apparaissait, la boule blanche bondit dans la main de la jeune fille et s'éteignit complètement dévoilant un loup miniature pas plus grand qu'un chaton, ses crocs ne dépassèrent plus d'une longueur de doigt de main, mais d'une longueur de petit doigt de pied, il était si petit qu'il tenait dans une seule main et si léger que la fille ne montra pas difficulté à ce relever , le malicieux petit loup se faufila sous sa manche et ce promena sans gêne sous son manteau, la fille frémit "Tu es gelé Fuki!" Le loup ressorti au niveau de son châle et se frotta avec affection contre la joue de la fille. Caressant son animal d'une main et éclairant avec sa lampe de l'autre, elle fit demi-tour sur ses pas.

Après avoir une peu marcher dans la forêt, le bruit d'une lourde explosion fracassa le calme ambiant et faillit faire trébucher la fille. Elle leva les yeux se demandant ce que cela pouvait être, alors ces yeux s'écarquillèrent, une boule de feu fusait droit sur eux, elle ne bougea pas, mais protégea son visage de ses bras et sérra très fort contre-elle son loup, la météorite les frôlèrent et percuta la neige, puis traîna celle-ci sur plusieurs mètres formant un amas devant elle puis elle s'écrasa sur un sapin qui se vengea en relâchant la neige amasser sur ses branches. La fille rouvrit prudemment les yeux, le loup sauta au sol et se précipita au tas de neige fumant. Sur le tas de neige où dépasser une paire de doigts ce réfléchi une lumière.

. . . Des étincelles porter par le vent,
Des flammes rouges se déchirent centre des ombres , de lourdes bottes laissent de profonde empreinte dans la neige,
Du sang recouvre une lame,
Une larme coule sur une joue, tombe dans une flaque de sang qui se givre,
Un cri... le cri d'une femme long et puissant. . .

Ryu ouvrit brusquement les yeux ceux-ci se brouillent à la lumière, il se redressa en sueur , le souffle court, il jeta un œil paniqué autour de lui :
Des murs recouverts de lambris où pendérent divers outils servant au travail de la terre, une table basse et un coffre en bois brut, un petit tas de bûches servant à la cheminer seule présence de pierre dans la pièce,le sol et le plafond étant en bois, une unique fenêtre adjacente au lit baigner de lumière la pièce.
Sans danger apparent Ryu reprit son souffle, quand les péripéties du combat lui revinrent en mémoire, ses traits s'assombrirent et il essaya de ce lever, mais une douleur le paralysa le rendant incapable de continuer. Assis au bord du lit, il passa une main crisper de douleur sur un bandage qu'il avait à l'abdomen, il en avait aussi un au bras remontant jusqu'à l'épaule, mais c'est celui à l'abdomen qui le tirailler le plus.
Une porte s'ouvrit alors une femme entra, traversa le voile de lumière extérieur, et s'immobilisa a l'entré :
Habiller d'une longue robe au teint clair recouvert d'un tablier blanc, des sabots de bois, un corsage en lin, sans doute une gente modeste mais d'une élégante droiture, des joues blanches rougies par l'hiver,des yeux noisette ,l'un deux voiler par une mèche échapper du ruban rouge qui coiffer ces longs cheveux bruns couleur habituelle a Hordon. Elle laissa tomber de ses mains une bassine d'eau et du linge propre au sol, Ryu intrigué la regarda avec insistance et vue qu'elle le fixer et qu'elle devenait toute rouge, la fille paru l'air gêner et maladroitement fit demi-tour et ressorti en claquant la porte, quand après quelle interrogation plus tard, il se rendit comptent que la cause était le fait qu'il était seulement vêtue uniquement de ces divers bandages. Ryu se leva doucement et ramassa le linge et la bassine qui ne contenait plus beaucoup d'eau chaude, il porta un linge humidifier dans l'eau à son visage pour se rafraîchir et a ce moment la porte s'ouvrit brusquement, "Alors notre homme est réveillé ! "Cette femme était le portrait de la fille, mais celle-ci était vraisemblablement plus âgée. Après avoir observer Ryu sous toutes les coutures, elle s'inclina sur lui, " ah ! La fouge de la jeunesse ", puis reprit d'un timbre doux qu'on prendrait pour s'adresser à un enfant, "Ma fille est timide, aussi, je te conseil de lui faire la cour avec un peu plus de finesse." Elle ramassa la bassine et d'un signe de tête lui fit signe de se recoucher, Ryu s'exécuta docilement. Elle se pencha au-dessus de Ryu, et lui nettoya doucement le front avec une serviette chaude. Ryu rougit un instant, la femme se tenait trop prés de lui, puis il se reprit et se redressa "je peux le faire moi-même "affirma-t-il. La femme acquiesça un sourire au coin "très bien, mais laisser moi o moins changer votre pansement "elle prit un ciseaux sur la table basse, et se pencha a nouveau au dessus de Ryu. Reprit d'une gêne incontrôlable , il s'hardie "ce n'est pas nécessaire, laisser moi les pansements, je le ferais plus tard.
-Allons ne faite pas l'enfant, et laisser moi faire." Répliqua la femme d'une voix calme mais autoritaire. À nouveau la porte s'ouvrit sauvagement sans doute une tradition ici, un homme bourru, la barbe en bataille, les cheveux long et sales une fourche a la main entra furieux. "Il y à parait-t-il un homme ayant profiter de mon voyage pour s'introduire chez moi, et courtiser ma fille ! "Il ne parler pas à quelqu'un en particulier, mais lorsque qu'il vit sa femme au chevet d'un homme, le rouge lui monta jusqu'au oreille, il empoigna fermement sa fourche et courut vers le lit "Tu veux aussi me voler ma femme ? "Aboya l'homme. Ryu roula sur le coter esquivant de prés la fourche qui se planta dans les plumes du lit. L'homme commença a venir de l'autre côté du lit la fourche brandit, Ryu bondit sur le lit esquivant l'homme qui tituba emporter par la force de son coup. Ryu courut à la porte " Madame "adressa-t-il à la femme a son passage. L'homme avec moins décence bondit aussi sur le lit et poursuivit Ryu à l'extérieur, "Revient canaille ! "Meugla l'homme. Ryu courut dans le plus simple appareil à travers la cour poursuivit par l'homme en colère. La fille surprise se trouva sur la trajectoire de Ryu, elle se paralysa et ferma les yeux, quand Ryu lui passa à coté un petit loup se dressa sur la tête de la jeune fille et jappa férocement. Toujours poursuivit par l'homme qui gueuler divers insulte, Ryu franchit une barrière et s'enfonça jusqu'au mollet dans la boue, passa à coté d'un cochon qui roupiller là,et il escalada une barrière plus grande que la précédente, son poursuivant abandonna la poursuite après être tomber le nez dans la boue alors qu'il avait essayé de sauter par-dessus la première barrière.
"Ah !, les hommes." Soupira la femme accouder au mur au bas de la porte.

Les pieds nus dans la neige,Ryu courait encore et traversa a nouveau une cour de ferme où des poules picoter tranquillement,il arriva à une corde ou sécher des vêtements au soleil,il s'arrêta et saisit une salopette,il n'avait pas fini de s'habiller quand une voix s'écria " au voleur !",une vielle femme revenant avec une corbeille de linge surprit Ryu,"au voleur ,au voleur ! ". Ryu reprit alors sa course et tourna sur le chemin de terre qui relier les fermes entre elles, un homme tirant une charrette de foin, s'interrogea lorsque que Ryu le dépassa à toute vitesse. Apres une petite monté, il s'arrêta brusquement au croisement avec la route principale pour ne pas se heurter à un groupe de cavalier qu'il n'avait pas vu. "Holà ! Bouseux ! "S'écria un homme en armure blanche portant comme blason une couronne ailler symbole des chevaliers du château d'Hordon. Toute la troupe de six cavaliers, s'arrêtèrent devant l'affront du paysan.
Le premier chevalier reprit" Comment à tu l'audace d'interrompre les Chevalier d'Hordon, de la bouse plein les pieds qui plus est ! "L'homme percher au-dessus de son cheval blanc croisa le regarde noir de Ryu, "C'est la mort que tu veux ? "Demanda fièrement le cavalier, Ryu continua de le fixer sans répondre, quand sa blessure de la veille se réveilla, Ryu détourna alors son regard. "J'aime mieux ça ! Pecnot, prend donc ces trois sous pour te vêtir et ne te représente plus jamais devant les gardiens d'Hordon dans cet état." Recommanda l'homme d'un air satisfait. Les trois pièces tombèrent dans la boue mélange de la terre et de la neige au pied de Ryu qui les ramassa après que les cavaliers eurent reprirent leurs routes.

Hordon et son Château Des Anges sont la capitale Symbolique du royaume d'Hordon, Trista, elle est la capitale économique. Situer au centre du pays a l'embouchure du fleuve Tris qui coupe la ville en deux, le côté Ouest est peuplé par les nobles et riches marchants le côté Est par les petites gens qui on remplacer les mineurs a la fermeture de la mine d'or. La cité a été depuis sa fondation le point de convergence de tout les commerçants, voyageurs et réfugier, mais aussi celle de tout les trafiquants, mercenaires et prostitués. Hordon Héliric, neveu du roi Hordon Kyrian, dirige cette cité avec la fermeté et les principes de la famille royale, l'ordre règne de ce fait, mais une ville florissante a forcement ça par d'ombre, s'enfoncer dans les ruelles de la ville basse n'est pas recommandé si ce n'est pas pour affaire. Un homme toujours masqué, M.Shep dirige secrètement la ville basse, seuls les Trois Baron traitent directement avec lui. Les Trois Baron sont les plus puissants de la ville après Hordon Héliric et M.shep, ils sont associés et dirigent chacun leur domaine d'activité, évitant ainsi tout conflit inutile et empêchant quiconque d'installer leur commerce sans leurs bénédictions. Il y a le Baron de la Chaire, il vend esclave est régule dans le même temps le pourcentage de sans abris dans la ville, puis vient le Baron de L'oublie, il gère l'import-export de l'alcool et des drogues, et enfin le plus redouter des trois, le Baron de Fer et D'or, à la tête d'une troupe d'assassin, il gère les voleurs et s'occupe aussi du renseignement et de l’espionnage.
Tripot, maison de plaisir, arène de combat, lieux de culte interdit, on peut tout trouver à Trista à condition de s'avoir quelle ruelle emprunter et de ne surtout pas venir les poches vides bien que venir les poches pleine ne soit pas recommander non plus.

Aujourd'hui sous un soleil matinal radieux arriver le flot quotidien de personne venu a Trista, passent incognito dans la foule celui qu'on surnomme le Démon, celui qui enleva la princesse Hordon a la barbe de la garde royale. Mais qui pouvait se douter que l'homme vêtu d'une simple salopette, les pieds nus et couverts de boue, était l'homme le plus rechercher du pays .
"Il faut que je change d'habit "marmonna Ryu tout en observant un noble exténuer par le voyage qu'il avait entrepris,et qui faisait comprendre à ses servants de s'occuper d'abord de son confort avant celui de ses valises. Au même moment Ryu conversa avec des enfants des rues un peu en retrait dans une petite impasse, il leva la main et dévoila 3 sous entre ces doigts et désigna le noble et posa les 3 sous sur le sol dans un coin, tout de suite après la bande de gamin coururent vers le noble, et là, ils quémandèrent de toute la fouge de la jeunesse. "Débarrasser moi de ces vaux rien ! bon sang ! " Bafouilla l'homme tremblant de fatigue. Les domestiques chassèrent les enfants qui déguerpirent sans demander leurs restes et passèrent à côté de la carriole ou Ryu, c'était introduit et fouillait maintenant le contenue. "Ces garnements son vraiment sans gène !" Rouspétât une bonne d'une quarantaine d'années puis elle jeta un regard à l'arrière de la carriole, Ryu était toujours là, prit de court elle n'eut pas le temps de bouger les lèvres que Ryu sortait d'un bond, puis il s'enfuit dans la foule poursuivit par un garde alors alerter par les cris de la domestique, le garde bien qu'alourdi par sa charge pondérale gagner du terrain sur Ryu les bras charger et encore convalescent, il l'eu presque attrapé quand Ryu bifurqua brusquement de direction et qu'il s'enfonça dans une ruelle étroite et abrupte qui descendez vers le port. Le garde fut de nouveau sur ces talons bien que celui-ci était a bout de souffle, arriver au milieu de la descente Ryu caressa du pied l'escalier et descendit de trois marches et s'arrêtât sur le côté , le garde s'arrêta de courir,et se réjouit de l'abandon du voleur a continué sa fuite, il marcha sur la marche attiser par Ryu, celle-ci était glissante et après un "Quesque ? "D'étonnement, le garde dévala lourdement le reste de la pente, Ryu descendit à son tour tranquillement l'escalier et enjamba le garde assoupi et se dirigea vers le premier pont qui permet de rejoindre le coter Est. Quelques instants plus tard le garde après s'être remis du choc reprit courageusement le chemin pour retourner à sa garde, lorsque qu'il remarcha sur la marche glissante... "Bordel ! "... Et il dégringola a nouveau jusque en bas de l'escalier, après avoir relever sa tête du sol,alors qu'il maudisait l'escalier de juron incompréhensible, un cri dévala la pente avec fracas, un marin costaud s'écrasa sur le garde, "excuser moi messieurs, j'ai trébuché ".dit'il

Ryu emprunter maintenant les ruelles de la ville basse, malfamée a toutes heures un groupe d'hommes se mit a suivre Ryu lorsque celui passa devant eux, toujours dans ces habits de clodo. Le groupe le suivait en silence a quelque mettre derrière, Ryu tourna a droite hors de vue et le groupe sortit alors des dagues non dissimuler de leur ceinture. Ils arrivèrent avec étonnement au bout de l'impasse sans rencontrer leur cible, ils rebroussèrent alors chemin déçu de leur traque. Ryu était dans le noir puis ouvrit une porte celle-ci donner derrière un comptoir de bar ou malgré l'heure de la journée déjà plusieurs clients étaient bien enivrer. "Eh ! Toi Qu'est-ce que tu fais là ? "Demanda brutalement le barman tenant dans la main une bouteille tenue comme une matraque. Ryu les bras toujours chargés "je viens voir Ido, il est en haut non ? "Répondit-il tranquillement, avant de passer au-dessus du comptoir. "Où, tu vas comme ça ? Toi !" Ryu ne répondit pas et commença a grimper les marches, le barman se préparer à le rattraper lorsque qu'il se rappelait que s'il quitter son comptoir une minute des bouteilles d'alcool de son armoire allez disparaître. Ido, il a un gars qui monte ! "Lança t'il a la porte fermer en haut de l'escalier.
Ryu pénétra dans de vieux comble mal éclairer. "Qu'est-ce que tu veux ? " Demanda un homme armé d'une épée qui dévoiler par ces reflets la poussière qui volaient dans la pièce, il avait une dizaine d'années de plus que Ryu, les cheveux mi-longs coupaient au carré, la barbe fraîchement coupée, la peau propre, il était tout le contraire de cette vieille bâtisse couvert de poussière et remplit d'ivrogne, après un bref moment à scruter Ryu,l'homme se crispa a nouveau.
"Ryu ! C'est toi ? " Demanda l'homme sans laisser de temps de réponse, il reprit, "Qu'est-ce que, tu fous là ? Ta tête et toujours mis à prix si on te prend ici, je suis mort. " Dit l'homme toujours sur ces gardes.
-" Allons Ido, je ne viens pas t'emmerder, je reste pas longtemps, j'ai juste besoin d'un endroit pour me changer et quelque info. Répondit d'une voix amical Ryu avant de s'asseoir sur le lit unique meuble en comptant, une armoire et une table.
-De toute façon, je peux rien contre toi, après ce que tu a fait au Baron de Fer, un honnête gérant de bar n'a aucune chance. Soupira Ido avant de se s'asseoir à la table. Alors sur qui veux-tu des infos ?
- Je veux que tu me dis ce que tu sais sur les gars qu'on appelle Harmas, et Kar ou Garh, j'ai pas très bien saisit leur nom .
- Toujours dans les emmerde hein...bah, je suppose qu'il y a des choses qui ne change pas...
-Quels genres d'emmerde ? Demanda Ryu en enfilant l'une des chemises voler précédemment
-Du genre gênantes, ces trois types que tu parle s'appellent Harmas,karr et khar,les deux derniers sont frère, mais je pas te dire qu'elle et le nom de l’aîné je les confond toujours.
-Tu les a déjà rencontré ?
-Pas directement, mais il se sont fait une réputation quelque temps après ton départ, de guerrier d'abord dans L’Arène du Sang et en temps que détrousseurs de voyageur par la suite.
-L’Arène du Sang combien ?
-Vingt-huit en équipe de trois, ce sont eux aujourd'hui qui détienne le plus grand nombre de victoire a trois.
-Et maintenant, tu sait où ils sont ?
-Non, mais je sais peut t'être où ils se trouveront, le Baron de la Chaire organise un événement ce soir sur les docks, personne rentre sans invitation et je pense qu'il seront invité.
-Alors comme ça le gratin et inviter à une fête ce soir,..au faite dit moi tu peut m'avancer de l'argent? : s'exclama Ryu maintenant habiller comme un noble.
-Toi ! Ta besoin d'argent t'es devenue comique ?mais Si ça peut payer le fait que tu ne revienne pas de si tôt me voir je tend prête tient ! Il lui lança 2 pièces d'argent de sa poche. C'est tout ce que je peux te dire à leurs sujets, maintenant excuse moi, mais j'ai un rendez-vous important ce soir, je dois m'habiller et tu me retarde.
-Ah oui ? Et avec qui ? Demanda Ryu d'un air intéressé .
-Tu sait qu'il y a des renseignements que je ne peut pas donner ". Répondit Ido un sourire malicieux au coin des lèvres.

Ryu s'arrêta en bas au comptoir :
"Une bière ! Demanda-t-il au barman qui se demander par où ce client était entré.Ryu parcourra la pièce du regard avant de le porter a ça bière fraîchement apporter. À Ido ! Lança t'il a l'assistance et quelques consommateurs levèrent leur broque. Il parait qu'il sort avec une fille ce soir ? : demanda-t-il au barman qui briqué un verre.
-Une fille ? Non une dame ! Répliqua le barman sans détourner les yeux de ça tâche.
-La plus belle dame de la rive Ouest même ! Intervenant un homme pas mal amocher par l'alcool.
-Ah oui ? Et qui est cette dame ? Demanda Ryu à l'homme a coter de lui .
-Cette dame est une dame petit. Dit-t-il d'un ton désinvolte le regarde grave devant sa bière presque vide.
-Une bière pour mon ami barman ! Annonça Ryu en tapotant l'épaule de l'ivrogne.
-Ça, c'est bien gentil mon ami. Acquiesça l'ivrogne en trempant ces lèvres dans la mousse de son présent.
-Tu connais le nom de cette femme mon ami ? Demanda Ryu sous les yeux du barman qui fronçait les sourcils a l'encontre de l'ivrogne.
-Madame Tilos quelle s'appelle. Répondit l'homme au bord du sommeil.
-Eh bien merci l'ami. Dit Ryu en se levant et finissant sa bière d'une traite et en la reposant brusquement. Donne en une autre a mon ami barman.
-Hey attend ! Ta déjà oublier de payer les deux premières ! Cria le barman.
- Voit ça avec le patron, a plus ! Et il sortit.
-Fait chier ! Toi ! tes son pote apparemment tu vas payer pour lui, et tu revois ça plus tard avec lui. Annonça t'il en retirant la bière a moitié vide de l'ivrogne.
-Qu'est-ce que quoi ? " Bafouilla l'ivrogne désemparer.

Ryu alla sur les docks :
En dehors de l'agitation habituelle du port de Trista particulièrement dense, une scène attira son attention autour d'un immense entrepôt, des porteur allez et venez transportant des chaises, des tables, et des barriques ainsi que des caisses de fruits. Des hommes monter la garde à la porte du hangar et leurs expression dissuader toute tentative de discutions. Ryu passa alors l'air de rien devant le hangar et distingua des rangées de siège, mais rien de plus, il continua alors son chemin tranquillement,juste avant de faire demi-tour, il surprit une discutions derrière de grande caisse attendent leurs transport, il se plaqua contre l'une d'elle et jeta un œil discret,il y avait trois gars vraisemblablement échapper a la surveillance du contre-maître des opération et ils fainéanter assis sur des caisse poser contre le hangar, il eut a bref moment de surprise. C'était eux les deux frère Karr et Khar, ils était là à discuter paisiblement avec un de leur larbin. Le poing de Ryu se serra mais il contint sa colère et il concentra tout ces sens a les observer discrètement. "Vous allez devenir riches ! Avec ce que vous avez ramener,le clou du spectacle,ils ont dit ! : clama le larbin une lueur d'admiration dans l’œil.
- Avec ce que va nous prendre le Baron,on seras pas si riche que ça . Confessa le plus mal rasés des deux frère.
- Sa seras comme même une bonne somme grand frère ? répondit l'autre.
- C'est rien comparer a ce que nous auraient rapporter la tête de l'autre. Putain si j'avais su qu'il valait si chère,on y seraient aller un peu plus doucement avec lui, et maintenant c'est trop tard brûler comme il là était, il est maintenant surement méconnaissable et sans valeur. Grommela le grand frère avec fureur.
- de qui es-que vous parler ? Demanda le fan .
- de personne ... Allez vient Kaar on vas se payer une bière".
il rentrèrent alors dans le hangar par une porte dérober suivi du de l'autre homme qui marcher derrière eux comme un chien. Ryu se releva calmer et quitta les docks sans repasser devant l'entré principale
"On va voir ce soir, si je suis vraiment méconnaissable". Murmura Ryu en s'enfoncent dans une ruelles sombre.

Fouaa!! 5 mois que j'es pas mit de nouveau chapitre @_., heureusement je suis pas pressé par le temps ^o^
bref Chap 4 lest go ! essayer de prendre 5 mois pour le lire !

Chapitre 4
Une belle nuit pour prendre l'air !

Durant des générations, la famille Royale Hordon fit régner l'ordre dans le royaume, tous ses habitants natals peuvent témoigner de la façon de gouverner toujours juste et droite de la famille royale. Lorsque que Hordon rejoignit Franforge dans la guerre contre son voisin du nord Kalidor, évoquant comme cause, la dangerosité des Kalidorien pour le peuple frontalier.
L'image et la droiture de la Famille Royale se ternirent, notamment pour ces frontaliers qui durent fuirent leurs maisons trop proches des zones de conflits, et s'exiler vers les villes intérieures du royaume.
Des poches de rébellions contre la politique de la famille Royale Hordon virent le jour, à Trista notamment.
Trista qui malgré la surveillance d'Hordon Héliric, fut le théâtre de multiple assassina envers les nobles soutenant hardiment la famille royale.

Voler des poissons sur les fumoirs, ou courir toute la journée pour livrer des messages, est le pain quotidien pour un orphelin des rues qui ne s'en sort pas trop mal.
Aujourd'hui, un enfant des rues aller voir la chance lui sourire, alors qu'il courait comme à son habitude, au port entre les entre les pécheurs et leurs filets, avec l'habileté de la jeunesse entre les marchandises et les marins, et avec agilité d'un singe pour esquiver les gardes et leurs sermons, et tandis qu'il grimpait les marches menant aux maisons des nobles marchands, un homme fort bien habillé l'interpella : "petit !" , commença-t-il. "J'ai besoin que quelqu'un me mène chez quelqu'un, une personne dont je ne possède pas l'adresse, mais ma ton assuré que son nom suffirait à la trouver ! "
Le petit garçon refusa d'abord expliquant qu'il devait faire livrer un message important pour le capitaine d'un navire. Le noble répliqua alors, en lui promettant deux pièces, non pas de cuivre, mais d'argent. Le garçon se frotta les yeux devant les pièces qui scintillaient sous le soleil. Il acquiesça promptement et ajouta que le message n'était pas si urgent que ça.

À travers les rues baignaient de lumière d'une belle journée d'hiver, dans l'agitation quotidienne, des rues de la ville haute, il mena le noble à la maison de la dame susnommée, dame Tilos. Arriver devant la fabuleuse demeure le garçon fût payé deux pièces d'argent, bien que la joie le fît vaciller sur les pavés, il reprit sa route pour les docks, des tas de belles choses se bousculaient dans sa tête et il se demandait laquelle aller t'il acheter en premier.

Ryu arrangea le col de sa veste, afficha son plus beau sourire, et d'un pas assuré et élégant, il accosta un groupe de trois femmes sans doute en pleins commérages.
Il arriva devant t'elle, toutes arrêtèrent de jacasser et tournèrent leur attention devant l'homme qui effectua une révérence.
" Mesdames, je vous prie de bien vouloir m'excuser, dont la façon si cavalière avec laquelle je vous abordent, permettez-moi de me présenter, je me nomme Olrikson Halfred de la famille des Olrikson. "

La plus richement vêtu prit la parole, à la suite d'une légère courbette.
" Enchanter Mrs.Olrikson, je me présente à mon tour, je suis mademoiselle Osidon Mirzia. Laisser moi vous présenter mademoiselle Iropar Ilda, et également mademoiselle Rocío Aenor. "
Les deux femmes firent une petite révérence et entonnèrent en cœur : " enchanté "
- "Mesdemoiselles, enchanté." Répondit-il accompagner d'un léger hochement de tête.
- "Monsieur, quelle est donc la raison de cette charmante interruption ? "Reprit dame Osidon.
- "Eh bien, je suis actuellement en voyage, mon bateau est présentement à quai pour se réapprovisionner, j'ai donc eu quelque heures pour visiter cette cité pour la première fois, et je le l'ai d'ailleurs trouver magnifique et pleine de bonne affaire." Nota-t-il, accompagnant ses mots par des gestes gracieux.
- "Il est certain que notre cité n'a pas à rougir, c'est aujourd'hui la plus belle et également la plus florissante." Clama-t-elle d'un haut timbre de voix.
- "Dommage qu'elle soit un peu ternie par la ville basse." Ajouta timidement dame Rocío.
- "La ville basse qu'est donc que cela ?" S'enquit Ryu.
- "La ville basse est la partie de la cité qui se trouve du coté ouest du fleuve Trist, c'est la résidence des pauvres et des bandits." Reprit dame Osidon.
- "Il est dit que c'est un vrai coup gorge, et qu'il est impossible de si rendre sans escorte armée." Ajouta dame Rocío
- O"h ! Du moment que les chiens reste dans leurs chenils, la maison du Maitre restera propre." Railla Ryu.
Dame Rocio porta la main à ses lèvres afin dit voiler son rire timide, les deux autres réussirent à contenir leurs rires derrière un sourire de bonne convenance.
- "Mais je ne vous ai toujours pas indiqué encore la raison qui m'a poussé à vous interrompre," reprit Ryu.
"Eh bien, j'ai aperçu cette magnifique demeure qui se trouve juste derrière vous. Les trois dames tournèrent légèrement la tête dans la direction indiquée, j'eus envie d'en acquérir la possession afin d'en disposer lorsque je serais à nouveau en visite ici, j'aperçus trois belles-dames qui conversent devant t'elle, j'en ai conclu que l'une d'entre elles en était la propriétaire.
- Désoler de vous décevoir Mr.Olrikson, aucune d'entre nous ne possède cette demeure." Annonça dame Osidon.
- "Cette demeure appartient à dame Tilos." Précisa dame Rocío.
- "Pensez vous qu'elle envisagerait de me la vendre si je lui en proposais un bon prix ?"
- "Je crois que cela est impossible, voyait, vous, dame Tilos est venue s'installer ici il y a de ça trois années, à la suite de la mort de son mari." Confia dame Iropar.
- "Elle y vit seule depuis, et nous a affirmait un jour, que jamais elle ne vendrait son bien. " Conclu dame Rocío.
- "À vrai dire, je suis également en quête d'une alliance, je me présenterai à elle, la prochaine fois que je serais en escale ici, hélas aujourd'hui, je n'en n'est plus le temps. "
Les yeux de dame Osidon et de dame Iropar se mirent à scintiller, lorsque que Ryu annonça qu'il était célibataire, alors que dame Rocio rougit légèrement.
- "Je dois vous prévenir que nombres de prétendants si sont essayé, et tous, on était éconduit, je ne doute pas qu'un homme t'elle que vous a toutes ses chances en condition normale, mais étant son amie, elle m'a confié que jamais elle pourrait s'unir à nouveau avec un homme, et qu'elle porterait le deuil de son défunt mari jusqu'à sa mort." Révéla dame Osidon.
- "Cela est bien triste. " Compatit Ryu.
- "Elle es de ce fait très froide avec les hommes, mais si vous comptiez malgré tout lui faire la cour, il faut que je vous confis certain dires a son sujet. " Chuchota dame Iropar.
- "Tu penses vraiment que ces rumeurs sont vraies ? " Demanda dame Rocío.
- "Des rumeurs ? De quels genres ? " S'interrogea Ryu.
- "Eh bien l'on raconte l'avoir aperçue, un soir sur le pont de la lumière revenant de la ville basse, seule de surcroît, et une autre nuit sortir de la mine d'or. " Continua dame Iropar.
- "Qui a-t-il de si étrange avec cette mine d'or ? " S'enquit-il.
- "C'est parait-il un lieu d'activité illégale et malsaine. " Répondit dame Rocio.
- "Eh bien si cela est vrai, c'est étrange en effet. " Acquiesça Ryu, songeur.
- "Il n'y pas que cela d'étrange, en faite, elle vit seule avec un seul serviteur et la maison perd chaque jour des tableaux ou des meubles la décorant. " Ajouta dame Osidon.
- "Ses revenues ne sont donc pas à la meilleure forme ? " Conclut Ryu, sur un ton condescendant.
- "Je ne puis parler en mal de dame Tilos, mais c'est vrai qu'elle a des ... Difficulté." Confia dame Osidion.
Mr.Olrikson, nous nous rendions chez moi prendre le thé, lorsque vous nous avez accostées, voulez-vous vous joindre à nous ? " Proposa-t-elle, désignant de la main le sens à prendre.
- "Je vous pris de m'excuser mesdames, mais hélas, je n'avais que quelques instants de temps libre avant de rependre le bateau, mais je vous remercie d'avoir rendu ce temps si agréable.
- Quand aurions-nous le plaisir de vous revoir ? " Demanda dame Rocio.
- "Je ne puis vous le dire, les affaires et la mer sont tous les deux changeants et imprévisibles, mais ça sera avec plaisir que je répondrais favorablement à votre invitation lorsque le jour se présentera. " S'excusa Ryu. Mesdemoiselles au bonheur de vous revoir ". Salua-t-il avec une révérence.
Les trois femmes firent en même temps une révérence, et Ryu partit sans se retourner, lorsqu'il entra dans la ruelle, il effaça son sourire et reprit son air d'déterminer.

De nouveau dans la ville basse, Ryu s'engagea dans un cul-de-sac, il enleva un sac d'ordure poser dans un coin, puis ouvrit une lourde plaque circulaire en fonte qui couvrait une entrée souterraine, il descendit à l'échelle qui si trouvait en referment la plaque derrière lui. Il craqua une allumette et alluma une torche, après quelque minute de marche dans une gallérie parfois toute en pierre, parfois en terre étayer par du bois. Arriver dans couloirs de pierre, il tira sur un anneau d'acier accroché au mur, puis il frappa du pied le mur à plusieurs reprisse jusqu'à ce que celui-ci pivote verticalement.
À l'intérieur, il éclaira une table seul meuble de la petite pièce, il souffla la poussière accumuler pour i dévoiler divers objets posés là : des lames de différente taille et forme, une bourse de lin, une arbalète beaucoup plus petite que la moyenne ainsi que des carreaux pour celle-ci, des tiges de fer, des lanières de cuir et enfin cinq petites boules d'acier a peine plus grandes qu'un œil, celles-ci étaient couvertes de piques parfaitement alignées et espacer les uns des autres. Il prit ces dernières les rangea dans les poches de sa veste.
Il ressortit et referma avec difficulté le mur.

Le soleil n'allait pas tarder à embrasser l'horizon lorsque qu'il fut sorti de sa sieste par le bruit d'une porte claqué, allongé sous un porche a l'abri du vent et des regards, Ryu jeta un œil sur la rue d'en face, un homme bien peigné sortit d'une ruelle et passa en sifflotant non loin de lui. Ryu se leva alors et le suivit discrètement jusqu'à ce que l'homme s'engage dans une autre ruelle adjacente, là Ryu accéléra le pas et rattrapa bientôt l'homme a peine fut-il derrière lui que l'homme se retourna brusquement un couteau à la main, c'était Ido et il fut surpris de la rapidité que son poursuivant employa à lui plier le bras et à le désarmer, Ido ne put rien dire que son agresseur l'étrangler déjà, il bafouilla quelque mots incompréhensible puis il s'effondra. Ryu relâcha la pression exercée et le porta à ses épaules. il fit demi-tour et le déposa dans le passage secret de la ruelle qui mène à la réserve de son bar.
" Désolé Ido, je n'avais plus de poudres d'Izel ", Ryu ressortit.
Il arriva, bientôt au pont de lumière, sur la place du temple du ciel, les marchands ranger leurs étales avant que la nuit ne tombe complétement, le feu du phare de Trista fut allumé au moment où il passa devant, au loin des marins remonter leurs lourds filets. Il franchit bientôt le deuxième pont qui enjambe le fleuve Trist le pont de le foie, une petite brise marine souffla, la nuit aller être calme. Au pied des trois marches qui menait à la luxueuse demeure, Ryu se repeigna les cheveux, épousseta ses habits et réajusta son col ainsi que ses manches, puis il annonça sa présence à l'aide du heurtoir qui retentie trois fois.

La lourde porte s'entrouvrit et une fille passa sa tête dans l'ouverture...
" Je viens de la part de Mrs.Ido, puis-je m'entretenir avec madame Tilos ? " Demanda Ryu à la servante qui semblait être ailleurs, elle referma la porte sans rien répondre, après un long moment la porte s'ouvrit à nouveau, mais entièrement cette fois-ci, la servante fit signe à Ryu de la suivre, il pénétra alors dans la demeure.
Ressemblent à un esprit menant les âmes perdues a leur destination final, la servante muette ouvrit le chemin sombre avec sa torche obligeant le visiteur à suivre de près pour ne pas rester à tout jamais dans les limbes, le bruit de ses sabots battait le parqué toujours à la même mesure, comme si elle avait répété cette musique pendant les vingtaines d'années de sa jeune vie.
Un halo de poussière sur le bois du mur témoigner que cette demeure avait autrefois était richement décorée et tandis que ce couloir semblait sans fin se répéter, ces témoignages étaient la seule preuve qu'on i avancer réellement. La servante s'arrêta brusquement devant une porte et invita Ryu à y rentrer, elle ne semblait ne pas avoir comptée les nombreuses portes précédentes, mais les années de service ici, l'avait formée à l'inutilité de se perdre.

Ryu entra, la servante referma aussitôt derrière lui, la salle était éclairée par une cheminée ou des braises crépiter dernière présence de bruit après que le bruit des sabots eurent disparurent.
Ryu resta debout alors qu'un confortable canapé l'invité à s'asseoir, après de longues minutes, les bruits de sabot réapparurent toujours au même tempo, mais ils étaient accompagnés par d'autres plus discrets et bien moins accordés. La porte s'ouvrit, une dame entra et sans cérémonie s'arrêta à quelque pas devant Ryu.
Elle portait un bliaud en soie noir qui effleurer le sol a chacun de ses pas, ses hanches étaient cerclées d'une ceinture en fil d'argent noué dans son dos, le nœud formait un cœur d'ont les extrémités tombées jusqu'au genou, son décolleté également en forme de cœur relever de motif d'argent sublimer ses courbes élégantes, elle portait également un collier attirant le regard, un collier en argent serti d'un pendentif représentent un soleil orné d'un Lapis-lazuli et entourer de trois ailes d'anges. Ses cheveux noirs et lisses au reflet bleuter tomber juste au-dessus de ses hanches, son teint pale contrastai avec la couleur de ses yeux pourpre qui malgré la faible lumière de la pièce briller comme joyau en pleine lumière du jour.
" quel est votre nom ? Demanda-t-elle désinvolte en captant le regarde de Ryu.
- Mr.Valter, madame, je viens de la part de Mr.Ido disant qu'il ne peut venir ce soir, qu'il vous demande pardon, mais est malade et doit garder le lit.
- Valter, cela ne vous va pas Monsieur. " Répondit-elle sans montrer d'intérêt au reste de l'annonce.
La femme maintenait son regard dans les yeux de Ryu, elle s'semblait essayer de juger son interlocuteur à travers ceux-ci.
Elle ne dut pas être satisfaite, car elle détourna la tête l'air agacé comme le serait un enfant devant une personne qui refuse son caprice. " Alors il est malade et ne peut venir, et il m'a envoyé un sous-fifre pour s'excuser ". Clama-t-elle sur un ton condescendant.
- En faîte, je suis un ami et il m'a accordé le droit de vous accompagner ce soir s'y vous le désirer " rajouta-t-il, impassible devant le ton arrogant de la femme.
- M'accompagner, vous dites ? S'interrogea-t-elle, les yeux plongés dans les braises.
- Oui, madame s'il vous le désirer. Confirma-t-il, sur un ton formel, toujours au garde-à-vous.
- Bien, alors je prends mon manteau et nous y allons " chanta-t-elle
Elle sortit précédée de Ryu, elle fit signe à la servante, celle-ci revint un manteau à capuche dans la main ainsi que posés dessus un papier. " Tenez Mr.Valter ce sont nos invitations pour ce soir, je vous les confie pendant le trajet. " Elle les tendit à Ryu qui les observa de suite, sur les invitations était écrit :
" Moi autorise Dame Tilos, à participer à la vente exceptionnelle des docks 8, ainsi qu'a son accompagnateur désiré. Signé, Mr Le Baron de la Chair. "
Lorsqu'il eut relevé le regard de la lettre, il fut étonné de n'avoir pas remarqué que Dame Tilos l'observer et qu'elle n'avait pas fait un geste depuis qu'elle lui avait donné les lettres. Dame Tilos avait s'en aucun doute remarquer le léger signe d'étonnement de Ryu, mais n'en rendit pas compte, elle tendit les bras afin que la servante l'habille d'un gilet noir à manche longue.
Une fois apprêter la servante et dames Tilos empruntèrent le couloir dans le sens opposé d'où Ryu était arrivé auparavant.

Ryu a l'arrière du cortège suivait en silence dame Tilos qui elle-même suivait la servante éclairant le chemin, identique qu'auparavant du moins toujours aussi poussiéreux et dépouiller.
Ils arrivèrent rapidement au bout du couloir ou monter des escaliers vers les étages supérieurs, ils entrèrent par la porte située sous ces escaliers, et arrivèrent dans les cuisines.
La servante alla jusqu'à un grand buffet en chêne massif et y déplaça une rangée de livres de recettes et manipula quelque choses cacher derrière.
Le lourd meuble se mit à trembler, les assiettes et verres entreposer vacillèrent dans tous les sens au point de se rapprochez dangereusement du bord, la servante maintenait les plus disposez à tomber, mais elle ne pouvait maintenir toute la vaisselle du grand meuble seule, et pendant que certaine d'entres elles finissaient briser sur le carrelage, Dame Tilos observer sans rien faire, Ryu après un instant d'hésitation alla rejoindre la servante dans son effort désespéré mais s'arrêta stupéfait.
Un passage, c'était dévoilé derrière le meuble, un groupe de petites ombres entrèrent dans la pièce, la pièce s'assombrit, la torche de la servante s'estompa, la servante ainsi que dame Tilos disparurent engouffrer par l'obscurité, sur les murs-là où il n'y avait que des crochets, des casseroles et des poêles apparurent, dans la cheminée s'allumèrent des braises ardentes qui réchauffèrent une bouilloire accrochée au dessus, les armoires se remplirent d'aliment, de condiment, d'épices et de bocaux de confiture. La pièce perdit son aspect délaissé au profit de carrelages propre et de tables nettoyaient.
Ryu se retrouvait seul dans la pièce tandis que les petites ombres passèrent devant lui en marmonnant ces mots :
"Si tu veux survivre, tue. "

Les ombres quittèrent une à une la pièce, laissant Ryu.
Soudaint un orage éclata, le flash d'un éclair illumina un instant la pièce toute entière, tandis que le tonerre grondait encore les ombres revinrent et passèrent à nouveau devant Ryu resté immobile, chacun d'eux murmurèrent les mêmes mots,

                                                         "Si tu veux tuer, survis. "

Les ombres repartirent une à une par le passage secret, mais lorsque la dernière allez si engouffrer un léger bruit venant de derrière le comptoir l'arrêta, il se tourna vers la provenance du bruit, la foudre frappa à nouveau, le flash dévoila l'ombre qui n'étaient qu'un petit être sous un capuchon.
Le petit être rester planté là silencieux, un long moment plus tard, il reprit son chemin et disparu dans l'escalier.

La pièce reprit son habit de toiles d'araignée et de poussière, les meubles se dépouillèrent, la torche réapparue suivi de la servante et enfin de dame Tilos.
Dames Tilos qui tenait ces mains jointes à sa poitrine, semblait reprendre ses esprits en même temps que Ryu, le regarde de dames Tilos croisa celui de Ryu encore un peu dans les vagues, elle laissa ses mains retombaient le long de sa robe, "Mrs.Valter, tout va bien ? " Susurra t'elle le regarde plonger dans celui de Ryu.
Ryu revint complétement, " Excuser moi Madame, c'est que je me demandais pourquoi laisser, vous cette vaisselle se brisaient allègrement ?
- Ho ça ! Ce n'est rien, je n'ai que quatre serviteurs et les assiettes pour les invités de marque sont rangées ailleurs, quelque assiette ce n'est pas grand choses. Ironisa-t-elle
- Je puis vous demander où mène cet escalier ?
- Eh bien c'est un raccourci pour atteindre les catacombes, afin d'arriver à la soirée en toute tranquillité, ne connaissait vous point ces passages ? Pinailla-t-elle, tout en empruntant les escaliers précède par la servante.
Ryu les suivit tendit que ces mots résonner encore en lui :

                                      "Si tu veux survivre tue, si tu veux tuer survit. "

L'escalier se terminait en impasse.
La servante tira sur une chaîne sur le mur et celui coulissa doucement laissant l'air froid s'engouffrait dans l'escalier.
"Eh bien, je ne savais pas qu'il menait si loin dans la ville haute. "
- Je pense même qu'ils peuvent mener jusqu'au château d'Hordon Héliric, si vous voulez bien prendre la torche Mrs.Valter, ma servante ne nous accompagne pas plus loin. Demanda t'elle en descendant la dernière marche.
- Avec joie madame Tilos, j'éclairerai votre chemin. " Claironna Ryu, le torse bombé.
La servante hésita un instant à céder la torche, mais un léger hochement de tête de Dame Tilos, l'y contraignit.

Le mur se referma, dames Tilos indiqua du doigt la direction à suivre,
Ils arpentèrent alors le dédale des catacombes froides et angoissantes, des crânes étaient entreposés dans des cavités creusées dans les murs, d'autres fois, c'était des squelettes entiers qui étaient allongés dans les cavités, des grilles condamnées l'accès à des escaliers qui disparaissaient dans les ténèbres, malgré cette ambiance morbide dame Tilos suivait Ryu sans signe apparent de peur.

"Vous permettez que je vous pose une question personnelle Mrs.Valter ? Comment êtes-vous devenue amis avec Mrs.Ido ? Continua-t-elle sans attendre la réponse à la première question.
- Je veux bien vous répondre, si vous répondiez d'abords à l'une des miennes. Répliqua Ryu en suivant les indications de dame Tilos.
- Quelle est-elle ? Demanda-t-elle intéressé
- Veuillez me pardonner d'être si direct, mais pour qu'elle raison, vous êtes invité par Mrs le Baron de la Chair ? " Demanda Ryu flegmatique.

Dame Tilos resta silencieuse un moment avant de répondre.
- "Eh bien c'est assez difficile de vous expliquer tout les tenant et aboutissant, pour faire court, je recherche une personne et afin de la trouver, je suis prête a conversé avec le plus filou des malandrins, du moment que celui-ci peut m'aider.
- Je ne suis pas vraiment connaisseur, mais se n'est pas au Baron de Fer et D'or qu'il faut s'adresser pour ce genre de choses ?
- Certe, mais ce Baron est difficile d'accès pour quelqu'un qui n'est pas du milieu, c'est pourquoi je me fais connaitre auprès des autres Barons. Expliquas Dames Tilos
- Je comprends, vous êtes très courageuse de vous aventurait dans un t'elle milieu. Acquiesça Ryu.
- C'est parce que je suis déterminée rien de plus. " Se chuchota-t-elle.
Ils restèrent silencieux un moment, jusqu'à ce que Dame Tilos sortît de ses pensées,
"Vous n'aviez pas répondu à ma question Mr Valter ! " Reprit-elle, en fronçant légèrement les sourcille.
- Désoler madame, mais maintenant, j'ai un peu honte de vous avoir demandé une réponse en échange de la mienne, car voyait, vous ma rencontre avec Ido n'est pas vraiment épic.
- Un marché est un marché Mrs.Valter. Insista-t-elle.
- Très bien si vous y tenez, on a du temps a perde de toute façon...
C'était il y a quelque années maintenant, a cette époque, je travailler pour un patron exigent, le travail était dur, mais je n'avais pas vraiment d'autres choix, les peu de moments que j'avais de libre, je l'ai passé une chope à la main. " Les traits de Ryu au fur et à mesure de son récit s'adoucissaient. " C'était le matin, J'étais en train de me remplir dans une taverne miteuse, entourer d'adultes beaucoup plus vieux que moi, je buvais tranquillement lorsque que mon voisin de table me mit hors de moi, je ne me souviens plus pour quelle raison, il m'énerva, mais a cette époque, il ne me fallait pas grand choses pour m'emporter, la bagarre éclata. Comme souvent dans ce genre de situation, au bout d'un moment, c'était devenu une foutu pagaille a l'intérieur, les tabourets et les choppe voler à travers la pièce et personne ne s'avait plus ou donner du poing. Alors que j'étais en pleine mêlé quelqu'un m'écrasa une bouteille sur la tête, j'étais sonné, mais je reconnus le patron, il m'emmena au pas de la porte et me jeta dans la boue, c'était l'époque des grands orages, mais la pluie presque continuelle n'avait pas réussi à évacuer l'alcool et l'urine laisser par les poivrots trop éméchés. Le nez en sang et la bouche enflé, je relever mon visage de la boue, je vis alors un homme magnifiquement vêtu tout de blanc, sauf que ma chute avait fait voler de boue et ruinait ses beaux habits. Ses traits s'assombrirent, il descendit des planches fessant guises de trottoirs et m'enjamba avant de pénétrer dans la taverne. Un petit moment plus tard, il revint avec patron, le patron qui était tout amoché et il le jeta dans la boue. Il s'accroupit devant moi et me demanda qu'es qu'un gamin aussi jeune faisait dans un bar à cette heure-ci, je lui répondis alors que faisait un homme si bien habillé dans ces rues pourri, il se mit à rire, et me tendit la main, et me dit a peu prés ceci : " j'allais à un rendez-vous lorsque un jeune blanc-bec me ruina ma toilette, mais tu as raison l'un ou l'autre, on a rien à faire ici, allez vient, je t'invite au spa, ta l'aire d'avoir du potentiel après une bonne toilette, tu pourras m'accompagner pour courtiser de jolies femmes, a nous deux, elles n'auront plus aucune chance. "
Et voilà comment je le connais...

Ils arpentèrent maintenant un long couloir d'où des gouttes d'eau fuient du plafond,
"Ah ! Je sais où on est maintenant, on est juste en dessous du fleuve. Conclu Ryu.
- C'est exact, on est dans le tunnel de gauche, on doit continuer tout droit et prendre a gau! Hiiii !"
Ryu se retourna rapidement un rat passa entre les jambes de dame Tilos, prit de panique, elle trébucha, Ryu lâcha la torche afin de la rattraper. éffondrée dans ses bras toujours en état de choc, elle observa le rat qui s'en aller,
"Dame courage a peur d'un rat ? " Chuchota-t-il
Dames Tilos se rendit compte dans quelle situation elle se trouvait et elle donna un coude de coude a Ryu dans l'abdomen tout en se redressant, Ryu vacilla un peu sous le choc inattendu. " Ce n'est pas très noble de votre part. dit t'il en souriant bêtement.
- " Excuser moi, mais je ne vous ai pas autorisé à me toucher." lacha t'elle en épousiérant sa robe.
Et tandis que Ryu se remit du choc, la torche roula silencieusement jusqu'à une flaque d'eau.
la lumière vacillant interpella Ryu, la torche baigner dans le petit bain, sans plus reifleigir et il se précipita pour la rattraper, au moment ou ses doigts l'attrapèrent, elle s'éteignit complétement.
" Ah bah bravo ! Vous êtes doués comme accompagnateur, Clamma-t-elle. Vous êtes certain que vous n'etes plus alcoolique ?
- Je sens qu'on va être en retard... "

Une légère brise soufflait tranquillement sur l'eau, des marins fêtant et festoyaient sur un navire, au dessus d'eux, le feu du phare veillait  sur la cité tranquille. Une plus grande tension se rependait quelque mètre plus bas, dans un tunnel complètement noir.

" Mr.Valter, revenez s'il vous plait ...
- Je suis juste là. repondit t'il séchement.
- Comment va-t-on sortir d'ici ? demanda t'elle d'une voix fluete
- On n'a pas vraiment le choix, il va valoir continuer à l'aveugle, en continuant le tunnel, on dépasse le fleuve Trist et il y a plus de sorties du côté de la ville basse. Allons ne perdons pas plus de temps... "

un instant plus tard...
" Mr.Valter ?!" implorant une réponse par le ton imployait.
- " Qui a-t-il ?" répondit til loin de de tenir compte du ton de la femmme.
- " On avanceraient plus vite, si vous me donniez la main." sa voix perdant en assurance sur la fin.
- " Tendez-moi votre main ... Ok. Ne me lâchez pas. " son ton sadousisent alors.

Quelques instants plus tard les clapotis de l'eau disparaisèrent, seul leurs bruis de leurs pas mal assuré les accommapgnaient. le silence s'installa un moment, puis " Merci Mr.valter. " retentie brutalement.
- Pourquoi donc me remercier vous ?
- Pour tout a l'heure..." elle prit une instant et poursuivie. " ...je vous remercie de m'avoir rattrapé, je ne veux pas abimé ma robe. confia t'elle.
- Alors vous brisez des assiettes à la tonne, mais pas les robes ?" encore une fois sont ton léger, haché avec celui de dames Tilos.
- " Elle appartenait à ma mère, j'y tiens beaucoup. " la melancholie vivant dans ses confidense.
- "Vous emmenez une robe dont vous tenez beaucoup dans un endroit pareil ?" railla t'il séchement.
- "Eh ! Dites !" sa voix reprit en force." je vous remercier à la base ."
- "C'est vrai pardonnez moi." dit'il, d'une voix auant perdu toute amenosité. "c'est le faîte qu'on soit perdu qui m'énerve, j'en oublie mes bonnes manières..." sa pharse se répercutant un instant dans l'obsurité, il demanda alors, d'un ton sérieux: " Je peux vous faire une confidence ?
- Quoi donc ?" L'obscurité ne cachant pas son intrigation.
- je n'aurais jamais immaginé, que quinze minutes après notre rencontre, on se retrouverait seul dans le noir, se tenant la main. c'est Ido qui va être jaloux . taquina Ryu, en poufant de rire.
- "Idiot ! ... Ha ! Quesque, c'est que ça ?!" hurla t'elle subitement
- "Qui a-t-il ?" s'enquit Ryu.
- "Quelques choses m'ont frôlé." méfrémisa t'elle.
- "C'était moi." repondit t'il, avec assurance.
- "Comment c'est possible, vous êtes devant." broncha t'elle doucement.
- "Je disais ça pour vous rassurez." dit t'il froidement.
- "Hi ! Ça a recommencé." Sa voix partant haut dans les aigues.
- "Dites vous planter vos ongles dans ma peau-là..."
- Qu'es que ça peut êtres ?" demanda t'elle affolait.
- "Ce n'est surement pas un rat..." conclua Ryu, toujours sur un ton détaché.
- "Alors quoi d'autres ?" demanda t'elle, cherchant a être rassuré.
- "Je ne sais pas, un fantôme peut t'être..." railla t'il.
"Aie ! Ok...
on va changer de main sinon vous allez me la déchiqueter...
Aie ! hé ! C'était pourquoi cette fois ? " Ronchona Ryu.
- "Désolé, c'est le noir qui me met à cran... " imitant le détachement de Ryu.
- "Qu'es que ça doit être au lit !" Déclara t'il tout haut. " Aiee ! , eh et dites, c'est vous qui me tender des perches aussi." lacha t'il, sur un ton amusé.
- "Quand est-ce qu'on trouvera une sortie, je n'...
- Attendez chut ! " intérompit Ryu, en prenant un ton sérieux.

Une lumière apparue sur le mur devant eux, Ryu jeta un coup d'oeil dans l'angle du mur d'ou venait la lumiere, il vit un homme louche, ala tenue négligé tenant une torche, ouvrant la voix a deux autres gars tout aussi suspects.

Ryu bondit devant eux : " Messieurs, bonsoir " les gars s'arrêtent, dame Tilos sortit a sont tour de l'ombre.
L'étonnement du gars se déplaca aussitot sur elle, " Madame, bonsoir ! Que fait une si jolie femme dans un endroit pareille ?" Son regard la parcourait de haut en bas.
Dame Tilos se plaça légèrement devant Ryu, montrant que c'était à elle de s'occuper de c'est malandrin.
"Nous sommes les invitées de Mr le baron de la chair, il nous attend en ce moment." déclara t'elle, d'un ton hautain.
- "Mrs le Baron dites, vous ?" Il parut point impressionner.
- "Oui regardez, nous avons des invitations officielles garantissant notre protection. " D'un regard, elle fit comprendre a Ryu, ce qu'il devait faire. Ryu leur tendit alors l'invitation, le gars l'observa avant de la passer à ses collèges,
Après un instant, dame Tilos reprit : " alors vous voyez, si vous ne voulez pas avoir de problème, laisser nous maintenant." conseilla t'elle, sur un ton emplie de menace.
- " Vous savez le coin n'est pas très bien fréquenter," il ne sembler pas inquiéter, par ces menace. " Ce n'est pas très prudent de vous promenez sans lumière, s'ils, vous arrivez quelque choses, on métrait beaucoup de temps avant de vous retrouvaient." Sa voix, allant decrescendo.
- "C'est vrai, on a eu un accident..." confia-elle en lançant un regard complice à Ryu.
- "Heureusement, vous êtes tombé sur moi et mes gars, vous en avez de la chance." Conclu t'il, en se passant la langue sur les lèvres.
- "Heu dîtes, vous pouvez me rendre l'invitation maintenant ?" demanda t'elle, aguacé.
- "Une invitation ? Quelle invitation ? Eh! les gars, vous avez vu un truc du genre dans le coin ?" Lança t'il a ses compagnons, d'un haut timbre de voix.
- "Non, pas vue moi." S'exclama en riant l'un d'eux.
- "Madame, veuillez m'excusez-moi". D'une main sur l'épaule, il invita Dame Tilos à reculer. " Je crois qu'il y a un malentendu tout simplement. " Les yeux de Ryu devinrent luminescents, les hommes reculèrent choquer.
" Bien, bien sûr, c'était juste pour rire, la voilà. " Il donna un coup de coude au gars derrière lui. " Donne-lui. " Dame Tilos se rendit compte de leurs malaises et revint au côté de Ryu, ses yeux étaient redevenus normaux.
"Messieurs, maintenant que ce petit malentendu et passé, vous pourriez peut t'être nous indiquer une sortie ? "Demanda-t-il en réceptionnant la lettre. Le chef répondit promptement : "Oui ! Venez par ici. "

Ils ouvrirent la marche, suivis de Ryu et de Dame Tilos qui en chemin lança plusieurs regard intrigué à l'intention de Ryu, qui faisait mine de les ignoraient.
Ils arrivèrent alors à une échelle, l'un d'eux monta et ouvrit la lourde plaque qui fit entrer de l'air frai dans le tunnel,
" Madame après vous. " Dit Ryu en croisant son regard, elle se détourna aussitôt, et jugea l'échelle.
" Dois-je, vous rappelez, que je suis en robe ?
- Vous ne pouvez pas monter ?
- Si, mais je risque de m'accrocher quelque part.
- Quel est l'escalier plus proche d'ici ? Demanda Ryu, aux hommes derrière lui, qui sursautèrent légèrement.
- Euh... D'ici, Euh... En faîte, je connais pas d'autre passage dans le coin.
- Que fait-on madame ? S'enquit Ryu, en se retournant vers elle.
- Bon ! Nous n'avons pas le choix, mais je vais devoir attaché ma robe à la taille, afin de ne pas me prendre les pieds dedans, alors retournez vous le temps que je monte.
- Bien sûr madame. "
Le gars d'en haut se retourna, et tous en bas firent de même, Dame Tilos retira alors la ceinture d'argent qui cerclé sa robe a la taille. Elle plia sa robe en la remontant et remis sa ceinture, dévoilant ses dessous de dentelles noires, l'un des gars jeta un discret coup d'œil, mais Ryu le dissuada d'un léger coup de coude, et ils reprirent de fixer le mur devant eux les yeux grands ouverts...
"C'est bon, Mrs.valter vous pouvait me rejoindre. " Ryu soupira en relâchant sa tension et grimpa l'échelle, les deux autres le suivirent.
"Par où est le Quai Messieurs ? Demanda Ryu, au gars qui finissait juste de monter.
- "Par là, vous prenez à droite et c'est tout droit. " Répondit le chef en pointant la direction.
- "Mr.Valter allons-y, nous sommes déja trop en retard. " Rouspéta-t-elle en partant devant.
- " Bien sûr, vous nous avez jamais vus. " Chuchota Ryu, en prenant un air menaçant.
Ils acquiesceraient d'un frénétique hochement de tête.
- "Mr.Valter ! Que faite, vous ? Pressons-nous.
- Oui, Madame. "

Effectivement au fond de la rue, berçait sous une douce brise un navire apparut. À ses cotés trois autres bateaux a voile unique étaient amarrer au quai. Sur le quai de l'autre côté du fleuve, de plus grands navires marchands se reposaient aussi avant l'influence et le bruit de la journée. Tout au fond du dock dans le cinquième et dernier hangar parcourant le bord du fleuve Trist, de la musique et de la lumière s'échappaient. En s'approchant la musique devint des lourds coups de tambours au tempo martial. Sur le chemin Ryu remarqua un homme aux habits fort rustique portant une torche, assis entre deux tonneaux. L'homme leva légèrement la tête dans leur direction et frappa de la main le tonneau à sa droite " Belle nuit ! pour se promener. " Dames Tilos l'ignora et continua sa route, Ryu fit de même.
Le hangar était fermé par de lourdes portes d'acier face au fleuve, encadré dans ces portes une plus petite secondaire. Dames Tilos fit signe à Ryu d'y frappait, il s'exécuta. Après un instant, il recommença, la porte s'ouvrit violemment, l'air ocre de la salle s'échappa ainsi que le vacarme ambiant, un homme de deux tête plus grand que Ryu se dressa devant eux. "Oui, c'est pourquoi ?! " Cracha-t-il brutalement, Ryu tendit alors les invitations, l'homme les consulta un instant, puis il se tourna derrière lui et brailla, "heu... Boss ! ", il se retourna vers Ryu et dame Tilos avec l'aire encore plus ahuri. "Qui a-t-il ? " Demanda une voix d'un ton aristocratique, le mastodonte s'écarta, laissant place à un homme de stature plus fine, paré d'un smoking blanc, "Mrs ? Commença-t-il, que puis je pour vous ? " Dame Tilos s'avança.
- " Nous sommes invitées par Mr.Le Baron, je me nomme dames Tilos et voici Mr.Valter mon accompagnateur. " L'homme lança un regard au colosse et celui-ci lui tendit les invitations, puis il les consulta intensivement.
" Madame Tilos ! Fit-il tout à-coup. Entrez, je vous pris ! " Il fit une élégante révérence. " Veuillez-nous pardonnez, pour cet accueil, nous vous attendions plus, demande pardon toi aussi gros bêta." Lacha t'il sévèrement au colosse, " pardonner moi madame de mon accueil rustre et aus... austère. " Bredouilla le géant en tentant une révérence maladroite.

Dame Tilos ne dit mots, et laissa une servante les aillant rejoint prendre son manteau, son regard fut attiré par la scène? Une scène magnifique au parquet brillant et au grand rideau rouge couvrant les murs et le fond du plateau. Un homme en redingote violet couvert de paillettes, amplifié par un nœud papillon blanc immaculé, tout comme l'étaient sa veste et son pantalon fin, si fin qu'il donner l'impression que ses jambes n'étaient que de deux longs bâtons articulés. Il était coiffé d'un haut-de-forme qu'il fessait tourné au bout des ses doigts et de l'autre main, il fessait tournoyé sa canne à tête de canard, en se pavanant autour de femmes athlétiques, les poignets et les chevilles menottaient entrent-elles, " ... Qu'elles sont originaires des Iles du Crabe, elles vous donneront des enfants forts et robustes ! " S'écria t'il a l'assemblé. L'assemblé qui était amassé sur des chaises alignées sur plusieurs rangs devant la scène. Tous avaient sortit leurs beaux habits, et tandis que certain se levaient pour criait leurs prix d'autres buvaient et fumaient. Dame Tilos et Ryu furent conduit à un escalier menant à une mezzanine surplombant la salle, un chemin longeant le mur servait accéder aux nombreuses tables qui parcouraient toute la distance. De beaux fauteuils au bois d'orées entouraient pareillement ces tables qui étaient surchargées de viande et fruit succulent, l'ambiance ici était moins chaotiques qu'en bas.
À la première des personnes en costar rouge, discutait calmement un verre de vin à la main remplit par plusieurs serveuses courtement vêtues. À une autre table, un colosse de graisse s'empiffra d'ailes de poulet. Il était accompagnait de plusieurs femmes restez debout, elle aussi courtement vêtue, toutes enchainaient par le cou à l'un des poignets de l'homme, à chaque mouvement de celui-ci pour attraper a manger les filles étaient malmenées, à cause des chaines trop courtes pour qu'elles puisent restaient droites. Sur la table suivante, quatre hommes aux œils masqués par d'étranges accessoires ornaient de plumes rouges affriolantes qu'ils portaient au-dessus du nez, ils marmonnez autour d'un cinquième lui aussi masqué, mais par un masque aux plumes vertes. Précédez par l'homme au smoking blanc, Ryu et dame Tilos arrivèrent à une table vide, l'homme invita dames Tilos à s'asseoir et fit de même ensuite pour Ryu, de sorte que tout d'eux n'avaient qu'a tourné la tête pour voir la scène. " Je vais faire presser les cuisines, pour vous servir le plus vite possible. " Confia-t-il avant de partir sur une révérence. La table où ils étaient se trouver dans le coin de la salle, non loin des poutres de soutien du plafond, ce n'était pas la meilleure pour voir la scène, mais c'était l'une des plus calme. La dernière table était occupée par un homme en smoking noir, les doigts couverts de bagues brillantes. Accompagné par une dame aussi chiquement habillée appareillée notamment par de petits diamants sertissant les tresses de ses cheveux roux, ils saluèrent d'un léger hochement de tête dames Tilos et Ryu avant de rependre leur conversation autour d'une somptueuse tablée.

Sur la scène, les robustes femmes furent sorties, " Vous ne le regretterez pas, vous verrez, elles travaillent aussi durement qu'un homme, mais je dois vous avouez qu'elles ne sont rien à côté d'eux ! " S'écria le maitre de cérémonie en lançant sa cane en l'air avant de la rattraper du bout du doigt. Les lourds tambours retentirent à nouveau, l'éclairage de la scène déclina pour ne laisser que ceux de la rampe, éclairant ainsi le Maitre de cérémonie d'une lumière en contre plongée donnant, au tout une ambiance inquiétante. Le maitre de cérémonie, resta un long moment à parcourir L'assemblé d'un regard malicieux. Les lumières jaillirent soudainement, apparurent alors derrière Le maitre, quatre colosses de muscles escortés par six autres faisant claquées leurs fouets, " Venant eux aussi des Iles du crabe, élevés à la dure ! " Il frappa l'un d'eux de sa cane, le géant poussa un grognement derrière son bâillon. " Lancez-les dans une arène, entrainez-les, faites en des champions, prenez les pour ramer dans votre galère, matez-les, faite en vos gardes du corps, tout ce que vous voulez, ils peuvent tout faire ! Et pour un prix au lot individuel commençant à vingt pièces d'or ! Messieurs Mesdames, c'est une affaire ! "

Deux serveuses apportèrent des couverts, des plats de viande et de salade, et les disposèrent sur la table, avant de repartir en se déhanchant fortement, un serveur arriva dans la foulée avec une bouteille de vin, " Monsieur, madame, pour votre dégustation un Grand cru Hulir. " Il servit en vin les verres, posa la bouteille, " si vous avez besoin de quoique ce soit, tiré a quelque reprisse sur la corde au milieu de la table. " Il accompagna ces paroles du geste. " Et nous viendrons dans l'instant. " Après une courbette, il repartit. Dames Tilos trempa ses lèvres dans le vin tout en fixant Ryu assis en face d'elle, qui était absorbé dans l'agitation des gens en bas.

Elle reposa délicatement son verre, " Dites moi Mrs.Valter, " elle insista sur 'Valter', " pourquoi m'avait vous accompagner ce soir ? "
Ryu revenue brutalement de son errance, tourna son attention sur la tablée, but une gorgée de vin qui le fit grimacer, avant de répondre. " Je, vous les dis, c'est pour remplacer Mr.Ido, qui est indisposé." Elle regarda alors vers la scène, la scène ou Le maitre avec un grand sourire satisfait, reportait les hausses de prix.
" Vous saviez que ne vous ai pas crut un seul instant. " Susurra-t-elle. Ryu prit une grande bouchée de viande dégoulinant de sauce. " Pourquoi es que je vous mentirai ? " Rétorqua-t-il en reprenant de la viande. " Aucune idée, mais je sais néanmoins quand quelqu'un me ment, si fort soit t'il", répondit t'elle l'aire un peu mélancolique, son regard perdu dans la foule. Un silence plus tard, " Vous avez entendu cette histoire, comme quoi la princesse Hordon aurait était enlevé par un démon au yeux bleu et qu'il se serait envolé dans le ciel ? " Reprit-elle rapidement, un semblant d'intérêt émergeant en elle. "Comment ne pourrait-il en être autrement, les gens n'ont que cette histoire à la bouche.
- et vous en pensez quoi ?" Elle mangait maintenant avec appétit." Ce que j'en pense de quoi ? Des démons venus d'on ne sais où pour kidnapper une princesse ou bien que les témoignages on tendance a devenir de plus en plus fabuleux a force qu'on se les passe ?
- vous ne croyez pas au démon ?
- Pas vraiment non, et vous ?
- J'y crois, j'en ai déja vu. " Ses yeux semblèrent se plonger dans un autre monde qu'elle ne pouvait plus que ce souvenir. L'ambiance s'alourdit dans un silence.

Sur la scène, le maitre de cérémonie, lança très haut son haut-de-forme et le rattrapa avec les mains dans le dos, il tourna très vite sur lui-même, s'arrêta et fixa le public un petit moment, il mit sa main à côté de sa bouche comme pour chuchoter un secret. " La vente exceptionnelle va bientôt avoir lieu, avant ça pour vous détendre un peu de spectacles ! " Il jeta a terre quelque choses et disparue dans un nuage de fumée, d'épais rideaux noir tombèrent du plafond, un groupe de filles caché derrière un voile approchèrent, leurs longs cheveux tombaient sur le sol et caché les parties nues de leur corps un peu mieux que leurs voiles. Une flûte au son étrange retentie, et les filles se mirent à danser langoureusement, devant les spectateurs envoutés. Ryu se leva difficilement, " Veuillez m'excuser. "
- Vous vous sentiez bien ?
- Je me sens ballonner, je vais prendre un peu l'air. "
Ryu s'éloigna en se tenant le ventre.
" Menteur... " Murmura t'elle en le regardant partir.

Les personnes assises aux tables, y comprit ceux qui avaient déja une escorte étaient tous absorbés pas le déhanché des danseuses, dans l'escalier un serveur ressemblant à un automate sans volonté se rangea sur le côté, laissant passer Ryu.
Ryu arriva dans l'atmosphère chaude et étouffante accumulée par la foule, tous s'étaient levés afin de siffler les danseuses. Il longea les murs qu'emprunter également le personnel, évita le bain de foule, et s'engagea dans un couloir attenant à la scène.

Assise dans le couloir dans un air respirable, la tête blottie dans les genoux, se reposer une fille exténuer, elle ne fit pas attention à Ryu qui passa devant elle. Le couloir se prolongea sur la droite, là l'ambiance était tout aussi bruyante que la salle d'où on entendez quasiment plus la musique, le long de ce couloir se presser des larbins, qui allaient et venaient entre ce qui étaient manifestement les cuisines, où a l'intérieur une dizaine d'hommes en blanc, tranchaient et cuisaient, sauçant le tout a la sueur de leur front, et une sorte d'entrepôt où étaient empilé de la vaisselle sale et des bouteille vide, ainsi que des tonnes de mouches sans cessea l'affut d'arriver de nouveau met.

À nouveau, la musique et les sifflets retentirent de plus belle derrière un grand rideau rouge parcourant une bonne partie de la largeur de la pièce, au proportion énorme, en frac étaient entreposé des vêtements, des accessoires, et des décors en bois, une vingtaine de personnes circulaient ici, se croisant et se recroissant, silencieux et concentré dans leurs taches, les hommes qui manœuvrés ne fessaient même pas attention aux femmes qui se changeaient à la vue de tous. Ryu traversa cette salle en ligne droite, rien ne permettait d'évité la foule cette fois. Il s'arrêta un instant devant une grille qui entourer un vide coupé dans les planches, sur le mur derrière elle se s'imposer une grande porte d'acier identique à celle d'où laquelle ils avaient pénétré dans le hangar, dans un coin deux escaliers, l'un montait, l'autre descendait, ni une ni deux, il descendit.

Il stoppa sur la dernière marche, observa silencieusement un groupe de cinq hommes en train de tiraient une énorme cage voilée, tandis qu'un sixième, qui n'était d'autre que le maitre de cérémonie donnait des ordres afin de conserver la bonne trajectoire. Le maitre de cérémonie paraissait être un prince qui se serait perdu dans un endroit malfamé, un endroit remplie de cages de diverses tailles, certaines renfermaient des personnes enchainé aux barreaux. " Monsieur, puis je vous aider ? " Demanda un homme frêle et sec qui le rejoignit devant l'escalier, Ryu comme le maitre de cérémonie fessaient tache avec leurs beaux habits dans la bestialité ambiante, toutes tentatives de furtivité s'en voyaient compromit.
"Je suis un invité d'honneur du Baron, et j'ai voulu voir a quoi ressemblaient les coulisses. " Répondit Ryu en commençant à se promener dans la pièce,
- " Veuillez m'excuser, monsieur, mais je ne sais pa si j'ai le droit de vous laisser faire. " Balbutia l'homme en le suivant de prés,
- " Je vous dis, je regarde juste un peu, je ne voudrais pas vous déranger dans votre travail. " Répliqua Ryu sur un ton sec, il s'arrêta non loin des hommes tirant la cage, " C'est la Lux ? " Demanda-t-il sans s'adresser à quelqu'un en particulier, le maitre de cérémonie bondit et se retrouva face à Ryu, il pencha la tête sur le côté, et demanda avec d'une voix fluette complétement différent de sa voix forte et puissante employée sur scène : " comment savez-vous ceci ? "
Il dégageait une forte odeur de parfum qui attaqua un instant les narines de Ryu, Ryu remarqua alors que les yeux du Maitre étaient injectés de sang.
- Je suis un ami de Monsieur le Baron. " Répondit-il en contournant le Maitre avant de tendre sa main vers la cage.
- Ami de Monsieur le Baron, je vous conseille de faire attention à votre personne. " Recommanda le maitre en glissant au côté de Ryu, une grande grimace parcourant son visage.
Ryu souleva la lourde bâche, un grand choc fit trembler la cage, Ryu referma tout de suite le rideau, une fumée noire s'échappa avant que le voile ne se redescende complétement.
" Amis du Baron, dans cette cage ne se trouve pas de Lux. " Affirma Le maitre après une galipette qui le ramena devant le cortège,
Demanda Qui a t'il a l'intérieur ? Demanda Ryu, intrigué en s'éloignant prudemment de la cage.
- Amis du Baron, a l'intérieur se trouve ce qui va donner toute sa splendeur au clou du spectacle. " Annonça t'il en faisant signe aux autres de tirer.
- Monsieur, je vous pris de regagner la salle, afin d'assisté à la fin de la vente, vous pourrez venir parler au baron, plus tard dans son bureau. " Implora l'homme qui n'avait pas quitté Ryu d'une semelle.
- Bien, vous avez raison, j'ai hâte de voir ça. " Acquiesça Ryu en croissant le regard étrange du Maitre.
Il retourna vers l'escalier tandis que les hommes arrêtèrent la cage, au milieu d'une dalle en dessous du trou vu plus tôt au dessus.
Les hommes s'écartèrent, Le maitre rasta le seul à côté de la cage, il tira plusieurs fois sur une ficelle accrochée au mur, dans une pièce non loin de l'escalier retentit un petit bruit de cloche, un instant plus tard un grincement de métal accompagnait d'un cliquetis de chaine jouèrent leurs musiques métal, tandis que Le maitre sauta en haut de la cage et salua Ryu en se découvrant d'un chapeau invisible, la dalle où était la cage s'éleva poussé par de gros pistons sous elle. Les cinq hommes se pressèrent et prirent l'escalier juste devant Ryu qui suivit tranquillement.

De retour dans la grande salle, Ryu passa devant le groupe d'hommes en train d'ouvrir la grille cerclant le trou, bientôt le maitre de cérémonie y apparut, et progressivement, c'est toute la cage qui arriva. La dalle arrêta sa progression et le groupe d'hommes tirèrent à nouveau la cage, tandis que le maitre de cérémonie assit en tailleur dessus ordonnait qu'on laisse place.

Ryu revint dans la salle de spectacle, la musique c'était arrêter et les danseuses étaient parties, Ryu traversa la salle qui observée le calme, et rejoignit dame Tilos à leur table, " vous vous sentez mieux ? " Demanda-t-elle sans lui prêter une grande attention.
- " Ça va un peu mieux, j'ai loupé quelque choses ? " S'enquit-il en observant les gens silencieux.
- " De jolie danseuse et Mr. le Baron de la chair, elle tourna son regard sur Ryu, mais je suppose que ce que vous aviez à faire était plus intéressant.
- Mrs le baron ? Que faisait-il sur scène ? " Demanda Ryu intrigué.
- " Il a juste annoncé la fin de la vente qu'il promet exceptionnel. " Soupira t'elle en faisant tournoyée son doigt dans son verre vide.
- " J'attends ça avec empressement... " Susurra Ryu, le regard fixé sur la scène.
- " j'ai audience avec le baron de la chair après le spectacle, je vous demanderais de m'attendre ici."

Une explosion éclata sur la scène, un énorme nuage de fumée se déversa dans la salle gagnant vite les hauteurs. " Messieurs et Mesdames, merci de votre patience, passons sans attendre au clou de la soirée. " Le Maitre de cérémonie sortit de la fumée avant quelle ne se dissipe complétement. Vêtu tout de rouge vif, et d'une longue cape rouge, il fit une roue faisant tournoyer dans le vent sa cape et s'arrêta juste au bord de la scène, il enchaîna sur un salto arrière et retomba assit sur le bord suivit par sa cape qui se coucha délicatement derrière lui. Il lança quelque chose en l'air, une explosion de fumée rouge surgit au-dessus du public stupéfié, l'explosion s'accompagna d'une pluie de paillets blanche qui virevolta dans toute la salle. Le grand Rideau dans le fond de la scène s'ouvrit doucement, une cage voilée fut poussée au milieu par cinq hommes en sueur, ils arrêtèrent l'énorme cage au milieu de la scène et repartirent tandis que le rideau se refermait. Le maitre se releva simplement et marcha vers celle-ci, il s'arrêta a quelque mètre devant elle, tendit ses bras vers elle, et balança frénétiquement ses doigts dans l'air, puis il tira comme s'il y avait une corde invisible. Le voile de la cage s'envola laissant apparaître, une fumée noire remplissait totalement l'intérieur la cage, et tandis que celle-ci se disperser lentement une ombre gigantesque se dessina à l'intérieur, le public étaient médusé, l'ombre frappa contre les barreaux, une grande griffe s'y discerna brièvement, les gens au premier rang sursautèrent. " Messieurs et Mesdames ! Vente exceptionnelle ! Un authentique  ! " La fumée s'effaça complétement, un bruit strident tinta, de grande griffe vaguement recourbée rongea l'acier de la cage.

                                        "! Canis Hebetatrix Umbra !"

Un immense chien hirsute aux poils noir se montra, sa grande gueule était ornée d'énormes dents brillantes comme l'acier, ses grands yeux noirs observèrent avec convoitises autour de lui. Un pétard explosa non loin de lui. Le chien prit comme responsable le maitre de cérémonie, qui souriait de toutes ses dents. Un intense rugissement fit vibrer les barreaux, son rugissement gagna d'un coup en intensité, de ce claquage le Canis cracha un amas de fumées noir qui fonça droit sur Le maitre, qui esquiva d'un vif pas chassé, la boule de fumé s'écrasa sur le mur et se dilapida instantanément. Le maitre s'avança au bord de la scène, le Canis recommença son cri, le maitre de cérémonie esquiva et de sa cape, il dissimula jusqu'au dernier moment au public assit juste devant lui, la boule de fumée qui jaillit sur eux, certain prit de panique tombèrent de leur chaise, alors que la boule passait juste au-dessus d'eux, elle perdit rapidement en vitesse et s'effaça.
" Pas besoins de vous dire à quel point cette bête et fantastique, alors je vais juste me contenter d'attendre vos prix. " L'assemblé étaient encore sous le choc, après seulement un bon moment une personne se leva et cria : " 50 pièces d'ors ! "
Un autre se leva tout de suite, " 100 ! " S'égosilla-t-il.
L'hystérie s'empara de la salle, tous hurlaient leur prix tandis que le maitre de cérémonie essayer d'entendre le plus grand, les quantités d'offres haussèrent très rapidement et la salle commença à revenir sur terre. Après un certain moment, il n'était plus que deux engagés dans un duel a mort.
"450 ! " Cria l'un des hommes au masque de plumes.
- "500 ! " Annonça l'un des trois hommes au costar rouge, tout en fumant un cigare.
- " 800 !" Reprit le premier, la salle lâcha un hoquet d'étonnement, l'annonceur attendu un petit instant la riposte de son adversaire, celui se rassit désappointer, le vainqueur se retourna vers Le maitre qui commença alors compter : " 800 une fois...
- Sa ne vous intéresse pas ? " Demanda ryu.
- " 800 deux fois...
- je n'ai ni la place, ni l'utilité. " Répondit, sèchement dame Tilos.
- " 800 ! Adjugé vendu ! Monsieur félicitation ! " Clama Le maitre avant de repasser prés de la cage sans trop de prudences. " Messieurs, Mesdames, sans plus attendre voici le clou du spectacle ! "
Le rideau s'entrouvrit et une plus petite cage également voilée, mais d'un voile léger, fut poussée au côté de celle du Canis. Le Canis grogna contre les pousseurs de la cage qui partirent très vite, Le maitre ramassa la bâche jetée précédemment, et d'un bond, sauta sur la cage du Canis et la recouvra juste avant que celui-ci crache sa fumée, qui fut immédiatement repoussée par la bâche retombant à sa place. Il passa ensuite sur l'autre cage d'une grande enjambée. " Ce lot est tellement précieux que je ne vais pas avoir à vous le vendre, je vais juste vous prouvaient son authenticité alors s'il vous plait résistez à la tentation de crier votre prix avant cela. " Recommanda-t-il en s'avançant au bord avant de la cage, " Messieurs, Mesdames ! " Il fit un salto avant en emportant le voile. Le public écarquilla les yeux, certains tombèrent de leur chaise, Dames Tilos s'étouffa en buvant une gorgé d'eau, Ryu serra le poing, le maitre se réceptionna avec légèreté, se redressa et annonça à la salle les bras tendus vers le ciel :
                                                     
                                          " Une Lux !"

À genoux se révéla, une jeune femme, menotter par les poignets au barreau horizontaux du haut de la cage comme crucifier, comme le serait un papillon aux magnifiques ailes, clouté sur une tapisserie. Ses longs cheveux blonds couvraient son visage pour ensuite glisser le long de ses délicate courbes pour enfin ondulaient de ses boucles blondes sur le sol, telle une mer d'or en pleine tempête. La fille releva la tête ses fins cheveux glissèrent dévoilant ses yeux bleus semblables à des étoiles guidant les marins vers des mers plus clémentes. Bien que privé de son chant de sirène par un bâillon, elle hypnotisa tout le public.
L'assistance resta muette, le maitre de cérémonie revint sur la grande cage, attrapa un bout de la bâche et tira, ouvrant du côté de la Lux, le Canis poussa de violents grognements, la fille prit peur à la vue de cette bête tout comme le public tétanisé, le Canis augmenta encore plus qui n'était possible l'intensité de ses grognements, si bien que les verres du public se mirent à vibrer, la crainte se traduisit en sueur chez certain. Le maitre de cérémonie remis, la bâche, le public reprit alors son souffle, et un groupe de personnes vinrent retirer la cage du Canis, les hurlements du Canis faiblirent, et l'on pouvait à nouveau s'entendre.
" Voilà qui lève tout doute concernant son authenticité n'est-ce pas ? " Conclu, le maître en s'appuyant sur la cage. Maintenant, c'est à vous de me dire votre prix. "

Si toute a l'heure, la frénésie, c'était emparer de la salle, maintenant, c'était le chaos, comme tout le monde si attendez la bataille se concentra rapidement aux tables en hauteur, tous en même temps criaient leurs prix, il n'avait même pas fini que déja un prix beaucoup plus supérieur était crié. Le maitre de cérémonie ne reporter même pas les prix, assis sur la cage, il se contenter d'attendre en balançant ses pieds dans le vide, affichant un sourire béa.
" Pardonner moi madame, mais toute cette agitation me fait tourner la tête, je vais me rafraichir. " S'excusa Ryu, en se levant de table, surprise dame Tilos mit un instant à répondre," Si je ne suis pas là à votre retour, c'est que je serais avec Mr le Baron, attendez alors mon retour.
- Bien, madame. " Acquiesça Ryu, disparaissant déja dans le chaos.

Ryu passa à nouveau, par le couloir adjacent à la scène et arriva à l'arrière-salle, tout le monde, c'était agglutinaient derrière le rideau, trépignant d'excitation, la hausse des prix, parfaitement audibles parmi le silence de tension installé ici.
Dans le renforcement où était montée la cage plus tôt, trôner celle-ci face à la grande porte en train d'être ouverte, par six hommes a bout de souffle, tombant de fatigue. Personne ne faisant attention à lui, Ryu s'engouffra dans une petite pièce après avoir regarder qu'il n'y avait personne. Dans ce qui était manifestement un débarras, il jeta sa veste qui entraver ses mouvements dans un coin, et enleva son pantalon de noble au profit d'un autre caché en dessous beaucoup plus large et moins tape a l'œil, il releva le bas de son pantalon pour y détacher deux larges bracelets de cuir noir, qu'il serra ensuite autour de ses poignets. Ceci fait, il ressortit tout aussi furtivement qu'il était entré.

Le vacarme autour d'elle était assourdissant, une cinquantaine de paires de yeux malsains la déshabillaient d'un regard répugnant, mais au moins le monstre hurlant comme mille hommes enragés, était partit. Le pantin au dessus de cage s'arrêta de frappait du pied sur les barreaux, pour sauter devant t'elle, toute en la dévisagent, il fit apparaitre une lumière aveuglante dans sa main, fatigué, elle n'en pouvait plus et s'évanouit.
Lentement, elle rouvrit les yeux, brimbalée dans tous les sens, ses poignets lui fessaient de plus en plus mal. Elle n'a pas mangé, à peine a-t-elle eu le droit a une lampé d'eau. Elle a froid, ses vêtements sont trop légers pour cet endroit pas chauffé. Elle a sommeil, les cris et les plaintes de ses compagnons de cellule, l'on empêcher de plonger dans un rêve réparateur.
Secouer, elle peine à voir la moindre chose concrète à travers ce voile, elle y distingua tout de même des personnes masser autour de sa cage, tous jacasser dans un vacarme incompréhensible, un gars cria alors quelque chose et ces personnes s'éloignèrent...
L'agaçante, mais réchauffante, chaleur de ces personnes se dispersa. Maintenant poussé dans un couloir froid et vide, d'où le souffle des personnes poussant la prison, résonné dans ce silence. Soudainement la cage s'arrêta, le bruit que fessai ses entraves furent rejoins par d'autre identiques, un homme cria, alors l'imprésion que la cage se souleva se senti, le tout accompagné par un grissement de poulie. le déplacement s'arrétta aussi brusquement qu'il avait démmarer, trois silouete encerclairent alors la cage, a nouveau en mouvement, a nouveau ses poignet la tirailler a chaque maladresse des hommes tirant sa prison.
la cage s'arretta encore, mais l'agitaion autour d'elle disparuent. Elle ne s'avait toujours pas ou elle était ni ce qui l'attendait, mais la chaleur de cette piéce régnant de paire avec le calme, sufit pour qu'elle s'assoupise.

Elle ouvrit les yeux, un homme était accroupi juste devant t'elle, un homme portant un masque effrayant, un masque blanc couvert de yeux peint en violet, apeurait, elle détourna le regard et tenta de savoir où elle se trouvait, sa cage était au beau milieu d'une pièce close au parquet magnifique et aux tapisserie rouge cerise, il y trônait une magnifique cheminée fraichement ravivé, tout en pierre blanche, devant celle-ci, un grand homme, portant une armure complète, au reflet vert, sur ses hanches était attaché une longue épée courbé, une sorte d'épée quelle n'avait jamais vue auparavant, et pourtant, elle avait vue défilé des centaines d'hommes devant t'elle. L'homme portait un casque intégral cachant son vissage, rien cas le regardait, on ne pouvait oser lui manqué de respect, de lui se dégager une puissante aura de guerrier.
Elle continua de scruter la pièce sentant que l'homme la fixer toujours, les murs étaient décorés de tableaux, représentant tous des hommes et des femmes en pleine orgie ou en séances de torture, et d'autres mêlant les deux. Elle ne s'éternisa pas sur ces images obscènes, son regard esquiva à nouveau celui de l'homme masqué, pour finir par admirer le bois et les enjolivures d'or d'un splendide bureau. Elle vit alors un troisième, accouder à ce bureau un homme corpulent, au teint jaunâtre, les yeux gris, un visage bajoue, aux cheveux gras, habillé d'étrange frusque couvert de plumes et de paillette, il était essoufflé ou bien avait-il trop abusé d'alcool, néanmoins, il la fixer, un large sourire salace aux lèvres. L'homme masquer tendit une main vers elle, épuiser et entraver, elle ne tenta rien pour éviter cette main, l'homme enleva doucement les boucles blondes qui cachées une partie du visage de la fille, elle y décela alors parmi les yeux factices et froids, une paire d'yeux Pers oscillant entre le violet et le bleu, ces yeux étaient parcourut d'une puissante émotion, une émotion qu'elle prit pour de la tristesse ou de la compassion a son égard, toucher par ceux-ci, elle aurait fendit en larmes s'il, elle n'était pas autant exténuée.

L'homme se releva subitement en direction, de l'homme prés du bureau, " espèce d'imbécile ! " Gueula t'il en giflant le vissage bouffi de l'homme, sa voix était grave et déformée, elle ne paraissait pas humaine. La gifle fit perdre l'équilibre déja bancal de l'homme aux paillettes, il s'écroula pesamment sur le bureau renversant des bouteilles qui vinrent se briser par terre.
L'homme resta impassible devant l'autre qui sanglotait, "Qui... Qui a-t-il ? " Gémit-il, tenant sa joue enflée de ses mains. L'homme masqué se retourna vers la cage, libéra la fille du bâillon. Enfin, elle était en était débarrasser de ce bâillon qui l'empêcher de bien respirer et qui déshydrater ses lèvres depuis trop longtemps. L'homme délia ensuite les sangles qu'elle avait aux chevilles et aux poignets, lorsque le second poignet fut libéré, elle n'était plus maintenue en l'air et s'écroula. Couchée, elle caressa du bout des doigts sa peau à vif, rongé par les liens, avant d'être interpellé par une bouteille se brisant sur le plancher. Le bougre manifestement imbibé d'alcool rampait par terre, une de ces mains toujours posée sur sa joue rougit, il reculait, effrayait, " Que faite, vous ? C'est, c'est une Lux, elle va nous punir ! " Bredouilla-t-il, l'autre homme le rattrapa et le saisit par le col, avant de le trainer devant la cage, pétrifier de peur, il n'osa plus bouger.

L'homme masqué se pencha vers elle, " dis-lui, ton nom. " Exigea-t-il d'un ton sèche son regard bienveillant devenue colérique. Surplombant l'homme en piteux état, elle mit un instant à répondre, " Lu... Lucya Hordon. " Bégaya-t-elle, gênée par sa gorge sèche. L'homme rampa jusqu'au mur opposé, encore plus effrayait qu'auparavant, il ne quitta plus l'homme masqué du regard. Lui se servit alors un verre depuis un petit assortiment épargner du bureau, verre en main, il revint et le tendit à Lucya, "Je me présente, on me nomme Mr.Sheep, tenez un verre d'eau plate. " Lucya se jeta dessus le buvant d'une traite, " Encore ? " Lucya acquiesça de la tête en lui redonnant le verre, " Vous voyez mademoiselle Hordon, l'idiot-là bas et le Baron de chair et du sang, et cet idiot n'a pas prit le temps de réfléchir à la possibilité de parler de la capture d'une lux a son supérieur. " Il donna à nouveau un verre plein à Lucya qui le bue plus lentement, " et c'est là qu'es mon problème, cet idiot a voulu vous vendre sans me consulter auparavant, pour me faire la surprise en quelque sorte. " Mr.Sheep donna à Lucya une grosse miche de pain de la table, " Oui, la surprise était là, mais des surprises comme ça, je m'en passe bien, et si dans le public il y avait quelqu'un de plus intelligent que la moyenne des imbéciles travaillant ici, il aurait pu se dire " tient ! Une Lux, quelle coïncidence avec la disparition de Lucya", on peut être sûr que le prince Hordon Héliric aura vite vent de cette rumeur. Je dois donc...
Il fut interrompu par quelqu'un frappant à la porte, il ramassa le bâillon de Lucya et lui remit, elle ne tenta rien pour se débattre encore trop fatigué, " Je vous demande de rester calme pendant encore quelque instant, ne l'enlevait pas, et ne bouger pas non plus. " Astreignit-il ne serrant que faiblement le nœud, " Et toi ! Pas un mot non plus, mais redresse-toi ! " L'homme a terre ne se fit pas prier et se releva en s'aidant fortement d'un mur, " Entrez ! ".

Ils rentrèrent un par un dans le bureau. Passa en premier, un homme a peine plus âgée que Lucya, fort bien battit, au teint de peau bronzé, aux cheveux noir coupé très court, d'un pas rude et prompt, il jeta à son passage un regard fier et un sourire réjoui à Lucya, son visage carré était couvert de balafre, dont une coupant presque symétriquement son œil gauche, de ses yeux marron, il dévisagea ensuite sans peur l'homme en armure toujours parfaitement immobile, avant de se tenir bien droit devant Mr.Sheep. Le second suivait de prés, il était le portrait du premier, la peau bronzée, les cheveux court, les yeux marron, mais les siens paraissaient plus doux, son visage était également moins balafré, sa démarche plus élancée ne fessai aucun bruit, car couvert par les bruits du premier. Il ne prêta pas plus attention à Lucya cas l'homme en armure préférant admirer d'un œil émerveillait les bibelots de la pièce, il s'arrêta aussi droit que l'autre devant le bureau. Un troisième suivi alors, ce qui la frappa en premier chez lui, ce fut ses yeux vairons, l'un marron noisette, l'autre bleu foncé, le teint blanc, les cheveux brun et lisse noué en queue de cheval, il avait les épaules étroite et le visage fané et apparaissait comme beaucoup moins robuste et plus âgée que les deux premiers. Il parcourra d'un regard rapide et précis toute la pièce et ses personnes en se dirigeant vers le bureau avec nonchalance, ses épaules affaisser ses mains dans les poches sa démarche trancher complétement avec son regard vif. Il passa devant la cage, et dévisagea alors Lucya, c'est des yeux débordant de colère, qu'elle vue alors, une colère incompréhensible mais tellement forte qu'elle ne pouvait les ignoraient. Il relâcha son poing serré lorsque qu'il s'aligna avec les autres devant le bureau ou s'était installait dans son magnifique fauteuil Mr.Sheep, tandis que Le Baron se plaça en retrait derrière lui.

" Bonsoir messieurs " Il fit signe du doigt et le baron s'exécuta docilement, il commença à remplir des verres de vin d'une main tremblante. " Je tenais à vous féliciter en personne pour cette magnifique prise. Je serai ravie de vous remettre votre paye en personne, mais avant je me pose une question, comment l'avez-vous capturer ? " S'enquit-il, tandis que le baron remplissait son verre. " Nous l'avons trouvé endormis dans un bosquet, elle n'a eu le temps de rien faire. " Répondit celui à la cicatrice sur l'œil, " Eh bien, on peut dire que vous êtes chanceux, messieurs... " Il se leva et tendit son verre a l'assemblé. " À votre chance messieurs ! " Mais alors qu'ils se préparer tous a boire, la porte s'ouvrit brusquement, une famille de personne pas plus grand que deux pommes envahirent en un instant la pièce, Mr.Sheep se releva promptement, les trois gars devant le bureau s'écartèrent lui offrant un angle de vue. Un mastodonte entra alors, trainant trois femmes enchainer à chacun de ses poignets, " Où ? Être ma femme ? " Hurla-t-il, en s'avançant, d'un pas lourd et impatient. " C'est l'acheteur de la Lux, monsieur, on lui avait dit d'attendre dans la salle, le temps qu'elle se vide pour éviter le foutoir." Chuchota le Baron à l'intention de Mr.Sheep. " Elle et a moi, j'ai gagné ! " Balbutia-t-il en pointant Lucya du doigt, emportant violemment les filles entravaient à son bras dans le mouvement. " Ah, c'est vous ! " Se réjouît subitement Mr.Sheep levant les bras main au ciel, " Monsieur je suis peiné de cette attente mais nous étions en train de régler quelques menus détails, mais maintenant que vous êtes là pourquoi ne pas trinqué avec nous ! " Proposa-t-il, faisant signe au Baron, qui remplit un nouveau verre " Si, ça être bon d'accord ! " Accepta le colosse, en se léchant les babines. Le baron s'approcha avec le verre fraichement rempli, mais l'un des Lilliputiens l'intercepta, lui arrachant le verre des mains, et s'éloigna du Baron ahuri, il inspecta rapidement de l'œil puis du nez le contenu, puis il jeta le verre contre le mur, " Niquara, Niquara basté ! " Beugla-t-il, en sautant sur place. Le mastodonte dégaina son sabre, vite suivit pas les petits hommes , " Hurga Nipiti Hôrm ! " Rugit-il.
Deux des gnomes se jetèrent sur le Baron, le poignardant à plusieurs reprisse avant que celui ne s'écrase au sol, Lucya se fit arroser de sang, horrifié, elle s'écarta le plus possible, le gars a la cicatrice laissa tomber son verre, imité prestement par ses compagnons, " Yoshitsune, seulement la Lux. " Soupira Mr.Sheep, en s'écartant du bureau.

L'homme devant la cheminée dégaina sa longue épée, libérant un son éthéré qui résonna un court instant, d'un fulgurant coup de pied, il éjecta l'un des gnomes jusqu'à l'autre bout de la pièce, et en trancha un autre obliquement, la seconde d'après il en coupa encore un autre, la seconde encore après il en embrocha deux autres en même temps. Dans sa cage Lucya, horrifier en avait le souffle coupait, cramponner au barreau, elle vit alors deux gobelins se détacher du lot pour se précipiter vers elle, " Gaar, on se casse d'ici ! " Ordonna l'homme à la cicatrice, de la fumée noire s'échappa subitement de ses mains et en sortie deux haches. Il décida de traverser la bataille, un Lilliputien se jeta droit sur lui, d'un coup de pied, il le repoussa facilement, mais derrière celui-ci apparu un foudroyant tranchant d'épée, surpris par la vitesse, il tenta maladroitement de parer, le coup le saigna de la poitrine droite à la hanche gauches, le guerrier bondit et lui asséna un puissant coup de genou dans la mâchoire, le choc se répercuta sur ses dents dont l'une d'elles cassa, l'homme à la cicatrise tituba, le guerrier n'eut pas fini et sans reprendre appui au sol, il lui donna un coup de pied qui le propulsa contre le bureau, ses compagnons se précipitèrent vers lui inquiet de son état.

Celui qui fut nommé Yoshitsune par Mr.Sheep, demeura devant les trois hommes désarmés, en penchant la tête il évita un poignard arrivant de derrière lui, un gnome bondit sur lui, sans se retourner il l'embrocha de son sabre, d'un tournoiement il le renvoya loin de là. Rapide comme le vent, il fonça alors vers le mastodonte, foudroyant les petits hommes sur son passage, à porter du colosse, il frappa, le colosse rugit et avant que la lame ne le touche, il envoya les femmes de son bras droit d'un mouvement athlétique devant lui, les tripes et les boyaux giclèrent, les trois femmes en pleurent gémissaient dans leurs douleurs, tandis que leurs bouches crachaient du sang.
" Cette enfoirée veut notre mort, Harmas fait nous sortir de là. " Gemissa l'homme blessé, son compagnon se releva et forma une boule feux dans ses mains, tandis que le sabreur fessait giclé le sang. Lucya fut sorti de sa prison par cinq gnomes, qui la soulevèrent au-dessus d'eux. Yoshitsune bondit an l'air au dessus du colosse, après plusieurs rotations, il frappa, encore une fois le colosse tira l'une de ses femmes dans la trajectoire du coup, découper de haut en bas, elle semblait encore consciente quand ses deux moities se sépareraient. Le colosse beugla en regardant son bras s'envolait, les gnomes transportant Lucya sortirent furtivement de la pièce à ce moment, à peine quelques pas plus loin, une explosion souffla depuis la pièce, un nuage de fumée envahissant tout le couloir.

Les gnomes, la transportèrent maintenant dans des escaliers, ils arrivèrent dans la grande salle des coulisses, des hurlements retentissaient. Ils se tournèrent vers la grande porte a coté du monte-charge, celle-ci était recouverte de sang et de morceaux de peau, ils grimacèrent de dégout avant de partir de l'autre côté. Dans la salle, le grand rideau était ouvert projetant des cris inquiétants, quelques personnes en pleure fuyaient chacun de leur côté. Les gnomes allaient s'engager dans un couloir attenant, au moment où un homme s'écrasa férocement sur le mur en face d'eux, puis un intense grognement sonna, un nuage de fumée venu d'un coin obscur le percuta, l'homme encore conscient se releva tirailler par la souffrance, il cria comme cent hommes, il tenta frénétiquement d'enlever la fumée collait à lui, mais là ou il essayait de l'enlever celle-ci se s'étalait encore plus vite. Il tendit son bras droit qui se mit a gonflait, si fortement que la pression exercer déchira sa peau, la seconde suivante, son bras éclata, aspergeant de sang et d'os tout autour de lui. Tout son corps subit bientôt le même sort, d'abord ses yeux, qui gonflèrent de l'intérieur, s'échappèrent de leur orbite et éclatèrent, puis ce qui resté de lui explosa dans une tempête de boyau et de tripe recouvrants tout jusqu'au plafond.

Le Canis hebetatrix umbra, sortit alors de l'ombre...
De ses crocs coulaient des flots de sang, une jambe arrachée se balancer au bout d'une de ses griffes. Il s'avança lentement en direction des gnomes pétrifiaient, celui qui maintenait les jambes de Lucya lâcha prisse et s'écarta, l'hebetatrix umbra commença de nouveau à grognait, les collèges du premier gnome l'imitèrent mais plus brutalement, ils jetèrent Lucya sur le plancher, avant de prendre la fuite à toute jambe. Le Canis, n'en prit pas compte, et continua d'avancer vers elle, son grognement gagnant en intensité. Libérée de leurs emprises, Lucya était maintenant sous emprises de la peur, un ruisseau de larmes afflua sur ses joues, de son bâillon s'échappa un long soupir plaintif. Le monstre arrivait à quels mètres de sa victime, cracha son poison, qui fila droit sur elle. Elle ferma les yeux sur le cauchemar qui allait frapper, arraché à sa vie de château, tant d'horreur et de souffrance s'était abattue sur elle en si peu de temps, comme un oiseau tombé du nid, elle n'avait pas sa place dans ce monde si bas comparé à la branche de son arbre...

Elle rouvrit brusquement les yeux lorsqu'un choc la percuta de sa droite, un bras encerclant son abdomen, la tira loin de la trajectoire de la mort, elle s'effondra par terre, en parti amortie par le corps de quelqu'un. Quelqu'un qui l'avait sauvé au périple de sa propre vie, surement un chevalier blanc d'ont les comptes d'enfant narre les aventures, un héros qui emmènerait la princesse loin d'ici sur son fidèle destrier. Alors que l'homme se relever devant t'elle, elle parut déçue, mais surtout troubler, elle le reconnut en un instant, c'était l'homme qui l'avait enlevé durant son sommeil et qui l'avait emmené ici, comment un homme dépourvu d'honneur avait-il pu risquer sa vie et pourquoi ?

Ryu se releva, il sortit aussitôt une lame de sa manche, une lame translucide avec une garde accentué de pointe tourner vers le haut, Lucya poussa un hoquètement de terreur, elle resta sans bouger tandis que Ryu recula légèrement. Il regard alors en haut d'elle, elle fit de même, un homme en métal était très haut au-dessus d'elle, rouler en boule et effectuant plusieurs salto, il redescendit sur Ryu et frappa, la puissance du choc brisa la lame de Ryu, et le repoussa loin, Yoshitsune reprit appuis au sol et fonça sur lui. D'un bond sur une table, Ryu esquiva la charge féroce du Canis, il sortit à nouveau une lame de sa manche.
Yoshitsune arriva juste derrière la traîner d'ombre laisser par le Canis, son arme droit devant lui afin de transperçait Ryu, Ryu prit appui sur l'arrière de la table, sauta sur le mur derrière lui, fessant basculer la table au passage, la lame de Yoshitsune se planta dedans, Ryu en prenant appui sur le mur sauta par-dessus Yoshitsune en lui balançant trois dagues, sa lame toujours bloquer dans le bois de la table Yoshitsune souleva celle-ci du bout de son sabre au dessus de lui, servant dans un premier temps à arrêter net les dagues et dans un second temps en tant que projectile à l'intention qui lui permit aussi de retirer son épée, Ryu qui venait de réatterrir fit trois pas rapide vers la table qui filait maintenant les quatre pieds diriger vers Ryu pratiquement a la parallèle du plancher, il sauta vers celle-ci créant une rotation lorsque son pied la frappa, la table glissa sur le sol les pieds en l'air, Ryu maintenu son équilibre un instant dessus, avant d'en sauter, à la rencontre de Yoshitsune.

Trois fois, les lames s'entrechoquèrent, Yoshitsune en attaque, Ryu en défense, ils se séparèrent lorsque le Canis se jeta sur eux les crocs et les griffes déployaient. Mr.Sheep arriva dans la pièce au moment où le Canis s'écrasa sur des accessoires de décors, il se précipita sur Lucya, Ryu le remarqua mais un coup de Yoshitsune ramena son esprit dans l'affrontement. Mr.Sheep aida Lucya à se relever qui se laissa aider trop fatigué pour refuser même l'aide d'un malandrin, elle avait enlevé son bâillon. Mr.Sheep lui prit le bras, a son oreille il chuchota : " Ne dis pas un mot, écoute seulement. Tout le monde te cherche, ton père va remuer terre et ciel pour te retrouver et il y arrivera, en attendent reste bien avec lui, il est le seul qui puissent te protéger jusque-là. " Le trouble se lut dans les yeux de Lucya, que voulait-il dire ?

Le Canis toucha du bout de l'une de ses griffes le mollet de Ryu, il arrêta cependant le coup de Yoshitsune juste au dessus de sa tête, mais déconcentré par le coup du Canis, il ne vit pas venir le pied de Yoshitsune qui le frappa aux côtes en lui coupant le souffle, laissant un second l'envoyer bal dingué au loin, Ryu passa à travers un décor et s'arrêta de glisser non loin de Mr.Sheep et de Lucya. " Va. " Lui susurra t'il a l'oreille, et alors que Yoshitsune courait sur Ryu, il ordonna : " Yoshitsune ! d'abords le Canis !" puis il poussa Lucya vers Ryu. Ryu se releva décontenancé, attrapa la main de Lucya, et s'enfuit avec elle en s'étant auparavant assuré que Yoshitsune s'occuper bien du Canis ce qui était le cas. Au dernier moment avant de tourner dans le couloir, Lucya regarda en arrière et vit Mr.Sheep hocha la tête à son intention. Ils tournèrent à droite, toujours tirait par Ryu, elle resta silencieuse, ils arrivèrent vite à une porte ouverte d'où le froid extérieur s'engouffrer.
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Ils sortirent de l'entrepôt non loin de la grande porte de derrière, ils se dirigèrent vers une ruelle exigüe, un homme assis contre un tonneau se releva et observa sans rien dire une torche allumée à la main tandis qu'eux couraient dans sa direction. Lorsque qu'ils ne fusent plus qu'a quelque mètres, il dit : " il y a eu des cris, des gens se sont enfuis, j'ai cru à un moment vous avoir rater." Ryu lui lâcha au passage une bourse qui clinqua au sol, l'homme sourit et donna sa torche aux deux fuillards. Ils coururent maintenant dans la ruelle, la pierre froide tiraillant les pieds nus de Lucya. Alors qu'ils allez tournait la silhouette de Yoshitsune courant vers eux se dessina à la porte. Au tournant Ryu stoppa dans une impasse, il ne s'occupa pas un instant de son mollet ruisselant de sang, il posa la torche à terre, souleva une plaque au sol dévoilant un trou, il attrapa Lucya des deux mains, et l'invita à descendre, la tenant a bout de bras, il la déposa en bas et sauta ensuite torche en main. " Il est juste derrière nous. " Lâcha Lucya, sans trop comprendre pourquoi elle avait dit ça.
- "Je sais, pas le temps de s'arrêter. " Répondit promptement Ryu.
 nouveau, il lui attrapa le bras...

Ils coururent un moment dans un dédale de couloirs tout de pierre plongeait dans l'obscurité, il ne s'arrêtait pas pour choisir entre droite et gauche, il semblait connaitre le chemin par cœur, malgré la lumière du flambeau pas toujours efficace. Après quelques minutes, il s'arrêta dans un tournant poussa un petit ornement en cuivre d'ou s'écoula un liquide, il referma le cercle de cuivre lorsque le liquide alors que le liquide s'était beaucoup étalé sur le sol, il passa sa torche dessus, et toute la flaque brula instantanément. Il reprit sa main et l'emmena plus loin dans le long et droit couloir, sans lâcher la main de Lucya, il sauta pour manipuler quelque chose en hauteur sur le mur. Un cliquement retentit, et il frappa de l'épaule le mur, une fois puis deux, à la troisième le mur bascula, il emmena alors Lucya à l'intérieur du passage secret.
Un petit couloir ainsi qu'une étrange porte étaient dissimulés là, il alluma une torche au mur à l'aide de la première. Puis il revint vers le mur resté ouvert et le manipula jusqu'à ce que la lumière des flammes allumées là-bas soit la plus forte. Il revint vers l'étrange porte, une grande porte en acier, couverte de symbole avec au milieu une bouche hurlante sculptée dans l'acier.

Il passa ses doigts sur les pierres du mur adjacent, et s'arrêta sur l'une d'elles, il la tira hors son emplacement, il la déposa par terre, la pierre avait était tailler sur l'une de ses faces, il se releva et passa ses doigts sur les pierres du mur d'en face. Sur le mur de la pièce secret, une ombre se dessina parmi la lumière des flammes, Ryu le vit tout de suite, il émit un bref grognement de résignation, et sortit de sa poche une boule d'acier recouvert de piques. Il la jeta dans le couloir en la fessant rebondir sur l'angle du mur, tandis qu'il tira une autre pierre à lui, dans le couloir retenti un claquement sourd, l'ombre disparue brièvement avant qu'une myriade de petites piques volèrent dans tous les sens, se percutant dans le couloir allant jusqu'à se planter sur le mur pivotant qui ne bascula point. Il en relança une deuxième, celle-ci rebondit également sur le mur, atterrit hors de vue dans le couloir , l'ombre qui c'était relevé disparut à nouveau, un claquement retentit encore et une volé de piques se déploya encore, au même moment Ryu joignit les deux pierres ensemble par leur face tailler, et les bloqua à la vertical dans une anfractuosité au sol, ou ils s'emboitèrent parfaitement. Il relança une autre boule de piques, et tandis qu'elle explosa, il versa de l'eau de l'un de ses bracelet de cuir, dans un trou formé par deux scissures lors de la rencontre des deux pierres. Lucya observait ce curieux manège, affalé contre un mur. L'ombre se remit en mouvement, et recula lorsqu'une quatrième boule explosa dans le couloir, pendant ce temps Ryu posa sa main libre au-dessus des pierres gorger d'eau. Il en relança une cinquième et retira les pierres de socle, les séparèrent, et retira un étrange cristal de glace forgé dans les moules. Il fit signe à Lucya de se lever, mais elle n'en avait plus la force, l'ombre se rapprocha à nouveau, Ryu glissa le cristal dans la bouche hurlante, il la tourna plusieurs fois, il se retourna et releva Lucya, des cliquetis bruissèrent dans la porte, l'ombre se dessina presque jusqu'au haut du mur, lorsque la lourde porte s'ouvrit, il jeta à l'intérieur l'une des briques, aida Lucya a se lever, entra en tirant Lucya avec lui, Yoshitsune apparut au moment où Ryu referma la porte. Il tourna une grosse manivelle sur la porte, un long grondement d'acier vibra, il lâcha un long soupir de soulagement en se laissant glisser contre la porte jusqu'au sol.

" Tout cet or ! D'où vient-il ? On croirait voire le trésor royal. " Dans la petite pièce carrée aux murs d'aciers, étaient étaler des tas et des tas de pièces d'or, luisant à la lumière de la torche qui embellirent les murs d'aciers de reflet d'orée. " Qui es qui a entreposé tout ça ici ? " Demanda Lucya, les yeux pétillants retrouvant une once d'énergie.
- " Ça vient de petits boulots que j'ai faits à l'époque. " Répondit Ryu, grimacent en inspectant son entaille au mollet, il y déchira le tissu imprégner de sang.
" Vous l'avez volé. " Conclu t-elle, sans aucune forme d'interrogation, tandis qu'elle plongea la main dans un tas et s'étonna de la profondeur.
" Je l'ai obtenue malhonnêtement, à la sueur de mon front. " Répliqua Ryu, en sortant la clé de glace de sa poche, il la serra dans sa main juste au-dessus de sa blessure, celle-ci fonda aussitôt et il s'en servit pour nettoyer sa plaie. Lucya s'affala dans un tas, " Vous êtes un Kalidorien, vous utilisez la magie interdite, vous pliez les forces naturelles afin qu'elle suive vos propres dessins. " Sa voix exprimant, une sensation de dégout prononcer. Ryu ne réagit pas, et finit de serrer son bandage précaire prélevé de sa chemise. " Écoutez, je n'y suis pour rien dans cette guerre, laisser moi partir". Dit-elle quasiment sur le ton de la supplication.
- " Au contraire, vous y êtes pour une grande part. " Il se leva, fouilla dans une commode seule meuble de la pièce. " Mais cette guerre m'importe peu, ce qui m'importe maintenant, c'est qu'on file d'ici avant que tous les sbires du Baron soient là.
- Quelle est ma part de responsabilité dans cette guerre ? " Demanda t'elle en se redressant.
- "Peu importe... " Ryu vient lui donner une petite portion de viande sécher conservé dans un linge poussiéreux.
- "Non dis-le-moi. " Insista Lucya en repoussant l'offrande avec aversion.
- "En quoi l'avie d'un voleur vous intéresse ? " Ajouta t'il en mordant dans la viande élastique, alors que Lucya grimacé.
- "Je... euh. " Elle hésita un instant, puis se lança. "J'ai surpris de nombreuses fois des messes basses qui fessèrent allusion à ça au château, mais personne n'ose en parler en ma présence, par crainte du roi surement. Mais vous, mon père ne vous fait pas peur, puisque vous avez eu l'audace de m'enlever.
- Écoutez, voilà ce qu'on va faire, vous vous levez maintenant et me suivez en silence, et lorsqu'on sera loin de cette vile, je, vous répondrez, ou bien, je vous assomme et vous porte moi-même. " Proposa-t-il sur un ton neutre.
- "Avec votre jambe blesser, vous n'irez pas loin, l'autorité Royale vous rattrapera avant demain midi." Consta-t-elle, avec une mine réjouie.
- " Ou alors c'est le baron qui nous retrouveront en premier, et croyiez moi, c'est une situation très peu enviable, même comparé à ma compagnie, vous choisissez ? " Il lui tendit la main.
- "Qu'es que, vous voulez faire de moi exactement ?
- Je dois juste vous emmenez quelque part, c'est tout.
- Pour quelles raisons ?
- Le baron ou moi, choisissez  ?
- Vous en savez rien ?
- ...
- Vous m'avez sauvé la vie ce soir, bon, c'est de votre faute si j'ai été dans cette situation, mais tout de même. Si vous avez fait ça, c'est que vous avez vraiment besoin de moi vivante, ne respectez pas votre part du marché, et je ferais de votre route un calvaire, et assurez vous en, je suis doué. " Se vanta-t-elle, en refusant sa main et se leva seul.
- " Ça, j'en suis sure. " Murmura Ryu, en enlevant sa veste
- " Qu'es que vous avez dit ? " S'étrangla-t-elle, ses joues, légèrement, rougit.
- " j'ai dit que feriez bien de prendre ma veste, si vous ne voulez pas mourir de froid, et mes chaussures aussi. " Il enleva ses chaussures les poussas à ces pieds.
Lucya en ramassa une, la sentie et l'éloigna de son visage, dégouté. " Contentez-vous-en princesse, et vos doigts de pied resteront à leur place et indemne. " Expliqua-t-il, en jetant sa veste sur un tas d'or a coté d'elle, il s'avança dans un coin de la pièce, et y enleva du pied l'or accumulé au sol. Lucya se résigna et tandis qu'elle employa tout son courage à s'habillait, Ryu souleva une trappe jadis dissimuler sous l'or. " Après, vous princesse. " Il effectua une révérence, avant de sourire devant la princesse, vêtue maintenant de la veste trop grande dont les manches dépassés largement de ses mains, et des chausses trop grandes, lui donnant l'allure et la démarche d'un pingouin monté sur échasse, essayant de maintenir son équilibre. Lucya releva le menton prit une aire hautin, elle arriva alors dissimulée son manque d'assurance efficacement et emprunta l'échelle. Ryu ramassa deux poignes de pièces d'or qu'il mit dans le linge de la viande et referma, prit la torche, avant de refermer la trappe, il jeta un dernier regard d'adieux au trésor.

Arrivait en bas de l'échelle, il passa devant Lucya qui attendait, " Je ne connais même pas votre nom. " Glissa-t-elle a son passage, avant de le suivre. " Je connais le vôtre, Princesse, et c'est suffisant, puisque vous avez accepté de me suivre en silence, cela fait partie de notre marché. " Persifla-t-il en lui souriant par-dessus son épaule, elle lui répondit par un petit grognement.

De longues minutes de silence s'en suivirent, ils passèrent à nouveau par une ouverture secrète, puis déambulèrent dans de froid couloir de pierre, chacune de leurs expirations s'accompagna d'un lâché de brouillard blanc.
Au détour d'un angle, se dessina au bout du vouloir, de la neige éclairer par la lune, le froid mordant gagna en intensité. Ils s'approchèrent de la sortie, au moment ou trois silhouettes leur coupa le chemin. Ils s'arrêtèrent quand celui qui portait la torche se retourna, les autres l'imitèrent. Tous écarquillèrent les yeux en découvrant l'identité des autres, y compris Ryu, car devant lui se tenaient maintenant Karr, Khar et Harmas.

Pas bien grave 5 mois d'espace entre les chapitres, du moment que tu continues!
Ça m'a permis de découvrir ce topic par ailleurs.

Bon, je vais passer en mode critique:

Orthographe/Synthaxe

Je suis désolé d'aborder ce problème, ayant compris que tu faisais beaucoup d'effort pour le corriger.
Mais je dois souligner que les erreurs fussent parfois tellement grave que je fus obligé de relire 2/3 fois une même phrase pour comprendre ce que tu voulais dire.
Se tromper avec les "é" ou les "er" n'est pas bien grave, mais remplacer un infinitif par "ait" me choque réellement.
Petit conseil, pour écrire les mots, imagine leur prononciation pour découvrir leur orthographe.
Par exemple: j'ai ne se prononce pas "jé" mais "jè". Donc quand tu écris quelque chose comme:
"j'ai envie de mangeait ce formidable sandwich thon oignon cornichons chedar".
essaie de te dire que "ait" se prononce à 90% des cas "è".
Cela évite les désagrément d'inversion de "er" et "ait".


Aussi non, j'ai remarqué qu'il y avait un véritable paradoxe dans ton style d'écriture.
Pour prendre un exemple:
La lune dévoila ses rondeurs de derrière les nuages, et le château refléta ces lumières froides en doux rayon chaleureux, la lune démasqua aussi l'ombre, qui possédait la forme d'un humain sous une longue cape qui se tapissait au fond de son capuchon noir.

Tu fais preuve à la fois de finesse et d'une lourdeur dans l'écriture.

Je m'explique: Les rondeurs de la lune est une très belle tournure de phrase.
Mais tu as alourdis inutilement la phrase. Les "et" sont les pires ennemis d'une phrase fluide!
Tu possède autant de talent que de maladresse mon ami.

Par exemple, ta phrase sans les et pourrait ressembler à ça:
Les nuages laissèrent alors place aux rondeurs de la Lune, baignant le château de leur froide lumière. Ce dernier sublimant ces rayons en une lumière chaleureuse démasqua l'ombre, dévoilant ainsi une forme humaine, vêtu d'une longue cape, éclipsée par un sombre capuchon.

Bien entendu, je ne m'argue pas de mieux écrire ou quoi que ce soit.
C'est juste à titre indicatif.

J'ai aussi aimé:
Le soleil bien que déjà endormie, n'aurait pu illuminer cette ombre maléfique.

J'aurai plutôt vu cette phrase comme:
Bien qu'endormi, le Soleil n'aurait parvenu à soustraire cette ombre maléfique
le déjà pénalise vraiment la phrase



Scénario

Ensuite, Pour ce qui est de l'histoire, je n'ai pas beaucoup de critique à faire vis à vis de cette dernière.  Elle me semble assez consensuelle mais a la vertu d'être rythmée et franchement, qui suis-je pour exiger une histoire totalement originale?

merci pour ton mode critique insti, je vais tout faire pour éliminer les "et".
j'ai recruter mas sœur qui vas m'aider a corriger les fautes et les tournure lourde ou incompréhensible, je prend des jours pour corriger mes texte, mais j'avoue qui sont loin d'être a leur best.
j'rééditer un par un les chap, quand sa sera fait.


pour l'histoire je sais que c'est pas la plus original, mais c'est juste le début, je pense qu'après elle le saura trouvé quelque chose.

J'attendrai!
Le jour et la nuit, j’attendrai toujours, ton retour!
J'attendrai!
Qu'un chapitre en v2, viennent chercher le triomphe, dans ce topic!
Le temps passe et cours, en battant, tristement, dans mon cœur plus lourd et pourtant j'attendrai ton retour!

J'ai pas encore lu le chapitre récent, mais wahou ça valait la peine d'attendre vu le pavé j'espère que c'est aussi intéressant que long *^*.

Tu sembles être un lecteur avisé Insti, tu es bon pour donner des critiques constructives en plus, chanceux  

Pour ce qui est des e/Ait j'ai corrigé tout ceux que j'avais vu lorsque j'ai lu, j'ai tout sur un dossier texte si tu veux Ryu-onii, vu que j'ai relu l'histoire deux fois (mémoire de poisson oblige) j'ai aussi corrigés certains é/er et des fessait que j'ai transformé en ===> faisait (moi aussi je faisais cette erreur avant, fichu "faire" è_é) au passage (mais bon vu que je suis aussi nulle en orthographe ça reste très minimale ce que j'ai corrigé xD), je te l'avais dis en MP, mais j'avais oublié de te l'envoyer

Merci Ayu!

Je pense que ce sont tous les livres que j'ai lu et le fait que j'adore décortiquer les mécanismes d'écritures des auteurs qui font de moi un "lecteur avisé".

Bien que je puisse formuler des critiques constructives, je suis le premier à ne pas pouvoir les utiliser... Pour une raison que j'ignore.

C'est souvent plus difficile d'appliquer à soi même ce qu'on conseille aux autres... Tout simplement car conseiller est je pense un peu plus simple qu'appliquer, quand on conseille/critique on a un point de vue extérieur, ce qui n'est pas le cas quand on est le principal "acteur", difficile de se donner des conseilles/critiques à soi-même. (Enfin après il faut encore savoir que conseiller même les autres, de mon côté je suis même pas capable de ça *haha*).

Je ne lis pas beaucoup car j'ai du mal à accrocher à la plus part des livres que j'ai tenté de lire et pourtant je suis bon publique (après c'était souvent des romans "populaires" qu'on me conseillait et j'aimais pas la psychologie des personnages.) <= J'ai été "traumatisée" par Twillight d'ailleurs, lire les deux premiers volumes fût long très long (deux nuits en fait)  .

Tu as des goûts qui semblent assez prononcés et tu sembles aimer ce qui est moins "classique/cliché" et vu que tu lis beaucoup tu dois savoir comment diriger correctement une histoire, tu as déjà tenté d'écrire ?  Après c'est sûr qu'un bon lecteur ne fait pas un bon auteur et puis on peut aimer lire sans forcément vouloir écrire :p.  

Perso' j'ai déjà essayé d'écrire des histoires, mais elle tourne quasiment toujours au monologue à tel point que je trouve admirable les personnes qui arrivent à écrire des histoires bien construites, je me demande même comment ils y arrivent.

Je peux te dire que tu flatte mon ego ma chère!

En effet, j'ai déjà essayé d’écrire plusieurs histoire mais je n'ai jamais sauvegardé une seule d'entre elles.
Je suis un perfectionniste continuellement insatisfait.
Dès lors que j'ai terminé quelque chose, je ne peux m'empêcher de trouver qu'elle n'est pas assez bonne et je recommence.
Tant est si bien que je finis toujours par laisser tomber et faire autre chose.

Je ressens aussi la même chose avec les figurines que je peins sauf que je ne peux pas facilement "effacer" ce que j'ai fais étant donné que la peinture, ça s'enlève pas facilement.
Je me suis retenu de nombreuse fois de passer mes anciennes figurines dans le liquide de frein pour décoller la peinture...
Le simple fait que ça prenne 20-30h me permet d'y réfléchir plus et de renoncer à recommencer.


Pour ce qui est des histoires, j'essayerai d'épargner l'une d'entre elles un jour!

Voila j'ai re udapter le Chap 1, qui ne comporte quasiment plus des erreur d'orthographe, d'ou j'ai bannie le plus de 'et'. Merci Intsi de bien vouloir re-analysé tout ça ^^. Je pense que je suis parvenue, a une quasi forme final.    

Voici aussi le Chap5.
(ps. le 6 a déjà bien avancer.)

.Chapitre V
Ennemi d'hier, Ennemie d'aujourd'hui.

Trés peu de fois dans une année, des enfants élus voient le jour. Ils naissent à travers tout le royaume, dans n'importe quel statut social, dans n'importe quelle ethnie. Les enfants élus sont reconnaissables parmi les non-élus par la couleur unique de leurs cheveux, la couleur du soleil.

Le temple des cieux capable de prédire l'arrivé d'un Lux, envoie dans la maison natale de l'enfant six jours avant sa naissance, un contingent de prêtes Solis, chargé d'apprendre la nouvelle au parent, et d'accompagner la mère lors de l'enfantement. La famille choisie par les cieux se voit récompenser, et l'enfant confié au temple.

Les Lux ont le pouvoir de transmettre la parole et la volonté des cieux.
Les mots de cette langue céleste sont entendus par les fidèles par l'intermédiaire d'un prête Solis.
Ouïr les cieux par sa forme la plus pure sans avoir été formée, endommage l'esprit. Provoquant dans le meilleur des cas un simple évanouissement ou la cécité, mais dans les cas les plus graves la perte de souvenirs, allant parfois jusqu'à vider totalement le corps de son esprit.
Quant aux âmes corrompues qui osent ouïr la parole des cieux, eux subissent "La Sublimination".

***

Harmas réagit en premier, "Toi ! " Lança-t-il, manifestement horripiler.

À peine eu t'il fait un pas, que Khar, lui barra le passage d'une main lasse.
"Je crois que ce n'est ni le lieu ni le moment pour ça.
Ryu pointa la blessure de Khar.
- Mon petit doigt me dit que vous êtes poursuivi. Pour ma part, c'est Yoshitsune qui est à mes trousses, il ne fera qu'une bouchée de nous quatre.

Kaar fit apparaitre une de ses haches.
- À moins que vos têtes, en offrande sauveront les nôtres. " Médusé, il recula soudainement, en se bouchant les oreilles. " La... La lux ! Elle n'a pas de bâillon !
- Alors ? Beaucoup moins confiant sur qui va garder sa tête ? "
Il se retourna vers Lucya, en se mettant furtivement le doigt devant la bouche, Lucya confuse, s'apprêta a parler, mais se signe la désarma toute à fait, elle se rappela son contrat avec lui, ce n'est peut t'être par pour rien qu'il lui avait demandé de garder le silence.

" Écoute mon gars. Reprit Khar, d'une voix posée.
- Je ne suis pas ton gars, mec.
- Écoute tout de même, la lame est comme qui dirait dans ton camp. Soit on se bat ici et 'Advienne que pourra', ou soit on s'allie, au moins le temps d'échapper au baron.
- Au possible, j'aimerais éviter qu'elle se serve de son pouvoir."
Confessa Ryu, puis il reprit d'une humeur insouciante. " J'ai une carriole et des chevaux pas loin d'ici. "

Khar se dégagea du soutien de Kaar et clopina vers eux. "Je m'appelle Khar.
- Uji.
- Uji, moi Khar, souhaite attester, devant Itor et Iropar, qu'on se soutiendra jusqu'à être de nouveau peinard, loin de l'influence du Baron de fer et de sang, ou de l'un de ses sbires. "
Il lui tendit la main, les doigts écartés les uns des autres.
" Par Itor ! "

Ryu fit un pas en avant, et tendu la main de la même façon que Khar, leurs doigts s'entrelacèrent, à l'exception du pouce qui resta seul tendu vers le haut.
" Par Iropar ! "
Leurs regards se jugèrent comme deux chien féroces, Lucya alla faire un pas en arrière de crainte d'un affrontement, mais le regard de Khar passa sur elle à ce moment, son regard ne s'arrêta pas et il se retourna. Kaar vint lui prêter son épaule.
" Allons- y, ne perdons pas de temps. Où est ta carriole Uji ?
- Pas loin à 5 min à l'ouest de la sortie. "

Il laissa Khar et Kaar prendre de l'avance, lorsqu'ils passèrent à proximité d'Harmas, celui-ci cessa de toiser Lucya, et les suivit.
Ryu se tourna vers Lucya et s'agenouilla afin de mieux serrer ses lacets, lui-même étant pied nue.
" Tu es ma sœur, je t'ai libéré du temple où l'on t'avait enfermé à ta naissance, ne parle à aucun prix, soit toujours de marbre, mange sans montrer ton dégout qu'importe ce que ce soit, reste stoïque à ce qui se passe le plus possible, ne les regarde pas dans les yeux."
Il serra une bonne fois, se releva et croisa le regard pantois de la princesse: "Ils sont dangereux autant pour toi que pour moi."
Elle hocha la tête.
Il lui sourit alors et lui prit la main et commença à marcher, surprise, elle bandit ses muscles afin de résister, mais finalement n'en fit rien.

*

Dehors, le ciel étoilé apparaissait de si de là à travers les grands pins de la forêt.
La nuit magnifique ne pouvait s'apprécier, le froid mordant dissuadé toute envie de flânerie.

Le groupe arriva aux abords d'une petite chaumière, perdu seul dans la nuit. Aucune route ne semblait amenée ici, ou bien était-elle recouverte par la neige. Ils ne furent pas encore devant la maison que la porte de celle-ci s'ouvrit. Un grand homme massif apparut dans la faible lumière d'une bougie. Il resta sans bouger, à les observer bien au chaud sous la fourrure d'une bête touffue. Ryu se détacha du cortège emmènent Lucya avec lui.
L'homme à la barbe en broussaille dans laquelle rester de la mousse de bière, ne parut point effrayer ou surprit lorsqu'il aperçut la fille aux cheveux blonds, il se contenta de recevoir une dizaine de pièces d'ors dans sa main rude, une main travaillant tous les jours afin d'obtenir le pain du lendemain, ce qu'elle venait de faire et ça pour des jours.

Sans décrocher la mâchoire, il alla sortir de leurs douillettes couches deux chevaux à la longue crinière leur cachant les yeux, courtauds sous leurs épais poils gris et noir se tapisser des muscles robustes et increvables.
Ryu en profita pour faire monter Lucya sur le pas de la porte dans un courant d'air plus chaleureux. La tentation était là, même pour une princesse, la chaleur d'un bon feu ne se refuse pas lorsqu'il neige, Ryu et les trois autres restèrent sans bouger dans le froid de la neige qu'ils leur arrivaient à mi-chemin du genou.
L'homme attela les chevaux à une charrette dans laquelle subsistaient quelques fétus de paille, et y attacha deux lanternes. Il revint alors en fronçant les sourcilles, Ryu tira Lucya vers lui, l'homme fusilla Ryu du regard en rentrant chez lui, et ferma la porte.

Un instant plus tard, Kaar perdit patience, " Alors qu'est qu'on attend ? "
La porte se rouvrit, renvoyant un souffle agréable sur les joues de Lucya qui l'accueillit à bras ouverts. Ryu lui lâcha la main afin de recevoir de l'homme une pile de couvertures, qui ne soucia pas de leurs poids soudain sur un corps fatigué. Ryu fit signe à Lucya de suivre, ils se dirigèrent vers la charrette suivit des trois autres, quand un sifflement les interpella alors qu'ils venaient de dépasser la porte.
Harmas fit demi-tour et reçu une outre d'eau bombée. L'homme claqua alors la porte de sa cabane, fessant tombée une petite avalanche de neige au passage. Ryu et Lucya arrivèrent en premier à la charrette, mais laissèrent Khar s'installer en premier, qui se coucha en grimaçant de douleur contre le bois juste derrière Harmas qui prit les rênes.
Sur une et sous une couverture s'installa Lucya dans le coin arrière droit. Ryu indiqua la direction à suivre à Harmas.
Kaar insista pour ouvrir le chemin pour plus tard partir en éclaireur, son frère refusa d'abord, mais Kaar reçue l'appui d'Harmas, " C'est vital dans ton état de ne pas se faire surprendre. " Alors Khar abdiqua et laissa son frère encore plein d'énergie malgré la nuit bien avancé, partir devant.
Les chevaux soufflaient de la bruie à chacune de leurs expirations, et restèrent calme en attendant que Ryu, s'installa à côté de Lucya. Enfin un claquement de rennes, les libéra, ils furent heureux de pouvoir se réchauffer même si pour ça cela voulait dire avancer en trainant une charrette et quatre personnes dans un chemin quasi-inexistant.


Sinuant lentement entre les grands pins, à de maintes reprisse une racine ou une pierre ou un trou dissimulé sous la neige, et des branche épineuse basse, malmenèrent la voiture et ses passagers. Lucya dissimulé parfaitement son mécontentement d'êtres ainsi secoué, elle joua le rôle qu'on lui avait attribué, se contentant de balader son regard dans le vide la forêt, son esprit oscillant entre ce monde et celui du rêve.
Sans doute conscient de sa bonne volonté, Ryu somnola tranquillement dans son coin, les bras croisés sur lui le menton contre sa poitrine, il fit mine d'ignorer les va-et-vient incessants du regard de Khar entre lui et elle.

*

Un long moment plus tard, Ryu sortie hors de l'antichambre du sommeil, et vit Khar à quelques centimètres au dessus de Lucya.
Khar a peine surprit par Ryu, expira doucement, " Du calme, je lui donner juste une de mes couvertures. " Puis il grinça légèrement des dents en se en se rasseyant. Ryu remarqua alors que Lucya, c'était allongé de tout son long, ses pieds occupant maintenant le coté opposé, obligeant Khar à s'asseoir devant lui. Emmitouflée ainsi dans ses fourrures, son insouciance parut agacer Ryu.

Ryu resta complètement éveiller le reste de la nuit, même quand il fut sûr que Khar ne simuler pas son sommeil. Harmas ne se retourna pas une fois, pas une fois, il ne parut s'assoupir, il resta droit sur son banc, t'elle un automate du célèbre Van Danci. Ryu, s'avait qu'on pouvait atteindre un tel état, mais qu'il fallait pour ça avoir un objectif précis à atteindre.

*


Les gazouillis d'oiseaux apparurent peu avant le soleil, celui-ci s'éveilla en même temps que Lucya ouvrit les yeux, Ryu eu une bref envie de sourire, une légende disaient que les Lux se levaient en même temps que l'astre du jour, se rendez t'elle compte de sa coordination parfaite .
Lucya parut un instant chercher où elle se trouver, un instant à fouiller sa mémoire lui donna la réponse. Elle fronça légèrement les sourcilles, devant l'air bizarre de Ryu, qui se rendit compte qu'il la dévisageait bêtement depuis un certain temps, il se reprit et tourna sa tête de son côté de la charrette. Lucya fit de même.

Peu avant le soleil de midi, Kaar sortit du bois devant les chevaux, qui ne cachèrent pas leurs surprises et huèrent violemment. Khar se réveilla alors qu'Harmas arrêta les chevaux, tandis que Kaar i monta déja a l'assaut.
" J'ai attrapé un marcassin. " Annonça-t-il fièrement à son frère. Kaar ne sembler pas avoir passé une nuit blanche à courir dans le froid, lui aussi était d'une résistance remarquable. Harmas descendait déja, lui par contre avait les yeux creusés de cernes violets.

" Allez, pause déjeuner !" Claironna Khar, refait de sa nuit.
Le groupe passer à ce moment a coté d'une clairière légèrement pentue couverte de neige, qui les invita naturellement.
" Tu dis faire une pause alors que tu viens de te réveiller. Enchaina Kaar, en souriant.
- Tu ne diras plus ça, quand tu auras passé une nuit dans une charrette conduite par Harmas. " Lança Khar, en descendant à la suite de Ryu et Lucya, qui se dirigèrent avec leurs couvertures vers Harmas cherchant des brindilles dans la neige. Lorsque Khar entreprit de vider le marcassin, Lucya détourna les yeux, se cacha sous sa couverture afin de ne pas montrer sa révulsion.

"Tu sais ce qu'elle me te dit ma conduite ? Répliqua Harmas, sur un ton amicale.
- J'espère qu'elle ne dit pas qu'on est perdu ? Rajouta Khar, en tentant de s'asseoir en douceur, sans grande réussite, il supporta sans geindre.
- Continue de dire des conneries, et tu pourrais te retrouvait perdu à poil au milieu de la forêt à ton prochain réveil. Pesta t'il en revenant les bras chargés de bois.
- Et bien sûr, ce que tu préfères dans ton plan, c'est que c'est toi qui me mets à poil, n'est-ce pas ? Rétorqua Khar, en riant accompagné de Kaar, qui découper des morceaux de viande et les embrochant ensuite sur un long bâton ramener par Harmas.
- Je te mettrais à poil en te fessant griller sur place. Déclara-t-il, en allumant le feu de camp à partir du bois qu'il avait entassé au milieu du cercle formait par Khar, Kaar, Ryu et Lucya.
- Je sais que tu es fort pour ça d'ailleurs, tu l'as testé sur toi à plusieurs reprises ! " Affirma Khar, décidement d'humeur badine.
- Ce n'est pas moi, qui me suis fait déshabiller par une bande de veilles peau, en pleine rue au beau milieu du marché. " Railla Harmas, en riant à son tour accompagner de Kaar.
Lucya resta déconcerter, surprise de voir Harmas abandonner son regard effrayant pour un rire joyeux.

"À oui ! La fois où je t'avais enfumé du parfum de ce charlatan. Pouffa Kaar, en tournant les morceaux de viande sur le feu.
- C'était pas un charlatan apparemment ! Maugréa Khar, s'emmitouflant dans sa couverture.
- En t'enfuyant ta glissé sur un pavé et t'es tombé dans la Trist !
- J'ai pas glissé ! Je l'ai fait exprès, pour m'enlever cette odeur de parfum horrible. " Ronchonna Khar, les joues rougis.

Kaar partit d'un fou rire, qui agaça Khar.
" Et après quand tes ressorties, c'est la garde qui t'a poursuivi pour exhibitionnisme. Rajouta Harmas, emprunts lui aussi a un fou rire.
- Qu'est-que t'a fait déja ? Après qu'on t'a perdu de vue ?
- J'ai choppé une anguille sur un étal, et je suis rentré en me couvrant avec. "

La tête blottie dans sa couverture, La princesse sourit en se forçant à ne pas rire. Allongé sur le dos, regardant paisiblement le ciel bleu, Ryu ne s'en priva pas.
" Après vous l'avez mangé cette anguille ?" Suggéra Ryu.
Ils eurent l'air de fouiller intensément leur mémoire tous en même temps.
Kaar mit le doigt sur la réponse en premier : " Enfoiré ! " S'écria t'il en donnant un coup-de-poing amical sur l'épaule de Khar.

*


Le calme revenu, sous le doux soleil qui réchauffer le groupe. Ils attendaient la viande en humant son doux parfum. La viande fut cuite, Kaar la servit en commençant par Lucya. " Au faîte comment s'appelle-t-elle ? " Demanda-t-il, sûr d'attiré l'attention de La princesse, qui sortit la tête de ses genoux.

Ryu se redressa.
" Minami " Répondit-il instantanément et de façon naturelle, seul Lucya pouvait applaudir son talent pour le mensonge.

Ryu prit alors la viande destinée à La princesse, et sortit couteau translucide d'on ne sait où.
" Tu la connais d'où ? Continua Kaar en servant les autres, qui attendait apparemment aussi la réponse.
- C'est ma petite sœur".
il préleva de la neige devant lui, la manipula dans ses mains et en fit un récipient où il entreprit de découper la viande de Lucya en morceaux, avant de lui déposer sur sa couverture.

" Comment ce fait t'il que tu l'as retrouvé, je pensé que les Lux, était confiné dans des temples inaccessibles ? " S'enquit Kaar, en mordant dans la viande sèche, alors que Lucya s'attaqua à la siennes sans sourciller.
- C'est une longue histoire qui se terminait quand vous êtes intervenue.
- Comment tu tes y prit pour la reprendre au baron de chaire et du sang ?
- Lors de la vente du baron, j'ai libéré le Canis et tandis qu'il m'était la pagaille, je me suis enfui avec elle. Expliquas Ryu, entre deux bouchés de viande.
- C'est la première fois que je vois un Kalidorien, frère d'une Lux, c'est pas contradictoire normalement ? S'interrogea Kaar, en semblant lui-même réfléchir à la question.
- En faite ... "
Ryu s'apprêta à répondre, lorsque Lucya lui saisit timidement la manche. Par une intuition qui dut le surprendre lui-même, il sut ce qu'elle voulait.
"Excuser, mais je dois l'accompagner, pour sa sécurité. " Annonça Ryu, en aidant Lucya à se relever, devant le regard entendu des trois autres savourant leurs viandes en silence.
Lorsqu'ils furent derrière les premiers arbres, des gloussements venant du feu, atteignirent leurs oreilles. Quelques mètres plus loin, l'un d'eux éclata de rire, un rire moqueur, Ryu sembla le prendre pour lui.

" C'est bon restez là. " Ordonna sèchement Lucya.
Ils étaient arrivés à une rivière dont le faible courant avait fallu à la maintenir liquide, seuls les bords étaient partiellement gelés. Lucya s'éloigna, et Ryu en profita pour se soulager contre un arbre avant d'aller se rafraichir à la rivière.
La paix régnait en maitre dans les pins et les épicéas l'entourant, les clapotis de la rivière, la légère brise de vent, recouvrirent Ryu d'une douce étreinte de tranquillité, loin des problèmes de ce voyage.
Un léger soupir lui échappa lorsque Lucya revint. " Je les largue bientôt. Affirma-t-il, en se re-débarbouillant le visage.
- Croyez, vous que je préfère votre compagnie à la leurs ? Lança-t-elle, sur un ton méprisant.
- Vue comment, Harmas vous regarde, à votre place, je ne les préfèrerais pas.
- Car ce que vous me réserver et plus enviable peut t'être ? " Rajouta-t-elle, toujours condescendante.

Soudain, quelque chosse interpela Ryu. Lucya poussa un hoquet de surprisse, d'un geste précis et rapide, Ryu avait jeter une dague dans un buisson de l'autre côté de la rivière.
" Qu'y a-t-il ? Ils sont venus nous espionnaient ? " S'inquiéta Lucya en venant prés de Ryu.
- Oui, mais pas ceux que vous croyez. " Murmura-t-il, en scrutant le buisson.
Rien ne la laissa penser que Ryu avait touché quelque choses, c'est donc étonné qu'elle fût, quand Ryu lui saisit le bras et la tira en direction de la clairière.
" Dépêche, toi ! C'est gars sont pas des gardes royaux." Lui lança-t-il par-dessus son épaule, il la trainait derrière lui au pas de course. Avec stupeur, elle aperçut une silhouette furtive dans les pins derrière elle.

"Embuscade ! " Cria Ryu, de retour au camp. " Une escouade de L'Anti-Lux ! " Rajouta-t-il au moment ou les trois autres se levèrent.
"Kaar ! Protège la princesse !" Ordonna Khar, très vite il se rendit compte de son erreur.
" La 'Princesse' ? Répéta Kaar, effaré.
- C'est pas le moment pour se poser des questions ! Grogna Khar, en fessant apparaitre ses haches depuis les deux bouts de bois qu'il prit de sa ceinture.
- Va avec lui, prenez la charrette, on vous rattrapera après. " S'écria Ryu, en donnant une poussé à Lucya dans sa course, qu'elle perdit vite avant d'être empoignée par Kaar. " Emmène là, vers le nord, ne t'arrête que quand les chevaux seront morts de fatigue. " Cria-t-il, à Kaar qui fonça sans répondre.

Ils partirent vite aux galops, Ryu retourna vers le feu, un regard à Khar lui fit dirent ceci : " Je sais depuis que Mr.Sheep à essayer de nous empoisonner, mais comme tu la compris on est dans le même bateau pour l'instant. Princesse ou pas, c'est gars veulent autant ma mort que la tienne 'Ryu Le fou givré' et c'est déja trop d'honneur. Avoua Khar, calmement.
- Je ne suis pas idiot non plus, et seul un Daiji aussi célèbre que toi aurait pu capturer seul la princesse Hordon, je t'es reconnue tout de suite lors de notre affrontement par contre, on avait déja livré la Lux pour une bonne prime, avant qu'on soit au courant de l'enlèvement de la princesse, apparemment, ils n'on pas fait le rapprochement, surement sûr qu'aucun de nous puis être capable de ça, et encore moins de la vendre. Alors j'ai fermé ma gueule, attendent la suite, mais ça ma comme même surprit quand Sheep en personne nous attendait. "
Il se plaça dos à Ryu et Khar, formant à eux trois une position défensive couvrant tous les angles morts.

Neuf types sortirent des arbres à l'opposer d'eux.
" Les deux autres, sont tranquilles, ils vont d'abords s'occuper de nous. Confia Khar, en se replaçant comme les deux autres pour leur faire face.
- Aucun doute-là dessus,les L.A.L du Baron, sont toujours au nombre de neuf. " Ajouta Ryu, en sortant deux dagues de glace.
Les hommes portaient tous des masques intégraux en métal, au niveau de la bouche, ceci avaient un épais disque où l'on pouvait voir des fins mécanismes de rouage de cuivre en action. Au niveau de leurs yeux, une large lunette à verre unique et opaque, couvrait toute la longueur jusqu'aux oreilles. Les oreilles, elle aussi couverte par une pièce circulaire aux rouages en fonctionnement parfaitement huilé ne produisant absolument aucun bruit. Ils était tous vétus d'une tenue de cuir noir, renforcé sur le torse et aux articulations.

Le feu crépité tranquillement, Khar, Harmas et Ryu, eurent droit à une petite chorégraphie de leurs adversaires.

Le premier tout à gauche, croisa les bras devant lui, dans un claquement presque inaudible, trois grandes griffes sortirent entre ses phalanges de chacune de ses mains.
L'homme à sa droite sortit un petit bout de bois, qui dans les mêmes conditions que les haches des deux frères K, se transforma en un long bâton noir aussi grand que lui. Il le fit tournoyer au-dessus de lui à très grande vitesse.
Leur compagnon suivant, une femme portant un énorme sac comparé a ses frêles épaules, montra juste son arbalète, où les mécanismes à rouage étaient fortement présents.
Le quatrième prit une position offensive, le bras droit tendu, la paume de celui-ci perpendiculaire au sol, face a ses ennemies. Le reste du corps bien droit et de côté, la paume de la main gauche orientée vers le haut plaqué contre sa hanche. " Un Daiji, du clan Boofuu. " Murmura Harmas.
Le cinquième dans une position théâtrale, fit apparaitre une boule de feu dans sa main.
Le sixième à la carrure fine presque mal portante, se pencha et sortie de la neige, une barre de glace.
Le septième, qui était en faite une septième, fit s'assombrirent les traits de Ryu, lorsque celle-ci dévoila un rat sur son épaule.
La suivante grande et élancée, aux courbes généreuse accentuées par sa combinaison fortement serrée, frappa du pied par terre, fessant tremblé le sol, qui fît tombé la neige des pins tout autour de la clairière.
Le dernier et neuvième, était le seul à avoir un masque différent des autres, la longue vitre noire, avait était remplacer par trois petites lentilles jaunes dont l'une des lentilles était au milieu de ce qui est normalement le front. Il posséder un livre aux glyphes étranges enchainé à son bras. Sa main droite posée, la couverture de son livre, avait tous les doigts tendus excepté l'annulaire qu'il n'avait plus.

Leur petite présentation faite, ils se lancèrent dans la représentation, d'on le coup d'envoi fut le sol fracturé en cercle autour des trois protagonistes par un coup gracieux de la fille à la combinaison serré. Elle fut suivie par l'homme au feu, qui fit naitre dans cette fissure un mur de flammes, montant jusqu'aux plus hautes cimes.
" Hé ! C'est notre technique ça, enfoiré de copieur ! " S'écria Khar, en regardant le mur tout autour de lui.
Ryu posa ses deux dagues au sol, les recouvrèrent de neige et pétrie le tout sous une lueur bleuté, il en sortit alors une longue épée translucide. " Ils font souvent comme ça, et puis juste après... " Ryu n'eut pas fini sa phrase, qu'un projectile traversa les flammes, " Le filet ! " Poursuivit Ryu, le projectile se déploya, en un filet d'acier fonçant droit sur eux. Ryu vint à sa rencontre, il fit passer la lame de son épée dans un carré du filet, tout en se tenant sur le côté. Le filet continua, Ryu exerça un mouvement de levier, un morceau de sa lame cassa sous la pression, mais il reussi à le dévié, il passa loin d'Harmas et Khar, déchira la terre sur une grande distance et s'effondra dans la neige.
" Et après ? " S'enquit Khar.
- aucune idée. Soupira Ryu, à l'affut.
Un cri retenti : YAAAAA !
Un sifflement sonna, le mur de flammes trembla légèrement sur leur droite, " Baisser la tête ! " Hurla Harmas. Tous s'accroupirent, le sifflement passa au-dessus d'eux, puis le mur à leur droite trembla à son tour.
L'homme maigre tenant une barre de glace, sauta par-dessus le cercle de feu. " YAAA ! " Cria-t-il, en brandissant sa barre au dessus de lui, " AH ! " Lâcha-t-il, en abaissant son manche avec force, le même bruit strident siffla, le reflet du soleil scintilla plus intensivement une légère seconde.

"J'ai ! " S'écria Khar.
Il fit quelque pas rapide se plaçant devant là où se trouvait Ryu, celui-ci avait déja roulé sur le côté, il leva ses deux haches en hauteur. Un choc puissant vint l'ébranler, de lui jusqu'à la barre maintenue en l'air brilla un fil de lumière. Ryu la tête baisser fonça en évitant d'approcher le fil brillant, " Non ! Tonna l'homme.
- Ryu ! " Cria Khar.
Ryu avait déja couru la moitié de la distance le séparant de l'homme, lorsque celui-ci balaya l'air de sa barre en du côté de Ryu, avertit par Khar, Ryu s'arrêta et tint son épée droite sur son flanc gauche, un choc violent le heurta aussitôt.
" C'est une épée géante fine comme une aiguille ! " Expliqua Khar, un fil de lumière scintillante tombant devant lui et derrière lui.
En conservant le tranchant de son épée contre le fil, Ryu sprinta vers l'homme immobile. " Non non non ! " Hurla-t-il, d'une voix grave, altéré par son masque, il tira sa barre vers lui, puis la pointa sur Ryu.
Ryu s'immobilisa à quelque pas de l'homme.
Du sang s'écoula du biceps de Ryu sur la lame invisible. " Tu n'es pas à la hauteur de ta réputation" Ricana l'homme, en serrant la barre plus fort, le fil jusque-là invisible, grossit en fessant émergé des longs piques dans tous les sens, la progression des piques remonta très vite jusqu'à Ryu. Ryu recula, en serrant les dents sur le fil qui glissait dans son muscle, avant d'arrivé au bout, un grincement retenti, le reflet du soleil indiqua que le fil avait grandi d'environ deux mètres. De sa main libre il prit son épée et frappa le fil, ce qui accentua la douleur dans son bras, mais ne fit rien à la lame pourtant large comme une aiguille. Il frappa et échoua encore trois fois. Les piques arrivèrent...

" Je le tiens ! " Cria Harmas, les mains tendues vers les flammes les plus proches.
Les flammes juste derrière l'homme, progressèrent rapidementn en un instant elle le dévorèrent.
Les piques arrêtèrent leur progression, Ryu donna encore un coup sur le fil et celui-ci cassa enfin, mais pas particulièrement là où il avait tapé, en faite, c'est tout l'aiguille qui se brisa.
À l'intérieur du brasier, l'homme hurla de douleur, en essayant désespérément de chasser les flammes avec sa barre devenue un gourdin difforme. Ryu se releva, la rage au ventre, et courra droit sur l'homme prisonnier des flammes.
Une explosion assourdissante souffla les flammes, de la vapeur chaude dissimula l'homme et ses cris en emportant également Ryu.
Prit dans l'écran de fumée, Ryu resta un instant désorienté, la chaleur intense et brutale, lui brula les poumons, lui piqua les yeux, et décontracta ses muscles sans qu'il l'en ait fit le choix, il tomba à genoux, lâcha son épée.
Il resta ainsi, un long moment a suffoqué, imcapable de se relever.

La vapeur se dissipa lentement, l'homme et son gourdin réapparurent devant Ryu.
Ryu luta pour rassembler son énergie, fit un pas, puis deux, trois et enfin recommença à courir.
Très vite, il fendit sur l'homme déja dans les limbes, mais toujours debout. Le cuir de son armure ne résista pas et la lame de Ryu s'enfonça dans la poitrine de l'homme, son sang courra sur le fil de l'épée.
Une forte bourrasque déferla, rejeta Ryu et l'homme ainsi que la brume. S'écrasa en premier, l'homme inconscient la face tournée vers le ciel, puis Ryu plus loin glissa sur la neige sur deux mètres, son épée atterrit en dernier, se plantant droite juste derrière lui.
" Et de un." Apllaudit Khar.

Un homme entra dans la brèche laisser par l'explosion.
" Il voulait se la joué solo, il n'a pas compris que nous sommes une équipe, merci de lui avoir donner cette leçon."

Il s'avança jusqu'au milieu de l'arène, enjambant au passage son ami évanoui " Es-que l'un d'entre vous connait un style de Hasshin doryoku-ryu ? " Demanda t'il en se relevant les manches, Harmas s'avança alors vers lui, " je te fais cet honneur, le style de Shuto-uchi ". Annonça t'il en saluant son adversaire en courbant la tête et se mit en position, la jambe gauche tendue en avant dans l'alignement de la main, la paume tournée sur le côté perpendiculairement au sol, les doigts de celle si tendus, la jambe droite fléchie en arrière, le tranchant de la main droite poser sur le haut de la hanche.
L'homme le salua également et se mit en posture de combat comme lors de sa présentation "Je sais que j'ai dit que nous combattons en équipe, mais aucun de mes compagnons ne viendra s'interposer dans notre duel si vous en faite autant. "

Un grand pas en avant pour Harmas, un petit pas de coter pour l'autre, ils plièrent leur bras et au moment ou leurs bottes retouchèrent le sol, envoyèrent leurs attaques, du tranchant de la main un petit arc de feu très fin pour Harmas, de la paume de la main une ondulation d'air pour l'autre. Les deux attaques s'unirent dans un claquement, et disparurent. Ils recommencèrent à donner des coups dans le vide, de la main gauche puis de la droite, de nouveau de la gauche, un pas en arrière pour Harmas, un pas de coter pour l'autre. Ils étaient parfaitement synchronisés et les arcs s'opposèrent toujours au milieu d'eux.
Ryu et Khar auraient put rester à regarder ce spectacle un long moment encore, mais deux autres hommes venues de la brèche dépassèrent les duellistes, ils choisirent eux même leurs adversaires, le bâton sur Khar, les griffes pour Ryu.
L'affrontement commença sans cérémonie, la lame glissa entre deux lames d'une griffe, produisant un bruit atroce qui fit grincer des dents de Ryu. Son épe pris dans la griffe de l'homme qui tournoya alors sur lui même, torsionna le bras de Ryu qui ne pouvait que subir la douleur s'il il ne voulait pas se faire désarmer. La deuxième griffe entailla subrepticement le bras gauche de Ryu déja blesser.

Ryu dégagea son arme, et attaqua, l'homme attrapa une nouvelle fois la lame dans l'une de ses griffes, glissa le long en poussant celle-ci sur le côté, du bout de son autre griffe arracha la chair du coude de Ryu déja recouvert de sang à l'aspect pâteux.
L'homme laissa Ryu se dégager, et ré-attaqua, Ryu en défense ne fit que rebondir les coups rapide, que son ennemie fessai pleuvoir sans interruption, à chaque fois que les griffes passez et revenez, l'épée de Ryu se s'entailla un peu plus profondément.

Un coup soudain plus puissant que les autres, poussèrent son épée sur le côté, alors l'homme envoya à Ryu un coup de pied dans le ventre.
Ryu balbutia en montrant ses dents, le tissu de son ventre se rougie de sang, L'homme le pied levé devant lui, indiqua du doigt les petites pointes sous sa semelle.
Un pas en arrière, Ryu lança deux dagues de sa main la moins blesser, une dague frôla le casque de l'homme qui pencha la tête de coter, la deuxième se logea dans ses griffes, qu'il renvoya aussitôt sur Ryu. Il la reçue dans la cuisse, avec un grognement sa main ensanglanter l'y arracha sans ménagement.
Il profita que son adversaire ricanait pour reprendre son souffle.

Dans le même temps, le feu et l'air continuèrent leurs joutes, aucun n'avait prit le dessus et aucune blessure ne fit penser qu'une attaque avait touché.
Khar ne s'en sortait pas mieux que Ryu avec son adversaire, le bâton beaucoup plus vif et frai avait l'offensive et Khar ne fessait que bloqué ses coups.
Le bâton profita que Khar barrer l'un de ses coups, pour le balayer d'un coup de pied, Khar perdit l'équilibre et tomba dans la neige, au même instant l'homme continua dans sa pirouette et après un tour sur lui-même se laissa tomber à son tour sur le dos aux côtés de Khar, employant tout sa force dans un coup vertical. Khar arrêta le coup juste au dessus de son nez, le bâton dévier par les haches finit sa course dans son estomac, lui infligeant une terrible douleur. Rouge de colère, il donna un coup de hache grossier à son adversaire, mais celui-ci se retourna juste sur le côté, et en prenant appui sur son bâton se releva avec une facilité déconcertante, sachant pertinemment qu'il était le premier relevé l'homme se retourna pour frapper son adversaire au sol, mais son coup manqua de finesse et précision, il rata de beaucoup Khar qui se releva tandis que l'homme enleva la neige étaler sur la visière de son casque, " Une technique d'enfant désespéré. " Bredouilla-t-il, a son tour furieux.

Ryu remua la neige rougie de son sang entres ses doigts de pied, alors que l'homme aux griffes rigolait en regardant vers l'homme au bâton. " Comment, il te ridiculise ! " Pouffa-t-il, puis se retourna vers Ryu, " Je crois que j'ai choisi le mauvais adversaire, tu n'es pas aussi drôle, toi !
- Si tu veux que ce soit plus drôle, laisse-moi un instant " demanda Ryu, la main tendue pour arrêter le combat.
L'homme aux griffes, acquiesça. " Tu vas crée ta fameuse épée de sang, fou givré ? "

Ryu détacha les deux bracelets de cuir qu'il avait aux poignets, les perça de son épée. Un mince filet d'eau en coula de chacun, il mit de la neige par-dessus et la modela, la neige prit une teinte bleutée.
Il en sortit une épée à la lame trop petite comparée à la longueur de la fusée, aussi longue qu'une épée à deux mains.
"Tu mal l'aire trop fatiguée pour fabriquer, une épée digne de ce nom fou givré. Affirma-t-il.
- Ça me sera suffisant pour toi, Mr.L'inconnue. Susurra Ryu, un sourire ardent étirant ses traits.
- Alors t'en mieux, prêt ?

Il n'attendit pas la réponse de Ryu et fonça, ses bras croisés sur lui, il bondit guetta le dernier moment pour les déployer, leur premier passage glissa sur les épées de Ryu, au retour également, au troisième mouvement, il les plongea en avant, leurs lames s'entremêlèrent. Le front de Ryu se colla contre le casque d'acier.

" C'est mieux " Murmura l'homme.
Ryu ne répondit pas, mais il perdit son sang-froid, il se dégagea de son adversaire et attaqua. L'homme aux griffes bloqua sans problème la lame de la plus grande épée de Ryu, la seconde arriva et il fit de même. Mais Ryu avait attaqué en croisant ses épées et en les tenants de sorte que, quand il décroisa ses bras pour les recroiser dans l'autre sens en emportant les griffes qui les retenaient, l'homme aux griffes dut maintenant lâché ses armes pour ne pas se torde les bras ou bien suivre le mouvement et tournoyé dans les airs en conséquence.
Il choisit la deuxième solution, et son agilité lui permit de le faire avec grâce. Il décolla du sol, fit un tout sur lui-même et retomba en se dégageant.
Ryu en profita et fondit sur lui, il bloqua facilement, sa pirouette ne lui avait pas tourné la tête, Ryu se rendit compte alors qu'il avait bloqué en croisent ses griffes " Une valse ? " L'invita, l'homme d'un ton mielleux.

Il fit le même mouvement qu'avait employé Ryu. La torsion arriva, Ryu laissa échapper son épée la plus amochée, lorsque l'autre tourna, il lâcha la pression sur sa garde, la laissant glissé entres ses doigts en suivant sans mal l'ample mouvement circulaire. Quand la torsion s'arrêta, il raffermit la poigne sur son épée, l'homme aux griffes arrêta son mouvement tira Ryu vers lui, Ryu resta empoigner à son épée, la griffe le tira en avant lui fessant perdre l'équilibre, laissant ainsi sa nuque dévoiler...

La mort s'instillant de rouge, fendit sur Ryu à sa merci, tiré vers elle par sa propre épée.
Ryu ne luta pas contre la griffe, mais reprit à un moment du bout du pied appui sur le sol, de là, il bondit accélérant le mouvement.
L'épée de Ryu brilla, la garde de celle-ci se brisa, la lame put alors s'enfoncer plus en avant tout du long de la fusée trop grande pour cette épée, jusqu'à ce que les doigts de Ryu se meurtrissent à leurs extrêmes limites dans les lames.
L'épée transperça le bras de l'homme au niveau du biceps, pivota à l'intérieur et ressorti quand Ryu alla s'étaler derrière.
Sa blessure soudaine, Ryu qui se jeta en avant, fit que l'homme rata sa cible et ne griffa que légèrement Ryu au bas du dos.

L'homme poussa un cri de colère, plus que de douleur, il lâcha la griffe de son bras convulser, et d'un rugissement de colère, plongea tête baisser sur Ryu au sol.
Sa griffe restante s'arrêta au-dessus de la poitrine de Ryu, son assaut retenu par l'épée qu'il maintenait à deux mains. Ryu serra des dents d'où dégouliner de la salive, sa main droite se lacérait d'elle-même en maintenant la lame, il dut faire appel à un grande volonté pour ne pas cédé.
De la main droite, l'homme tenta d'étrangler Ryu, mais avec sa blessure, il ne put étrangler ne serait-ce qu'un nouveau-né, ses doigts glissaient sans pourvoir saisir la gorge de Ryu, il tenta alors de le griffait, mais ses gants de cuir l'en empêchaient. Le genou contre l'estomac de Ryu, il était tout de même en position de forces, il le savait et grogné de plaisir avec sa voix métallique lui donnant un grognement de bête enrager. L'épée de Ryu se fissura. Très vite, il déplaça sa main qui tenait la fusée pour la mettre juste en dessous de la griffe, la lame se brisa.

Ryu saisit le bout de l'épée qui tomba et l'enfonça de toute sa rage à travers l'armure de cuir, au niveau du cœur. Malgré que l'éclat de glace pénétra profondément, l'homme garder tout sa force et continué de forcer déplaçant tout son poids sur la griffe où par chance un bout de glace restant empêchait les griffes d'emporter les doigts de Ryu.
Il grogna, hurla, vociféra des insultes incompressibles, couina puis enfin s'immobilisa, les doigts de l'homme perdirent toutes force et glissèrent le long de la gorge laissant une empreinte ensanglanter.
Ryu le poussa sur le côté, s'assit péniblement.
Toute la neige autour de lui était rouge de sang.

Harmas paraissait indemne malgré ses grande respiration, il avait touché son adversaire de nombreuses fois comme en témoigner son armure déchirée, mais lui se tenait toujours droit.
Khar et le bâton se battaient toujours, mais sans entrain sans coup purement esthétique, le bâton de l'homme avait certainement était endommager, sa taille sembla avoir diminué. La bataille avait fait rage, l'un avait des entailles suintants de sang, l'autre le corps tuméfié de bleu.

Ryu resta planter là, à les regarder.

Quelque chose troubla les flammes, Ryu se redressa, plus mort que vif, il ne se laisserait par pour autant tuer. L'homme portait deux haches et fonça sur Khar, " Kaar ? " Soupira Ryu, déconfis puis : " Qu'a, tu fais de la princesse ? Gueula-t-il plus qu'il ne demanda.
- je l'ai laissé en sécurité " lâcha Kaar au passage, en continuant de courir vers son frère.
Ryu ne le regarda pas le dépasser, les yeux éteints, il leva devant lui sa main ensanglantée, le sang lui coller les doigts. Lorsqu'il, parvint à les forcer à se décoller, apparut entre eux, le corps de l'homme à l'aiguille toujours évanouie, entres ses doigts.
Après un court moment, il referma son poing.

Comme s'il eut pris une décision, il se releva brusquement, son bras, ses jambes tremblaient un instant avant qu'il n'en reprenne le contrôle. Il ramassa son épée briser, et se traina vers l'autre enfoncé dans la neige.
Aussi facilement qu'on émiette du pain rassi, il disloqua ses épées en petits morceaux de glace, il rassembla le tout-en-un petit tas, et serra son poing au-dessus fessant dégouliner du sang dessus, il manipula le tout, passa une main au-dessus qui fit briller la neige, et glissa dans sa ceinture les cinq dagues au teinte bleu légèrement violette qu'il créa ainsi.

Le bâton ne fessait que reculer face à l'assaut des deux frères.
L'homme de l'air et Harmas continuer leurs joutes sans se souiller du reste.

Ryu marcha vers l'homme évanoui, en surveillant du coin de l'œil l'homme de l'air.
il arriva sans encombre et se pencha sur lui.
Un hurlement attira son attention, " Suipu ! "
C'était l'homme de l'air, qui cria en repoussant ses paumes ouvertes vers l'avant, une orbe de vent foudroyante sans échappa, elle balaya toutes la neige sur son passage jusqu'à Ryu.
Il fut littéralement poussé par l'orbe qui tournoya contre son ventre, il glissa ainsi sur une longue distance, et s'arrêta à trois mètres du mur de feu, ses mains se crispèrent sur son estomac où l'orbe avait disparue.
Le cœur au bord des lèvres, il tomba à genoux, son estomac lâchant un râle plaintif.
L'attaque valut à l'homme, une belle lacération à l'épaule de la part de Harmas, qui ne parut pourtant nullement le faire souffrir.

Un mouvement derrière le mur de flammes alerta Ryu, un " Chlac" retentie, une flèche recouvert d'un tube en cuivre polie fusa sur lui, avant de se déployer après une détonation accompagné de fumés en un filet d'acier.

Ryu, encore sous le choc, ne put bouger, il planta devant lui une dague brillante, en un éclair dans un craquement vif, une plateforme sortit de terre, parfaitement rectangulaire aux façades de glace polie.
Le filet d'acier percuta la glace, la colonne explosa dans une déflagration de petit éclat de glace, Ryu s'en protégea la tête avec son coude, le filet le frôla de peu à peine ralentit, mais une boule d'acier de la taille d'un œuf de poule lestent le filet lui cogna le bras.
Ryu laissa échapper un couinement de douleur, son bras se mit à convulser frénétiquement, il cracha de la salive pâteuse mêlée à du sang qui resta accroché à ses lèvres. Les éclats de glace et la poudre de neige libéré dans l'explosion retombèrent toute à fait, en le recouvrant presque entièrement.

Son bras gauche complètement tétanisé et tremblant, il se dépêtra de la neige, au moment où il se releva toute à fait, une autre flèche avec tube de cuivre perça les flammes, s'il sauter à terre le filet passerait au-dessus de lui, mais les boules de lestage le frapperaient durement, conscient de ceci ou encore trop hébété, il ne réagit pas quand le filet l'enveloppa, les boules de lestage s'enroulèrent dans son dos, il décolla du sol emporter comme un moucheron.
Il s'écrasa brutalement après plusieurs torsions et virevoltes très loin de son point de départ.

*

" Ce n'est pas un peu lourd ? Je te rappelle qu'il faut les attraper vivant.
Une fille au cheveu brun, à la peau noire comme un réglisse, leva ses yeux couleurs noisette de son bric-à-brac envahissant la table.
- C'est juste un test, au cas ou un jour, on doit chasser du gros gibier. Tu viens ! Je vais le testé. "
La fille se leva, saisit la main du garçon, et le tira vers une porte ouverte irradiant de soleil.

*

Il vomit, la régurgitation coula le long de ses joues, forçant un passage entre ses lèvres couvert de neige. La tête lui tourna, sa vision était trouble. Les traits du fil qui lui barrait les yeux, onduler comme bateau en pleines tempêtes. Il releva la tête, cracha la neige qui s'agglutinaient sur sa bouche. Une fois dégager de la neige, il respira par a coup, remua les doigts de pied, les mains, à part son bras gauche encore engourdi et son estomac prés à jaillir hors de son corps, tout avait l'air 'intact'.
Il regarda alors autour de lui, couché sur le dos, les boules d'acier lui tordaient la colonne vertébrale, il pouvait a peine tourné la tête avant d'êtres bloquer par le filet, il ne pouvait que voir l'homme à l'aiguille en contre bas de la légère pente, et entendre sifflaient les attaques d'Harmas et l'autre.
Après un long moment, et plusieurs contorsions, il arriva à se dégager le bras droit. Il glissa sa main sous son manteau et sortit une dague bleu-violet casser au bout. Il la posa sur lui, au toucher de ses doigts, elle brilla et peu à peu se rallongea et redevint pointue.

"Ryu, attends un peu. Cria Khar. On finit vite celui-là et on vient t'aider. "
Du bout de la pointe, Ryu leva la dague qui se mit à briller et la lança. Elle tournoya trois fois et disparus derrière le corps de l'homme à l'aiguille. Un 'crack' retenti, une colonne de glace oblique sortit de terre frappa l'homme dans les limbes, l'emportant un temps avec elle, puis brusquement s'arrêta propulsant l'homme dans les airs. Il passa juste au-dessus de Ryu toujours allongé. Ryu le saisit au passage, ancré à son bras l'homme s'écrasa à côté en le faisant basculer sur le flanc.

Une explosion violète éclaira le ciel, des petites gerbes d'étincelles crépitèrent en retombant.
Juste après l'homme au bâton replia vers la brèche. Esquivant le dernier arc de feu d'Harmas, l'homme du vent fit de même.
Harmas recula vers Khar et Kaar prés de Ryu, " Je crois que tu t'en sors le moins bien, Ryu. Annonça-t-il, en souriant.
- Ryu ? Ryu le fou givré ? C'est lui ? Bredouilla Kaar, tombant de haut.
- oui, c'est lui, en chair et en légende...
- Harmas, regarde plus tôt là bas. " L'Interrompit Khar, en lui désignant d'un signe de tête de se retourner.

Dans la brèche se réunirent quatre membres de L.A.L : Le bâton en sueur, l'homme au vent bien droit comme-ci, il n'avait que discuter avec Harmas, la femme à l'arbalète et la femme qui avait craquelé le sol plutôt.
Elle s'avança, d'une démarche féline, " Non ! Laissez-le comme ça. J'ai une proposition à vous faire. " Le son de son casque métallisant sa voix.
Kaar, l'ignora, mais son frère, lui attrapa l'épaule, ils se regardèrent un instant, il abdiqua.

Elle reprit alors.
" Vous avez bien résisté, et même mit au tapis deux d'entre nous. Mais j'ai encore sept autres combattant d'ont moi-même en réserve, et vous vous êtes tous épuisé. Voilà ! ce que je vous propose, rendez-vous par vous-même, dites nous où et la Lux et je parlerai de votre force et de votre bonne fois au Baron du fer. Si vous lui juré fidélité, il vous pardonnera sûrement vos fautes. "
Les trois se consultèrent sans voix, puis ils se retournèrent pour chuchotaient entre eux...

Réflexion faite, ils revinrent vers Ryu. Khar demanda à voix basse : " Et toi qu'a-tu à nous proposer, pour qu'on ne te livre pas ? "
Ryu partit d'un rire narquois. " Déja, je vous propose de vous sauvez la vie, car moi, je n'ai aucun risque que le Baron me tue, deuxièmement, on a fait un pacte sur Itor et Iropar.
- Et troisièmement, je suppose que tu ne trimbales pas la Princesse, juste pour ses beaux yeux n'est-ce pas ? Combien ?"
Ryu hésita t'a un instant, puis répondit : " Assez pour valoir toujours le coût diviser en quatre.
- Et je suppose aussi que ta aussi un plan pour résoudre cette situation ?
- Laissez-moi dix secondes et pas la peine de me sortir du filet. "
D'un regard, ils se consultèrent entre eux.
" Ok ! " Annonça Khar tout haut. Ryu le regarda, dubitatif. "Ok, pour toi, Le fou givré " reprit-il, plus bas.

La femme avança encore un peu plus " Vous étés décider à vous rendre ? Bien, déposer vos armes et venez par ici un par un, au nom du baron de fer et du sang et de tout Daijiro, je jure que rien ne vous arrivera. "
Les trois vinrent se placer devant Ryu, Harmas alluma une boule de feu dans sa main.

"Qu'est que cela signifie ? Reprît la femme sur le ton de l'avertissement.
- Ça signifie, qu'on va encore un peu vous montrer notre force, histoire d'impressionner encore un peu plus le baron. Proclama Khar, un sourire au coin des lèvres.
- Je ne sais pas ce qu'il vous a promis, mais excepté vos têtes mises a prix pour toujours, vous n'avez rien à attendre de lui.
- On ne seraient pas contre un peu de gloires. Répliqua Kaar.
- Alors vous êtes aussi bête que lui, et comme lui, vous avez usé ma patience. Dernières chances. Menaça-t-elle, en levant une main, la femme à l'arbalète les mit alors en joue.
- C'est moi qui te laisse une dernière chance, fuis et ne me retrouve plus. Jamais je ne laisserai la Lux à qui que ce soit, et si l'un de vous se dresse sur mon chemin, il mourra. " Alors que Ryu, hurler ces mots pour se faire entendre, il planta sa dague dans le cœur de l'homme à l'aiguille qu'il avait tiré à lui.
Les yeux de l'homme s'ouvrirent, il se convulsa un moment avant de sombrer à nouveau, mais pour toujours, cette fois.

" Arrête de ne penser qu'a toi pour une fois, ouvre les yeux, ce n'est pas ton épée rouge qui te sauvera, mais moi ! Dit-elle d'un ton impérieux, dont le son retransmis par le casque rendait encore plus dur.
- Abandonne cette idée tout ce que tu obtiendras de moi, c'est un cadavre. "
En retirant sa main de la poitrine de l'homme, Ryu en tire une masse informe gélatineuse noir et rouge de la taille d'un poing, qui s'agita sur sa paume ouverte vers le ciel, Khar et Kaar eurent un soulèvement au cœur.
" Alors c'est ton cadavre que je ramènerais à père. " Lança-t-elle.
Elle se retourna et repartit vers la brèche d'un pas vif, et ombrageux. " Mura ! " Cria t'elle en rejoignant les autres L.A.L.

Le mur de feu s'intensifia aussitôt, il se referma et progressa rapidement vers l'intérieur.
" C'est quoi ton plan ? Tu faire quoi avec ça ? S'inquiéta Khar, devant la progression fulgurante du danger.
- Je vais nous dégager un chemin, sortons tout de suite ! " Ordonna Harmas, en se raffermissait sur ses appuis, les mains tendues, il repoussa les flammes, laissant une zone protéger autour d'eux.
" Ça fait plus de dix secondes Ryu ! Hurla Kaar.
- Ta raison, je crois que c'est bon " Murmura Ryu, la gelée dans sa main s'agiter encore plus, comme-ci une bête donner des coups de l'intérieur sur les parois élastiques.


Toujours allongé par terre dans le filet, le cadavre à coté de lui, entouraient de flaques d'eau qu'a laisser la neige en fondant subitement, Ryu referma sa main sur la gelée.
Des rayons rouges parfaitement distinguable dans cet enfer, s'échappas d'entre ses doigts. Le plus fort qu'il put, il lança la gelée en l'air.
Légère, elle s'éleva au-dessus des flammes, arrivée au bout de sa phase ascendante, elle ralentit, puis, un flash aveuglant s'en échappa, une explosion foudroyante retentie, les trois frères furent projetés au sol, toutes les flammes qui les entouraient soufflaient comme de vulgaires bougies.

Un froid intense gelant les os, remplaça la fournaise, toute la clairière était recouverte d'une fine couche de gel rouge, les flaques d'eau laisser par la neige fondue former une croute de glace disparate, donnant l'aspect d'une immense plaie gangrénée, couvert de croute sang.

Les trois frères se relevèrent péniblement engourdi par le froid, " Qé... qué que, c'est que ça !?" Bégaya Khar, les lèvres encroutées de glace. Du coude Ryu frappa le filet qui cassa comme du verre, il s'en dépêtra et se releva à son tour transit de froid, " Pa...parton, avant de ge...geler. " Balbutia t'il, les épaules voutés, les bras croisés contre-lui.
Ils eurent fait trois pas, qu'un second flash illumina la clairière. Quand la lumière s'estompa, ils étaient de nouveau au sol.
À nouveau, ils luttèrent pour se relever, l'orbe en suspension vrombissait doucement au-dessus d'eux. Pas après pas, ils se rapprochèrent lentement des arbres qui étaient eux aussi recouverts de givre rouge. Leurs pas qui craquaient les flaques d'eau rouge, les firent passer à côté de l'homme aux griffes, devenu presque indistinguable sous ses couches de givres.
Ils arrivèrent à l'orée de la forêt, remarquant alors que trois membres de la section de L'Anti-Lux partez dans la même direction, une nouvelle vague de froid accompagner de son flash frappa.

Ryu releva la tête de la neige rouge, à quelque pas de lui, L.A.L se relevaient aussi.
"Qu'a, tu fais ?" Geignit la femme d'une voix chevrotante, à genoux elle voulut enlevé la glace qui recouvré sa visière mais tout son casque se fissura et tomba a terre.
Ses cheveux roux restèrent plaqués contre son front et ses épaules, ses lèvres avaient prit une teinte violette, sa peau blanche étaient rougie de froid, et ses yeux verts profonds étaient surlignés par des cils ou perlés des petits cristaux de glace, on aurait dit qu'elle avait pleuré.
" Part, avant que ce froid ne te tue. " Murmura Ryu.
Elle ne répondit pas, et fixa sur Ryu un regard larmoyant.
Ryu lui tourna le dos.

" Chef ! Relever, n'abandonner pas maintenant. " Implora, une voix métallique, en jetant un coup d'œil par-dessus son épaule Ryu, vit la femme à l'arbalète, tentée de relever la femme, en abandonnant son arme de jet qui se brisa au sol. " Vient, Mura, il faut la relever ! "

Un flash éclata à nouveau, quand leurs visions revinrent et que le groupe se releva, l'orbe vibrait beaucoup plus fort libèrent un son à la limite du supportable, si bien que s'en émettre son propre son, un trait de glace noir venant de l'orbe, se planta dans un arbre juste devant eux.
À peine fut-il planté que celui-ci explosa en une myriade de piques acérées, qui fracassèrent le tronc. La partie supérieure, de l'arbre s'écroula en emportant les branches de ses voisins, il percuta le sol en balançant des éclats de glace et de bois tout autour de lui.
La boule dans le ciel, cracha au hasard des piques acéré qui vinrent exploser, où ils atterrissaient, à de nombreuse reprisse, le tremblement d'arbre s'écroulant se ressentit.
Ryu, s'arrêta et jeta un coup d'œil vers la clairière. Kaar fermait la marche, et le rattrapa, l'air absent, il passa sans le regarder.
Ryu revint à lui, et reprit sa marche en criant pour se faire entendre : " Où as-tu laissé la Lux ? "

Kaar s'arrêta un moment, devant lui Harmas soutenant Khar firent de même, d'un aire usé, il regarda autour de lui, en arrière, puis vers Ryu, et se retourna à nouveau et pointa une direction du doigt, " Par là !
Après trois pas, il reprit. En continuant le chemin qu'on devait prendre, juste après un énorme arbre. "

*

Bientôt, les neiges blanches réapparurent, mais le froid gravé en eux perdura encore malgré la flamme salvatrice que brandissait Harmas. C'est chevrotant qui retrouvèrent la charrette, cachée derrière un gigantesque chêne, au bois blanchi par les ages, un cheval avait disparu.
Le vissage toujours fermé, Ryu grimpa à l'arrière. Saucissonné dans une couverture à l'aide d'une ficelle, Lucya tourna la tête vers lui, le bout de son nez avait rougi, mais pas autant que ses yeux bouillonnants de colère. " C'est fini ! Déclara t'elle s'en cérémonie. Je suis excédée, fatiguée de vous, depuis que vous m'avez enlevé, je suis presque morte de faim, une créature à voulue me dévorer, des crapules m'ont séquestré dans une cave à l'odeur fétide, et maintenant vous me laisser mourir de froid. Je me fiche de ce que vous pourrait dire ou faire, je ne jouerais plus la princesse désoeuvrée, je ne veux plus ces frusques, je veux prendre un bain, et dormir dans un vrai lit. J'ai presque pitié de ce que le roi vous réserva quand il saura la manière d'ont, vous m'avez traité. "
Ryu n'était pas rester planté à l'écouter sa tirade, il était redescendu, avait ramassé de la neige, avant de s'allonger en poussant sans ménagement Lucya sur le côté. "Ah ! Fit-elle révulser. Vous êtes puant et couvert de sang, ne m'approchez pas ! "

Khar et HArmas vinrent s'asseoir à l'autre bout.
" S'il vous plait princesse, j'implore votre clémence, je suis blessé et j'ai besoin de calme et de repos. Supplia Khar, en prenant la dernière couverture.
- Vous avez ce que vous mérité bandit, le ciel n... " Kaar qui avait pris la place du conducteur, se pencha pour ballonner Lucya avec un morceau de l'une de ses manches déchirés. Ligotée, elle ne puis lutter, à fleur de peau, elle se contorsionna en rugissant, Khar failli recevoir un coup de pied royal dans la cheville. Ryu ignora totalement la princesse, et lorsqu'il enleva sa veste pour examiner ses blessures, Lucya effarait se retourna de l'autre côté avant de ne rougirent tout à fait. " Nous continuons ? Demanda Kaar, en levant les rennes.
- oui, dans la même direction. Fit Ryu. Au prochain croisement prend à droite, puis aprés à gauche, on arrivera peut t'être avant la nuit. "
Il prit un peu de neiges sur son doigt, et les yeux fermés, il le passa sur une de ses blessures, une lumière bleue scintilla à se contacte, les traits de Ryu se crispèrent. Kaar tira sur les rennes, le cheval restant ne se fit pas prier et partit aux pas. Khar frissonnant de froid sous sa couverture, resta estomaqué lorsque la blessure se referma d'elle-même.
" Quel prodige, c'est cela la magie ? S'écria-t-il, en se redressant légèrement.
- C'est la magie de Daijiro, pour ceux qui maitrise l'eau. Affirma Ryu. Lucya dans son coin, écouta intriguer.
- Vous pouvez me soigner avec ? " S'enquit Khar, la mine réjouie.
Les yeux toujours fermés, Ryu prit tout la neige de sa main et l'appliqua contre sa blessure au biceps. Lorsque la lumière s'arrêta, ses traits retombèrent, la blessure était complétement refermée et propre, dans sa main la neige avait prit une couleur rouille.
" Non... " Répondit-il alors.
La joie furtive de Khar retomba, abasourdi, il demanda " Pourquoi ça ?
- Je ne peux que me soigner moi-même, c'est tout. "
Khar sembla demander à Harmas si cela était vrai, et d'un hochement de tête, il répondit : " Oui, seul les plus doués des Daiji maitrisant l'eau peuvent soigner les autres. "
Sa réponse résonna, aux oreilles de Ryu, comme un reproche. "Tu veux que je m'en occupe moi ? " Enchaina-t-il, alluma une flamme dans sa main, tandis que Ryu lui rendait son regard de défi.
Non ! Lâcha Khar. C'est juste des égratignures et des bleus, c'est ce froid qui va me tuer. Où, allons-nous d'ailleurs ?
- à Val-sous-écume, se prendre une auberge, se reposer et faire prendre un bain à son 'Altesse'. Répondit Ryu, en renfilant sa veste.
- Une bonne nuit ne sera pas de trop, mais a moins que vous avez continué à voyager de jours pendant que je dormez, c'est impossible de rejoindre Val-sous-écume avant la nuit, il nous faut encore faire le tour de la petite chaine de montagnes des Trois pics.
- pas besoins de faire le tour, je connais un raccourci."

Le reste de l'après-midi, se passa en silence, seul Kaar rompu une fois le silence, lorsqu'il raconta, sa mésaventure lorsque revenue à la clairière à cheval, celui-ci se cabra devant le mur de feu, " Sans selle ce corniaud, m'envoya a terre sans problème, je suis tombé en plein sur un buisson d'épines." Il voulut ensuite se renseigner sur la 'magnifique' contre-offensive de Ryu avec son 'orbe rouge', mais il n'obtient pour seule réponse un, "Tai-toi, laisse-nous nous reposez, Kaar" de la part de Harmas, qui n'arriva pas entièrement à cacher son intérêt sur le sujet.

Le soleil disparaissait, lorsqu'ils arrivèrent au bout du chemin, au pied de la falaise abrupte des Trois pics. Posé contre la falaise, Ryu fit tomber une grande planche de bois peint au couleur gris de la pierre. La planche tomba lourdement, dévoilant un tunnel, étayer par des poutres de bois. Un tunnel qui s'enfonçait dans les ténèbres. Il annonça : " Si vous voulez bien vous donnez la peine d'entrer."

"Les mines hantées des Trois pics." Marmonna Lucya, les yeux grands ouverts.